THE ALI BONGO’S DIALOGUE: AFTER THE MOËT, THE HANGOVER! LE DIALOGUE D’ALI BONGO : APRÈS LE MOËT, LA GUEULE DE BOIS !
English version
The problem with propaganda vintage Bilié By Nze, is that after a moment, reality makes it appear ridiculous.
Remember, dear readers, the skull stuffing that Alain Claude Bilié By Nze, Ali Bongo's Government Spokesman, engaged in while setting the scene for Ali Bongo's dialogue. As usual, Alain Claude Bilié By Nze was not shy about lying; noting that 54 of the 56 registered political parties in Gabon would participate and that the absence of Jean Ping and his allies would not undermine the importance of these debates and their consequences for the future of the country. In short, Alain Claude Bilié By Nze was reciting his catechism.
Then the dialogue opened. There were some who popped the champagne; fought for croissants and took selfies with Ali Bongo. Yes, that was the substance of this dialogue; so much so that on its conclusion, it is a rather worn-down André Dieudonné Berre who came, in the Myenè language please, because Jean Ping certainly does not understand the invitations to dialogue made to him in French, to implore the later to come and participate with them ... in the dialogue. It looks like the 54 political parties taking part in this dialogue, proudly announced by Alain Claude Bilié By Nze, are far from doing the trick.
The problem with propaganda Bilié By Nze’s style, is that too often it forgets that the vast majority of the Gabonese people are filled with the same wish: to see at last the country turn the page of the Bongo era; that of an autistic, criminal, arrogant regime, that is adept at pillaging of all sorts.
At the end of his dialogue, Ali Bongo realizes that he is still bogged down in the same political quagmire. So what is left for him to do? To implore Jean Ping in the Myénè language!
After the Moet, the hangover!
We will not give up!
Version française
Le problème avec la propagande à la Bilié By Nze, c’est qu’au bout d’un moment, la réalité la rend ridicule.
Souvenez-vous, chers lecteurs, du bourrage de crâne auquel s’est livré Alain Claude Bilié By Nze, le Porte-parole du Gouvernement d’Ali Bongo, en plaçant le décor du dialogue d’Ali Bongo. Comme à son habitude, Alain Claude Bilié By Nze n’a pas lésiné sur le mensonge ; affirmant notamment que 54 sur les 56 partis politiques enregistrés au Gabon y participeraient et que l’absence de Jean Ping et de ses allies n’entacherait nullement l’importance de ces débats et leur conséquence pour l’avenir du pays. Bref, Alain Claude Bilié By Nze récitait son catéchisme.
Puis le dialogue s’ouvrit. On vit des quidams y sabrer le champagne ; se disputer des croissants et faire des selfies avec Ali Bongo. Oui, ce fut cela la substance de ce dialogue ; à tel point que sur sa conclusion, c’est un André Dieudonné Berre plutôt hagard, qui est venu, en langage Myénè s’il vous plait car Jean Ping ne comprend certainement pas les invitations au dialogue qui lui sont faites en français, implorer ce dernier à venir participer avec eux… au dialogue. Comme quoi, les 54 partis politiques prenant part à ce dialogue, que nous annonçait fièrement Alain Claude Bilié By Nze, sont loin de faire l’affaire.
Le problème avec la propagande à la Bilié By Nze, c’est qu’elle oublie trop souvent que les Gabonais, dans leur grande majorité, sont animés d’un même souhait: celui de voir enfin tourner la page de l’ère Bongo ; celle d’un régime autiste, criminel, arrogant, adepte des pillages en tous genres.
A la fin de son dialogue, Ali Bongo réalise qu’il est toujours enlisé dans le même bourbier politique. Alors que lui reste-il à faire ? Supplier Jean Ping en Myénè !
Après le Moët, la gueule de bois !
On ne lâche rien !
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