CURIOUSLY, AT THIS DIALOGUE, THE ESSENTIAL IS AVOIDED. BIZARREMENT, Á CE DIALOGUE, ON ÉVITE D’ABORDER L’ESSENTIEL
English version
The opinion of this blog about the comments of the various participants in the dialogue of Ali Bongo, which reach us, is that they are amusing us enormously.
In a country where everyone knows that on August 31, Ali Bongo ordered the assault of his opponent's headquarters, killed many people and continued his carnage for several Days throughout the national territory; no one thought of putting these massacres on the agenda of this dialogue, which they nevertheless termed as being "without taboos". Apparently dear readers, there are many taboos in this dialogue without taboos.
Faced with a Gabonese population that is increasingly demanding and precise in its questions, people like Maganga-Moussavou think that they can still scam people, while we see that they are incapable of "speaking the truth" because they do not dare to get to the bottom of things at their damned dialogue with the torturer of the Gabonese people.
The question of the electoral hold-up is indeed the reason that led Gabon to live the sad events of August 2016, because to remain in power, Ali Bongo had to massacre the population. So why do these politicians not talk about this at their bullshit dialogue?
In fact, this dialogue is nothing more than a subterfuge that this regime has found to try to blur their tracks and provide political legitimacy to Ali Bongo. But we say no and will continue to say no!
We will not give up!
Version française
L’avis de ce blog sur les propos des différents participants au dialogue d’Ali Bongo, qui nous parviennent, est qu'ils nous amusent bien.
Dans un pays où tout le monde sait que le 31 aout dernier, ayant constaté sa cuisante défaite à l’élection présidentielle, Ali Bongo ordonna l’assaut du QG de son adversaire, y tua un nombre élevé de personnes et continua son carnage pendant plusieurs jours sur l’ensemble du territoire national ; personne n’a songé à mettre ces massacres à l’ordre du jour de ce dialogue qu’ils ont pourtant baptisé comme étant « sans tabous ». Apparemment chers lecteurs, il y a bien des tabous a ce dialogue sans tabous.
Face à une population Gabonaise de plus en plus exigeante et précise dans ses questionnements, des gens comme Maganga-Moussavou pensent qu’ils peuvent encore flouer les gens alors que nous voyons bien qu’ils sont incapables de « parler vrai », car ils n’osent pas aller au fond des choses à leur fichu dialogue avec le tortionnaire du peuple Gabonais.
La question du hold-up électoral est bien la raison qui a conduit le Gabon à vivre les tristes événements d’aout 2016, car pour rester au pouvoir, Ali Bongo a dû massacrer la population. Alors pourquoi ces politiciens ne parlent-ils pas de cela à leur connerie de dialogue ?
En fait, ce dialogue n’est rien de moins qu’un subterfuge que ce régime a trouvé pour essayer de brouiller les pistes et aménager à Ali Bongo une légitimité politique. Mais nous disons non et continuerons à dire non !
On ne lâche rien !
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