BRICE PAILLAT WAS SACKED, BUT OFFICIALLY HE WOULD HAVE RESIGNED! BRICE PAILLAT A ÉTÉ LIMOGÉ, MAIS OFFICIELLEMENT IL AURAIT DÉMISSIONNÉ !
English version
The disaster of
the Esther Miracle engages the direct responsibility of Ali Bongo and his
government in the certain death now of more than thirty compatriots at least.
In such circumstances, all those responsible must resign and make themselves
available to the investigation and justice system.
At the moment,
Ali Bongo and his government are facing strong criticism from the bereaved
families in particular, and from the Gabonese people in general. Outrage is
ubiquitous and with good reasons. The Ali Bongo government has shown itself
abjectly incapable on two main grounds:
1. It was unable
to prevent this shipwreck from occurring by scrupulously applying the control
mechanisms of the maritime and river fleet in circulation in the country.
2. Once the shipwreck
occurred, he was pitifully unable to properly manage the rescue operations of
passengers and crew members.
Because of the
above, this blog believes that the managerial team of the Gabonese government,
at the head of which sits Ali Bongo, as Head of State, should take
responsibility and resign as a group.
Ali Bongo has
just obtained the resignation of Brice Paillat, but the shortcomings observed
both in fact that they authorized this boat to navigate and carry passengers, and
the absence of urgent relief mechanisms; engage absolutely the direct
responsibility of Ali Bongo.
Brice Paillat
failed as Minister of Transport; But rescue at sea depends on our security and defense
forces, and this rescue has been deficient across the board. The Minister of Defense
must fall by the wayside.
If two ministers
are pinned down, then the Prime Minister must also resign and if these
ministers and their Prime Minister must resign, then logically Ali Bongo should
also come down.
Version française
La catastrophe de
l’Esther Miracle engage la responsabilité directe d’Ali Bongo et de son
gouvernement dans la mort certaine maintenant de plus d’une trentaine de compatriote
a minima. En de pareille circonstance, toutes les personnes responsables
doivent démissionner et se mettre a la disposition de l’enquête et de la
justice.
En ce moment, Ali
Bongo et son gouvernement essuient de fortes critiques des familles éprouvées
en particulier, et du peuple Gabonais en général. L’outrage est ubiquitaire et
avec raison. Le gouvernement Ali Bongo s’est montré incapable, de manière abjecte,
sur deux points principaux :
1.
Il a
été incapable d'empêcher ce naufrage de se produire en appliquant scrupuleusement
les mécanismes de contrôle de la flotte maritime et fluvial en circulation dans
le pays.
2.
Une
fois que le naufrage s’est produit, il a été pitoyablement incapable d'en gérer
correctement les opérations de sauvetage des passagers et des membres d’équipage.
A cause de ce qui
précède, ce blog estime que l’équipe managériale du gouvernement gabonais, à la
tête de laquelle trône Ali Bongo, en tant que Chef de l’Etat, devait assumer ses
responsabilités et démissionner en bloc.
Ali Bongo vient d’obtenir
la démission de Brice Paillat, mais les manques observés tant dans les faits
ayant conduits à autoriser ce bateau à naviguer et transporter des passagers ;
que dans l’absences de mécanismes de secours urgents, engagent absolument la responsabilité
directe d’Ali Bongo.
Brice Paillat a
failli comme ministre des Transports ; mais les secours en mer dépendent
de nos forces de sécurités et de défense, et ces secours ont été déficients sur
toute la ligne. Le ministre de la Défense doit passer à la trappe.
Si deux ministres
sont epinglees, alors le Premier Ministre doit aussi démissionner et si ces
ministres et leur Premier-Ministre doivent démissionner, alors logiquement Ali
Bongo devrait rendre son tablier.
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