IN THE SHIPWRECK OF THE ESTHER MIRACLE, WHAT IS THE RESPONSIBILITY OF THE INSURER ASSINCO? DANS LE NAUFRAGE DE L’ESTHER MIRACLE, QUELLE EST LA RESPONSABILITÉ DE L’ASSUREUR ASSINCO ?
English version
On land, in a river, lake or ocean, in the air,
when disaster strikes, we always wonder who is at fault? Who is responsible?
etc.
Indeed, this is the question that everyone asks,
especially when material or human damage is to be deplored.
Merchant marine refers to the activity that has to
do with the maritime transport of goods and people. The Esther Miracle ship was
therefore a merchant marine ship. The law requires merchant marine vessels to
take out specific insurance. The Esther Miracle boat was insured by Assinco, an
insurance company 60% owned by the BGFI group, which itself belongs to the
Delta Synergy holding company, which in turn belongs to the Bongo family.
The question that many observers ask is the
following: given that any insurer must carry out a so-called pre-insurance
expertise, in order to estimate the value of the boat and its ability to serve
for what the insurance is taken out, was Assinco satisfied with the
seaworthiness of the boat it agreed to insure?
Dear readers, in a peremptory way, we must answer
that yes, Assinco was satisfied that the Esther Miracle met the standards of
navigation, because they issued all the required insurance documents for that
boat.
Dear readers, if Assinco insured a defective boat
that did not meet the standards, it means that Assinco was complicit in a
tragedy that could be described as an homicide of more than 30 people and the
infliction of trauma on more than a hundred people and their families.
Dear readers, Assinco's responsibility should
occupy the concerns of all the families who were victims of this shipwreck that
could have been avoided.
Version française
Sur la terre ferme, dans une
rivière, un lac ou un océan, dans les airs, quand un désastre se produit, nous
nous demandons toujours qui est fautif ? qui est responsable ? etc.
En effet, c’est la question
que tout le monde se pose, surtout lorsque des dommages matériels ou humains
sont à déplorer.
La marine marchande désigne l’activité
qui a rapport avec le transport maritime de marchandises et de personnes. Le
bateau Esther Miracle était donc un bateau de marine marchande. La loi exige
que les bateaux de marine marchande souscrivent à une assurance spécifique. Le
bateau Esther Miracle était assuré par Assinco, une compagnie d’assurance détenue
à 60% par le groupe BGFI qui lui-même appartient à la holding Delta Synergie
qui à son tour appartient à la famille Bongo.
La question que de nombreux
observateurs se posent est la suivante : vu que tout assureur doive procéder
à une expertise dite de pré-assurance, afin d’estimer la valeur du bateau et sa
capacité à servir pour ce dont l’assurance est souscrite, Assinco était-elle
satisfaite de l’état de navigabilité du bateau qu’elle accepta d’assurer ?
Chers lecteurs, de manière péremptoire,
on doit répondre que oui, Assinco était satisfaite que l’Esther Miracle répondait
aux normes de navigation, puisqu’elle lui a délivré tous les documents d’assurance
requis.
Chers lecteurs, si Assinco a
assuré un bateau défectueux qui ne répondait pas aux normes, c’est qu’Assinco a
été complice d’une tragédie qui pourrait être qualifiée d’homicide de plus de
30 personnes et d’infliction de traumatismes à plus d’une centaine de personnes
et à leurs familles
Chers lecteurs, la responsabilité
d’Assinco devrait occuper les préoccupations de toutes les familles ayant été victimes
de ce naufrage que l’on aurait pu éviter.
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