IT IS CRITICISM THAT IS NECESSARY FOR PROGRESS; NOT FLATTERY ! C’EST LA CRITIQUE QUI EST NÉCESSAIRE AU PROGRÈS ; PAS LA FLATTERIE !
English version
Work, according to Voltaire, is a remedy against boredom,
vice and needs. Work would therefore act as an antidote to boredom, to the
monotony and emptiness that sets in when the mind and body are inactive.
Work allows humans to occupy their time and energy
productively, it provides them with an occupation to escape boredom, stimulate
their mind, and bring meaning to their lives.
A worker is a fulfilled person and normally, people who love
their work don't care about flattery. Someone who is sensitive to flattery is
very limited, because they need to be flattered to feel valued.
When one likes flatteries so much, they inevitably hate
criticism. When you're lazy, you
love flattery.
However, in all the advanced societies of the world, it is
the grumpy, the reactionaries, the "prophets of doom", who stimulate
progress, because they are the ones who question the choices of their time, and
are demanding and picky.
Skeptical intellectuals are the best thing for a society. Flattery
dispensers are strictly useless; you must flee from them like the plague
because they will make you mediocre.
Having a critical eye on one's environment presupposes that
one thinks beforehand. When we distribute flatteries, we don't think, we simply
smile and pour out flattery on Ya Brice, Mama Zita, as we did yesterday for Ya
Ali and Auntie Sylvia. It's a shameful drip.
In Gabon, the merchants of flaterry look great. They are
everywhere: in government, on television sets; and especially on social media.
They all want to support the Transition; they all want Oligui-Nguema to remain
in power for ever!
The merchants of flaterry suffer from a shameful disease:
that of mediocrity, idleness and lack of talent. They are of no use in modern
Gabon.
Version française
Le travail selon
Voltaire, est un remède contre l'ennui, le vice et le besoin. Le travail agirait
donc comme un antidote contre l'ennui, contre la monotonie et le vide qui
s'installe lorsque l'esprit et le corps sont inactifs.
Le travail permet
à l’humain d’occuper son temps et son énergie de manière productive, il lui offre
une occupation pour échapper à l'ennui, stimuler son esprit et apporter un sens
à sa vie.
Un travailleur
est quelqu’un d’épanoui et normalement, les gens qui aiment leur travail, n’ont
que faire des atalakous. Quelqu’un qui est sensible aux atalakous est fortement
très limité, car il a besoin que l’on flatte son ego pour se sentir valorisé.
Quand on aime
tant les atalakous, on déteste forcément la critique. Quand on est fainéant, on
adore les atalakous.
Seulement, dans
toutes les sociétés avancées du monde, ce sont les grincheux, les réactionnaires,
les « prophète de malheur », qui stimulent le progrès, car ce sont eux qui questionnent
les choix de leur époque, et se montre exigeants et pointilleux.
Les intellectuels
sceptiques sont ce qu’il y a de mieux pour une société. Les distributeurs d’atalakous
ne servent strictement à rien ; il faut les fuir comme la peste car ils
vous rendront médiocres.
Avoir un regard
critique sur son environnement suppose au préalable que l’on réfléchisse. Quand
on distribue des atalakous, on ne réfléchit pas, on sourit simplement en déversant
des flatteries sur Ya Brice, Mama Zita, comme hier on l’a fait pour Ya Ali and
Tantine Sylvia. C’est d’un dégoulinant honteux.
Au Gabon, les
marchants d’Atakous ont fier allure. Ils sont partout : au gouvernement,
sur des plateaux de television ; et surtout sur les réseaux sociaux. Ils
veulent tous accompagner la Transition ; ils veulent tous qu’Oligui-Nguema
reste au pouvoir Mbèbè !
Les marchants d’Atalakous
souffrent d’une maladie honteuse : celle de la médiocrité, de l’oisiveté
et du manque de talent. Ils ne sont d’aucune utilité dans le Gabon moderne.
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