GABON'S RATING PLUMMETS! LA NOTE DU GABON DÉGRINGOLE !
English version
While Brice-Clotaire Oligui-Nguema and the CTRI keep on trying to fool
the Gabonese public with an overdose of populism, reality is increasingly
presenting itself clearly where it matters, in the economy.
Recently, while the minister of the economy, Mays Mouissy was attempting
to once again persuade the people that he had economic numbers that were very
rosy for the country, both rating agencies, Fitch and Moody's downgraded
Gabon's credit rating. Fitch lowered the rating from 'B-' to 'CCC+', citing
concerns over debt repayment capacity and economic challenges. Moody's
downgraded Gabon's rating to 'Caa1', highlighting similar issues, including
fiscal deficits and rising debt levels.
Dear readers, this downgrade reflects increased concerns about Gabon's
ability to repay its debt, particularly amid liquidity pressures exacerbated by
falling oil prices as Gabon remains reliant on an oil-dependent economy. The consequence
is that Gabon has seen a significant drop in public revenues, leading to a
fiscal deficit and rising public debt levels. The economic outlook is further
strained by anticipated increased on public spending to continue to occur
because Brice-Clotaire Oligui-Nguema wants to be elected president in 2025.
These rating agencies have serious doubts about Gabon’s ability to
maintain stable economic policies and manage public finances effectively. The
continuation of high public debt and budget deficits will affect Gabon’s fiscal
health and its ability to meet its financial obligations for the foreseeable future.
Additionally, institutional weaknesses, structural weaknesses in
governance and public administration, including issues related to corruption
and transparency, are also reasons for the downgrade. These weaknesses hinder
effective policy implementation and economic reform, further exacerbating the
country's economic and fiscal challenges.
The combination of these factors has led credit rating agencies to
lower Gabon's credit rating, reflecting increased perceived risks for investors
and higher costs for Gabon to borrow on international markets.
Dear readers, why is the Gabonese press not talking about this?
Version française
Alors que Brice-Clotaire
Oligui-Nguema et la CTRI continuent d'essayer de mystifier l'opinion publique
gabonaise avec une overdose de populisme, la réalité se présente de plus en
plus clairement là où ça compte, dans l'économie.
Récemment, alors que le ministre
de l'Économie, Mays Mouissy, tentait une fois de plus de persuader la
population qu'il avait des chiffres économiques très roses pour le pays, les
deux agences de notation, Fitch et Moody's, ont dégradé la note de crédit du
Gabon. Fitch a abaissé la note de « B- » à « CCC+ », invoquant des inquiétudes
concernant la capacité de remboursement de la dette et les défis économiques.
Moody's a abaissé la note du Gabon à « Caa1 », mettant en évidence des
problèmes similaires, notamment les déficits budgétaires et l'augmentation des
niveaux d'endettement.
Chers lecteurs, cette
dégradation reflète les inquiétudes croissantes quant à la capacité du Gabon à
rembourser sa dette, en particulier dans un contexte de pressions sur les
liquidités exacerbées par la chute des prix du pétrole, le Gabon restant tributaire
d'une économie dépendante du pétrole. La conséquence est que le Gabon a connu
une baisse significative des recettes publiques, entraînant un déficit
budgétaire et une augmentation de la dette publique. Les perspectives
économiques sont encore plus tendues à cause de l'augmentation attendue des
dépenses publiques qui devrait se poursuivre car Brice-Clotaire Oligui-Nguema
veut être élu président en 2025.
Ces agences de notation
doutent sérieusement de la capacité du Gabon à maintenir des politiques
économiques stables et à gérer efficacement les finances publiques. La
persistance d'une dette publique et des déficits budgétaires élevés, affectera
la santé budgétaire du Gabon et sa capacité à faire face à ses obligations
financières dans un avenir prévisible.
En outre, les faiblesses
institutionnelles et structurelles de la gouvernance et de l'administration
publique, y compris les questions liées à la corruption et à la transparence,
sont également des raisons de la dégradation. Ces faiblesses entravent la mise
en œuvre efficace des politiques et des réformes économiques, ce qui exacerbe
encore les défis économiques et budgétaires du pays.
La combinaison de ces
facteurs a conduit les agences de notation à abaisser la note de crédit du
Gabon, reflétant l'augmentation des risques perçus par les investisseurs et
l'augmentation des coûts d'emprunt sur les marchés internationaux pour le
Gabon.
Chers lecteurs, pourquoi la
presse gabonaise n'en parle-t-elle pas ?
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