MEMBERS OF LEON MBA FAMILY WORSEN ALI BONGO CASE, TRYING TO HELP HIM! DES MEMBRES DE LA FAMILLE LÉON MBA AGGRAVENT LE CAS D’ALI BONGO EN PENSANT L’AIDER!
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Unfortunately we wrote this post very urgently and did not have the time to translate it to English.
Version française
Avec des « alliés » comme ceux-là, Ali Bongo n’a pas besoin d’ennemis ; a-t-on pensé, quand nous avons fini de visionner la vidéo du témoignage surréaliste de certains membres de la famille Léon Mba, se donnant un mal fou et maladroit pour placer Alain/Ali Bongo dans leur panorama évolutif familial entre 1963 et 1967. A l’arrivée, c’est un capharnaüm de contradictions que deux membres de cette famille ont déversés sur le peuple Gabonais, rejoignant la longue liste d’imposteurs et menteurs, et ternissant malheureusement au passage aussi, la mémoire d’un personnage, Léon Mba, pour qui les Gabonais gardent un grand respect. Pour analyser cette intervention des membres de la famille Léon Mba, nous devons revisiter celle de Pascaline Bongo la veille, car les contradictions dans les deux témoignages sont liées et laissent éclater le mensonge de manière resplendissante.
1. Dans l’intervention de Pascaline Bongo, à partir de la 3ième minute, elle dit: «Péan…dit avoir reçu les confidences de l’ambassadeur Delauney; pourquoi n’a-t-il pas sorti un livre sur la filiation d’Ali quand mon père était vivant? » La vérité est que Pierre Péan avait déjà mentionné dans Affaires Africaines, paru en 1983, que Joséphine Bongo souffrait de stérilité et qu’elle n’avait pas d’enfants. Que ceux qui étaient considérés comme ses enfants étaient nés d’autres ventres, et certains avaient été adoptés au Biafra. Il y a quelques jours dans une interview sur Africa Numéro 1 que vous pouvez écouter sur internet, Pierre Péan rappelle que la filiation d’Ali n’est pas un secret puisqu’il l’avait déjà mentionné en 1983. Par conséquent, quand Pascaline dit que Pierre Péan ne l’avait pas dit du vivant de son père, elle se trompe ou veut délibérément tromper les gens. Première contraction entre les paroles de Pascaline et les faits vérifiables et vérifiés!
2. Dans l’intervention de Pascaline Bongo, à partir de 4:15 minutes, elle dit : « Omar Bongo Ondimba a eu des enfants, Ali c’est son fils, il y a Pascaline, Ali, Albertine et tous les autres enfants qu’il a eu; il n’y a pas de Biafrais ». Ici Pascaline Bongo nie solennellement qu’un quelconque membre de sa famille ait des origines Biafraises. Au vu des évidences, c’est une affirmation qu’elle sera forcée de regretter.
3. Dans l’intervention de Pascaline Bongo, à partir de 6:18 minutes, elle dit : «Il a dit dans son livre qu’il est parti investiguer à Alès. A Alès y’avait qui? Il y avait Ali, y avait Stéphanie Alaba, les deux filles Léon Mba qui sont là, Christiane et Brigitte, les deux enfants Minko, bon y’avait la fille de Georges Rawiri, Angèle Rawiri, y’avait moi. Est-ce qu’il est venu nous voir pour nous demander? Il dit qu’il est allé à Alès regarder et qu’il n’y avait pas le nom d’Ali. Mais attendez, j’ai fait ma sixième à Alès, si j’ai fait ma sixième, mon frère ne pouvait pas être au collège ». Dans ce paragraphe, Pascaline Bongo s’immole de contradiction et confirme que son récit n’est qu’un tissu de mensonges. Elle dit dans un premier temps qu’elle était à Alès avec Ali et d’autres Gabonais, puis elle dit par la suite que Péan n’a pas pu trouver le nom d’Ali parce que quand elle y était au collège, Ali ne pouvait pas y être. Il faut savoir ce qu’elle veut en définitive. Elle ne peut pas dire qu’Ali était à Alès en même temps qu’elle, pour ensuite nous dire qu’il ne pouvait pas y être. C’est contradictoire, c’est élémentaire !
4. Dans son intervention, Paulette Ayo-Mba dit ceci d’entrée: «Léon Mba a commencé à jouer un grand rôle dans la politique du Gabon depuis les années 1959 quand il a été nommé Premier Ministre ». Cette fille de Léon Mba nous surprend par son ignorance du rôle politique de premier plan de son père au Gabon, qui date non pas de 1959, mais depuis les années 1930. Qu’elle aille lire le livre de Gaston Rapontchombo à ce sujet. Il était Maire de Libreville en 1956. Cette ignorance est inquiétante!
5. Dans son intervention, Paulette Ayo-Mba dit ceci à partir de 1:59 minute: «pour ma part, je n’ai pas appris à Alès. Mais j’ai joué avec Alain Bongo, et sa sœur Albertine Philiberte Philie, à l’époque on ne l’appelait pas encore Amissa Bongo, au Jardin de la présidence de la République, Présidence de mon père… Si moi je jouais à la présidence du Gabon, ça veut dire que Léon Mba était encore vivant ». Le problème avec cette petite histoire est que la biographie officielle d’Albertine Bongo nous dit qu’elle était née en 1964. Si on s’en tient à cette date de naissance (avec les Bongo, sait-on jamais?) et sachant que la médecine nous dit que le développement psychomoteur d’un bébé fait qu’il fasse ses premiers pas entre 12 et 15 mois d’âge et ce n’est qu’entre 20 et 24 mois qu’il va pouvoir marcher de manière indépendante, c’est à deux ans et demi qu’un enfant peut courir sans tomber, faire de la trottinette, se rouler dans du gazon et se relever sans l’aide de ses parents ou d’enfants plus âgés. Si on accepte le récit de Madame Ayo-Mba, elle n’a pu jouer avec Albertine et Alain ensembles dans le Jardin de la présidence qu’à partir de mi-1966. Mais c’est aussi malheureusement pour Madame Ayo-Mba, en Aout 1966, que l’histoire nous dit que Léon Mba est hospitalisé à Paris et ne retournera jamais plus vivant au Gabon. Donc son histoire de jouer dans le Jardin de la Présidence de son père, avec Albertine et Alain Bongo est un peu juste. Vous verrez l’importance de ce détail plus bas.
6. Passant la parole à son neveu, le pauvre bougre dit à partir de 3:30 minutes ceci: « c’est en 1964, après le coup d’Etat, que Léon Mba avait décidé de nous envoyer à Alès. J’étais avec ma sœur Hortense Menguire, nous étions avec Brigitte Mba et Christiane Mba. Voilà les 4 enfants que Léon Mba avait d’abord envoyés à Alès. Quand nous sommes arrivés à Alès, nous avons trouvé des familles gabonaises qui étaient déjà installées, qui étaient déjà dans ce pensionnat… Ali était un peu en retard, vu les avions et tout… Je voudrais ici vous faire voir la photo où je suis avec le président actuel, Ali Bongo Ondimba, à cet âge il avait 8 ans, et c’est mon père qui a fait cette photo, c’était dans les années 63 à 67 quand les enfants du président Bongo sont venu à Alès. Dans un premier temps y a eu Ali, y a eu Amissa, et Pascaline, ainsi que Christian Bongo, qui était aussi avec nous, et leur tante Florence.» Chers lecteurs, le pauvre bougre a manifestement des troubles de mémoire et des difficultés en arithmétique, car il dit être arrivé à Alès en 1964 et qu’Alain, Amissa et Pascaline soient arrivés tout de suite après. Il se contredit ensuite en disant que les enfants Bongo sont arrivés à Alès entre 1963 et 1967. Pourquoi cette si grande fourchette, s’ils sont tous arrivés en même temps comme il semble l’indiquer? Pour croire en cette histoire, si on accepte l’année de la naissance d’Albertine comme étant 1964 comme l’indique sa biographie officielle, cela voudrait dire que sitôt née, les Bongo aient envoyé un nourrisson en pension en France. Aucune pension ne peut accepter un nouveau-né. Même en 1967, elle n’aurait été âgée que de 3 ans, ce qui est en deçà de l’âge acceptable pour un pensionnat. Attention, il y a une différence entre une garderie d’enfants et un pensionnat. Dans une garderie d’enfants, les enfants à bas âge doivent rentrer dans leur domicile le soir pour être auprès de leurs parents. Dans un pensionnat, les enfants plus murs restent en pension sous la supervision d’un staff. Les nourrissons ne sont jamais mis en pension. On peut mettre les nourrissons dans un orphelinat car ils n’ont pas de parents, mais pas dans un pensionnat. Cette histoire est fausse. Le plus triste pour ce pauvre bougre, est la photo qu’il exhibe dans laquelle Ali Bongo a 8 ans, l’âge de son arrivée au Gabon, mais il nous dit que cette photo ait été prise dans un intervalle allant de 1963 à 1967. Comment peut-on être si vague sur la date de la prise de la photo ? Si Ali Bongo avait 8 ans sur la photo c’est que cette dernière a été prise proche de 1968 et non proche de 1963, c’est assez élémentaire du point de vue arithmétique. Si Ali Bongo était à Alès en 1964, pourquoi sa biographie officielle nous dit que c’est en 1965 qu’il quitte le Gabon pour la France? S’il était à Alès en 1964, y a-t-il une photo de classe ? des collègues, des bulletins de notes, bref des indices indépendants vérifiables et vérifiés? Idem pour l’année, 1965, l’année 1966 et l’année 1967!
Chers lecteurs, si on vous accusait de ne pas être Gabonais de souche, qu’auriez-vous fait? Vous seriez allé trouver vos parents pour leur dire de vous donner vos originaux d’actes de naissance si vous ne les possédiez pas. Vous seriez allez retrouver vos premiers instituteurs et collègues d’écoles pour leur dire de témoigner avec documents à l’appui. Vous auriez une chronologie cohérente de votre scolarité, vous diriez aux gens qu’en telle année, j’étais à tel endroit et vous y ajouteriez toutes les preuves matérielles etc. Au lieu de cela, les témoignages de Pascaline Bongo et de quelques membres de la famille Léon Mba viennent encore plus compromettre Ali Bongo, car on reste avec l’impression qu’ils se donnent tout le mal du monde pour combler le vide allant de 1959 à 1968. Dans cet intervalle, rien de cohérent dans le récit. On a des femmes comme Paulette Ayo-Mba qui disent qu’elles ont joué dans le Jardin avec Alain et sa sœur Albertine, mais l’âge d’Albertine ne lui permettait pas d’être un partenaire de jeu pour Paulette Ayo-Mba alors que Léon Mba était un président valide, car Léon Mba tombe malade en 1965, quand Albertine Bongo n’a qu’un an et il quitte définitivement le Gabon en 1966 quand Albertine Bongo n’a que 2 ans. A quel moment va-t-elle nous suggérer qu’Albertine fut sa partenaire de jeu dans la présidence de son père?
Souvenez-vous chers lecteurs, pour démasquer le mensonge, laissez les menteurs s’exprimer et ils vont se mettre eux-mêmes la corde au cou. Nous assistons à la confirmation de l’imposture d’Ali Bongo car les mensonges contenus dans les témoignages deviennent de plus en plus ridicules. Il n’y a pas de génération spontanée, toute personne laisse des traces de son passage là où elle va, sauf Ali Bongo dont on doit fabriquer de toutes pièces une existence entre 1959 et 1968. Comme c’est triste pour le Gabon !
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