THE TRUTH DOES NOT HAVE AN EXPIRATION DATE. LA VÉRITÉ N'A PAS DE DATE DE PÉREMPTION
English version
Ernest Tomo is a controversial figure; that is true. To deny this would not in keeping with the truth. But it is also true that Ernest Tomo is much more than that. he is a successful businessman, a politician, a religious figure, and especially a privileged witness of the political evolution of Gabon since the 1960s, the son of Paul Maurice Tomo, former Minister of Leon Mba and important personality of Gabonese politics at the turn of independence. The family home of the Tomo was located at a stone's throw of the Presidency of the Republic, next to the Montfort School, which gave him a clear line of sight on the whereabouts of children who have experienced or shared these environments at the same time as him.
Ernest Tomo have recently spoken about Ali Bongo’s origins, formally stating that he is a Biafran child who was adopted by the Bongo family, along with one of Tomo’s brother of briafran’s origin who was adopted by his father at the same time the Bongos adopted the person who was to become Alain Bongo. We can blame Ernest Tomo for whatever we want; he may be asked why make this statement now and not earlier. For this blog, the main thing is that Tomo’s testimony is very important and useful because the truth has no expiration date, it is immutable and eternal. Even after centuries, the truth remains the truth. The Bongos think they can enclose the Gabonese people in a dungeon of lies; to hide the Gabonese from their history; thanks to witnesses such as Ernest Tomo, the Gabonese people will know the truth, the whole truth. The Gabonese people are so outraged to know that they are led by an impostor, a stranger with no fixed identity. But collectively through courageous characters like Luc Bengono Nsi, Ernest Tomo, with the support of the book by Pierre Péan, the fraud perpetrated against the Gabonese people is being peeled and the truth is beginning to be revealed.
The legal and political responsibility of the Gabonese authorities in the ripoff that is Ali Bongo, is now indisputable, whatever the political side one claims to be from. Like it or not, Ali Bongo and his regime are now cornered. To simply say that those who seek to shed light on the constitutionality of Ali Bongo’s presidency of Gabon, do so because of their hatred towards him, is the stuff of lowly demagogy that betrays the confusion of the defenders of the indefensible. Similarly, Ali Bongo’s militaristic attitude consisting in gassing anyone wanting to hold him accountable, is absolutely suicidal because the search for the truth about his identity is expanding, despite the brutal repression against those who oppose his imposture.
Ali Bongo was born somewhere in Nigeria and not in Brazzaville; he had biological parents, uncles, aunts, cousins, neighbors etc. His history will be reconstructed through a thorough search for the truth. Insulting and derogatory declarations calling us dogs will not stop the machine. Jean Boniface Assélé meanwhile has decided to sue Luc Bengono Nsi. That's good because it will be an opportunity to compare the detailed story of the birthing by Josephine Nkama in Brazzaville, with the reality on the ground already collected by many investigators, including this blog. The reality is that the Ali Bongo camp is showing signs of panic and confusion; and rightly so, because very little accustomed to the truth!
The right to know who their leaders are and what they do on their behalf, is fundamental to all people. Who is Ali Bongo is information of public interest. Nearly fifty years after the onset of the Bongo era, the Gabonese people's aspirations for dignity, democracy and social justice, are still pending. To those in power, nothing should change in Gabon, because according to their courtesans, time has stopped in Gabon since 1967 and the Gabonese people are invited to sleep of their deepest slumber. The real disease of the Bongo power is their denial of reality and stubbornness to believe that the march of history towards freedom applies to all countries of the world except ours. How can they lie so much, use so much falsity, how can they trample the constitution this much?
The regime seems to want the world to believe that the Gabonese people are happy in an autocratic system, the regime abhors any notion of democracy and is allergic to any form of governance not based on fear! When people like Ernest Tomo come to give evidence and confirm the deception of Ali Bongo, they are helping the people to thumb their nose at the imposture. The testimony of Ernest Tomo is of inestimable historical value as the Gabonese people living the denial of their history, their reality, their right to justice and freedom, know that the truth never expires and it is this truth that will push the Bongos out! As everywhere in the world, the truth will prevail.
Version française
Ernest Tomo est un personnage controversé; c'est vrai. Le nier serait ne pas être fidèle à la vérité. Mais il est aussi vrai qu'Ernest Tomo soit bien plus que cela. C'est un homme d'affaires prospère, un politicien, un religieux, et surtout un témoin privilégié de l'évolution politique du Gabon depuis les années 1960. Il est le fils de Paul Maurice Tomo, ancien Ministre de Léon Mba et importante personnalité politique Gabonaise au tournant des indépendances. La maison familiale des Tomo était située à un jet de pierre de la Présidence de la République, juste à côté de l'école Montfort, ce qui lui a donné une ligne de vision claire sur les allées et venues des enfants qui ont vécu ou partagé ces milieux à la même époque que lui.
Ernest Tomo vient de se prononcer sur les origines d'Ali Bongo, en déclarant formellement que ce dernier est un enfant biafrais qui fut adopté par la famille Bongo, au même titre qu'un de ses frères d'origine briafraise qui fut adopté par son père alors que les Bongo adoptaient celui qui allant devenir Alain Bongo. On peut reprocher tout ce qu'on veut à Ernest Tomo; on peut lui demander pourquoi faire cette déclaration maintenant et pas plus tôt. Pour ce blog, l'essentiel reste que le témoignage de Tomo soit très important et utile car la vérité n'a pas de date de péremption, Elle est immuable et éternelle. Même après des siècles, la vérité reste la vérité. Les Bongos pensent pouvoir enfermer le peuple Gabonais dans un donjon de mensonges; cacher aux Gabonais leur histoire; c'est grâce à des témoins comme Ernest Tomo que le peuple Gabonais saura la vérité, toute la vérité. Les Gabonais sont à ce jour révoltés de savoir qu’ils sont dirigés par un imposteur, un inconnu sans identité fixe. Mais collectivement, grâce à des courageux personnages, des Luc Bengono Nsi, des Ernest Tomo, avec l’appui du livre de Pierre Péan, l’imposture perpétrée contre le peuple Gabonais est en train d’être épluchée et la vérité commence à être révélée.
La responsabilité des autorités juridiques et politiques Gabonaises dans l’arnaque qu’est Ali Bongo est aujourd’hui indiscutable, quel que soit le bord politique dont on peut se réclamer. Qu’ils le veuillent ou non, Ali Bongo et son régime sont aujourd’hui au pied du mur. Dire tout simplement que ceux qui cherchent à faire toute la lumière sur la constitutionalité d’Ali Bongo à la Présidence du Gabon, le font par haine envers ce dernier, tient d’une basse démagogie qui trahit le désarroi des défenseurs de l’indéfendable. De même, l’attitude militariste d’Ali Bongo qui consiste à gazer toute personne voulant lui demander des comptes, est absolument suicidaire car la recherche de la vérité sur son identité est en pleine expansion, malgré la répression brutale faite à ceux qui s’oppose à son imposture.
Ali Bongo est bien né quelque part, au Nigeria et non à Brazzaville ; il avait des parents biologiques, des oncles, des tantes, des cousins, des cousines, des voisins etc. Toute son histoire sera reconstruite grâce à une recherche approfondie de la vérité. Les discours insultants et méprisants nous traitant de chiens, ne sauront arrêter la machine. Jean Boniface Assélé a décidé quant à lui de porter plainte à Luc Bengono Nsi. Ça tombe bien car ce sera l’occasion de confronter le récit détaillé de l’accouchement de Joséphine Nkama à Brazzaville, avec la réalité du terrain déjà recueillie par de nombreux investigateurs dont ce blog. La réalité est que le camp Ali Bongo montre des signes de panique et de confusion ; et pour cause, car très peu habitué à la vérité !
Le droit de savoir qui sont ses gouvernants et ce qu’ils font en son nom, est fondamental pour tout peuple. Savoir qui est Ali Bongo est donc une information d’intérêt public. Près d'une cinquantaine d'années après le déclenchement de l'ère Bongo, les aspirations du peuple Gabonais à la dignité, à la démocratie et à la justice sociale, demeurent toujours en suspens. Pour le pouvoir en place, rien ne doit changer au Gabon, car selon ses courtisans, le temps s’est arrêté au Gabon depuis 1967, et le peuple Gabonais est invité à dormir de son sommeil le plus profond. La véritable maladie du pouvoir Bongo est son déni de la réalité et son obstination à croire que la marche de l’histoire vers la liberté concerne tous les pays du monde, à l’exception du nôtre. Comment peut-on mentir autant, se servir de tant de fausseté, comment peut-on autant piétiner la constitution?
Le régime semble vouloir faire croire au monde que les Gabonais sont heureux dans un système autocratique, il abhorre toute idée de démocratie et est allergique à toute forme de gouvernance non basée sur la peur! Quand des gens comme Ernest Tomo viennent apporter leur témoignage et confirmer l'imposture d'Ali Bongo, ils viennent aider la population à faire un pied de nez à l'imposture. Le témoignage d'Ernest Tomo est d’une inestimable valeur historique car le peuple Gabonais qui vit le déni de son histoire, de sa réalité, de son droit à la justice, et à la liberté, sait que la vérité ne se périme jamais et c'est cette vérité qui va pousser les Bongo dehors! Comme partout dans le monde, la vérité l’emportera.
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