THE BIZARRE LOGIC OF SOME WHO ARE DISGRUNTLED WITH JEAN PING. LA LOGIQUE BIZARRE DE CERTAINS DÉCUS DE JEAN PING

English version

Decidedly, every pretext is good when one wants to justify something they know to be reprehensible. They are ready to invent all sorts of reasons and wrongs about those they want to blame for their own inconsistencies.

Dear readers, some people who are disappointed with Jean Ping, unfortunately lack dignity and pride. If they want to go to Ali Bongo’s dialogue and take advantage of the promised manna, let them do it freely; Who can prevent them? The problem for this blog is not to blame them, but to reject the justifications they use to try to make their departure to the soup, more morally acceptable.

We will not go into details about the decision of those who choose to join Ali Bongo. We'll just ask a very simple question:

Since you say that you are disappointed with Jean Ping, is the solution to go to work for a murderer?

We will await their explanatory contortions to this question.

We will not give up!

Version française

Décidément, tout prétexte est bon quand on veut se justifier de quelque chose qu’on sait répréhensible. On est prêt à inventer toutes sortes de raisons et des torts à ceux qu'on veut rendre responsables de ses propres incohérences.

Chers lecteurs, certains déçus de Jean Ping manquent malheureusement de dignité et de grandeur. S’ils veulent aller au dialogue d’Ali Bongo et profiter de la manne promise, qu’ils le fassent en toute liberté ; qui peut les empêcher ? Le problème de ce blog n’est pas de leur en tenir rigueur, mais de rejeter les justifications qu’ils utilisent pour essayer de rendre leur départ à la soupe, plus moralement potable.

Nous n’allons pas épiloguer longuement sur la décision de ceux qui choisissent d’aller rejoindre Ali Bongo. Nous leur poserons simplement une toute petite question :

Vu que vous dites être déçus de Jean Ping, la solution est-elle d’aller travailler pour un meurtrier ?

Nous allons attendre leurs contorsions explicatives à cette question.

On ne lâche rien !