JEAN EYEGHE-NDONG COULD HAVE BEEN A HERO, BUT HIS NATURE AS A STOOGE WAS STRONGER! JEAN EYEGHE-NDONG AURAIT PUT ÊTRE UN HÉROS, MAIS SA NATURE DE LARBIN A ÉTÉ PLUS FORTE !
English version
It was Jean Eyeghe-Ndong's turn to reveal
his sycophancy and okoukoutism. He would have resisted about 10 years, but the leopard
does not change its spots.
The trajectory of Jean Eyeghe-Ndong is
very striking, because it reveals a sycophant behavior that often pursues all
Gabonese politicians who have flirted with the high spheres of the Bongo’s
power: that is to say the principle of "old habits die hard"!
Apparently, the people who have been at
the highest levels of the Bongo regime have a mode of operation that shows that
whatever they say, their formatting remains inexorably and indelibly
conditioned by this regime; sooner or later they go back to their first love,
because in the end, it is within this regime that they have all their bearings.
Jean Eyeghe-Ndong naturally returned home to Ali Bongo!
Life is hard in the Gabonese opposition:
how to deal with rigged elections, lack of democracy and money, and police
repression? In short, Jean Eyeghe-Ndong shows us that he belongs more than ever
to this generation that took advantaged of Gabon instead of serving it. He has
this backward-looking mentality that, consciously or not, ultimately remains
convinced that Gabon rightfully belongs to the Bongos, and that if we want to
eat, we must ally ourselves with them.
What was the value of Jean Eyeghe-Ndong's
angry cries towards the Gabonese regime, if the result of all this was that he
returned to the fold with his tail between his legs? It is clearly not in the
ruling oligarchy, stemming from the ruling party, that one would find hope for
a radical change in the political system and true democracy in Gabon.
Jean Eyeghe-Ndong had tasted the soup and
it was good. 10 years later, he couldn't wait any longer. He missed the soup so
much. So he's naturally back where he feels the best. Next!
Version française
Au tour de Jean Eyeghe-Ndong
de révéler au grand jour son larbinisme et okoukoutisme. Il aura résisté
environ 10 ans, mais à chasser le naturel, il revient vite au galop.
La trajectoire de Jean
Eyeghe-Ndong est très frappante, car elle révèle un comportement larbiniste qui
poursuit souvent tous les politiciens gabonais ayant flirté avec les hautes sphères
du pouvoir Bongo: c’est-à-dire le principe du « qui a bu boira » !
Apparemment, les gens qui
ont été dans les plus hautes sphères du régime Bongo ont un mode de fonctionnement
qui veut que quel que soit ce qu’ils disent, leur formatage reste inexorablement
et indélébilement conditionnée par ce régime ; tôt ou tard ils repartent à
leurs premiers amours, car en définitive, c’est au sein de ce régime qu’ils ont
tous leurs repères. Jean Eyeghe-Ndong est donc
naturellement rentré chez lui, auprès d’Ali Bongo !
La vie est dure dans l’opposition
Gabonaise : comment faire face aux élections truquées, au manque de démocratie
et prébendes, et aux repressions policières ? En définitive, Jean
Eyeghe-Ndong nous démontre qu’il appartient plus que jamais à cette génération
qui a asservi le Gabon au lieu de le servir. Il a cette mentalité passéiste
qui, consciemment ou non, reste en définitive convaincue que le Gabon appartient
de plein droit aux Bongo, et que si on veut manger, il faut s’allier à eux.
Que valaient donc les cris
de colère de Jean Eyeghe-Ndong envers le pouvoir Gabonais, si le résultat des
courses était qu’il retourne au bercail la queue entre les jambes ? Ce n’est
manifestement pas dans l’oligarchie dirigeante, issue du parti au pouvoir, que
l’on trouverait l’espoir d’un changement radical du système politique et d’une
vraie démocratie au Gabon.
Jean Eyeghe-Ndong avait gouté
à la soupe et elle était bonne. 10 ans après, il n’en pouvait plus d’attendre.
La soupe lui manquant tant. Il est donc naturellement de retour là où il se sent
le mieux. Au suivant !
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