THE MANAGEMENT OF THE NATIONAL TEAM IS IN THE IMAGE OF THAT OF THE COUNTRY: AN OUTRIGHT DESASTER! LE MANAGEMENT DE L’ÉQUIPE NATIONALE EST À L’IMAGE DE CELUI DU PAYS : UN DÉSASTRE SUR TOUTE LA LIGNE!
English version
Gabon had to prepare for the
qualifiers of the African Cup of Nations; for this the leaders decided that the
team would go get ready in France. Very well! However, these same leaders had
probably not thought about the logistics of the return that would bring the
team to Kinshasa to play the first game.
The national team that was
to play on Saturday, June 4, 2022 in Kinshasa, left France on Thursday, June 2
to be in Kinshasa, to rest, make the
reconnaissance of the pitch on Friday, June 3, 2022, and be ready on June 4 for
the match. All of this was Plan A.
Only, following take-off in
France, after an hour, the chartered plane broke down in mid-flight and had to
land in Barcelona. Nothing very dramatic in principle, because in these cases,
the charter company would immediately have to assign another plane to fly the
team to destination. Normally, the accumulated delay should have been only a
few hours. But strangely, no plane would come. This situation is not normal!
The National Team would wait
for the leaders to find a solution, until these geniuses who run the national
team decided to bring the squad back to Paris, and to make them take the normal
commercial Air France flight to Kinshasa on Saturday morning, the day of the
match, to arrive in Kinshasa on Saturday afternoon at 6 p.m., 2 hours after the
start of the match. Puzzle.
Finally, the African
Football Confederation will postpone the match by 5 hours, to allow the
Gabonese who would arrive at 6 p.m., to get to the stadium, warm up and play.
Dear readers, this is a
suicidal solution; because we do not remember any similar situation, where in
high-level sport, young people were asked to travel 8000 kilometers by plane,
for a match to be played 3 hours after landing. The body of a professional footballer
is his working tool; the Gabonese players will not be able to play a high-level
football match. The dangers of serious injury will be enormous because the
players will not be in a physiological state to make repeated efforts.
Dear readers, why are
Gabonese leaders unable to organize coherently? What is complicated about
planning logistics that holds up?
The Players should have
simply refused to play! But dear readers, improvisation is the modus operandi
of our leaders. They take everything lightly and it is the people who have to
pay for the consequences. Here, it is the players who are asked to perform
miracles for a situation that was created by the governing bodies.
Version française
Le Gabon devait préparer les
éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations ; pour cela les dirigeants
décidèrent que l’équipe ferait une mise au vert en France. Très bien !
Mais seulement, ces mêmes dirigeants n’avaient vraisemblablement pensé à la
logistique du retour qui devait amener l’équipe jusqu’à Kinshasa pour disputer
le premier match.
L’équipe nationale qui
devait jouer samedi 4 juin 2022 à Kinshasa, quitta la France le Jeudi 2 juin
pour être sur pieds à Kinshasa, se reposer, faire la
reconnaissance du terrain le vendredi 3 juin 2022, et être d’aplomb le 4 juin
pour le match. Tout ceci était le plan A.
Seulement, après le décollage
de France, au bout d’une heure, l’avion de location a fait une panne en plein
vol et a dû atterrir à Barcelone. Rien de bien dramatique en principe, car dans
ces cas-là, la compagnie de charter devrait immédiatement affréter un autre
avion pour conduire l’équipe à bon port. En principe le retard accumule n’aurait
dû être que de quelques heures. Mais bizarrement, aucun avion ne viendra. Cette
situation n’est pas normale !
L’Equipe nationale attendra
que les dirigeants trouvent une solution, jusqu’à ce que ces génies qui
dirigent l’équipe nationale décident de ramener l’équipe sur Paris, et de lui
faire prendre le vol normal Air France en direction de Kinshasa du samedi
matin, jour du match, devant arriver à Kinshasa le samedi après-midi à 18 heures,
soit 2 heures après le début du match. Casse-tête.
Finalement, la Confédération
Africaine de Football fera décaler le match de 5 heures, pour permettre aux
Gabonais qui arriveront à 18 heures, d’arriver au stade, de s’échauffer et de
jouer.
Chers lecteurs, voici une
solution suicidaire ; car nous n’avons en mémoire aucune situation
similaire, ou dans le sport de haut niveau, on a demandé à de jeunes gens de
parcourir 8000 kilomètres d’avion, pour un match devant se jouer 3 heures après
l’atterrissage. Le corps d’un footballeur professionnel est son outil de
travail ; les joueurs Gabonais ne seront aucunement en capacite de jouer
un match de football de haut niveau. Les dangers de blessures graves seront énormes
car les joueurs ne seront pas en état physiologique de faire des efforts répétés.
Chers lecteurs, pourquoi les
dirigeants Gabonais sont-ils incapables de s’organiser de manière cohérente ?
Qu’est-ce qu’il y a de complique à prévoir une logistique qui tienne la route ?
Les joueurs auraient dû
simplement refuser de jouer ! Mais chers lecteurs, l’improvisation est le
modus operandi de nos dirigeants. Ils prennent tout à la légère et ce sont les
populations qui doivent payer les pots casses. Ici, ce sont les joueurs à qui l’on
demande des miracles pour une situation qui a été créée par les instances
dirigeantes.
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