THE LEADER OF THE HIGHEST COURT IN GABON, MARIE MADELEINE MBORANTSUO, IS AN OUTLAW. CELLE QUI PRÉSIDE Á LA PLUS HAUTE COUR DE JUSTICE DU PAYS, MARIE MADELEINE MBORANTSUO, EST ELLE-MÊME HORS LA LOI



English version


In most countries, the constitutional court serves as a referee which examines and calibrates laws being exerted within the country in relation to the constitution. As such, the constitutional court must derive its mission and authority from a country constitution. This court makes sure that the law is appropriately interpreted in relation to the constitution. Given such an important mission, it would be expected that the people appointed to sit on this court would have not only unimpeachable character, but more important would be themselves very observant of the charter and the constitution under which this court operates. This would be the case in almost every country, except for Gabon where the president the constitutional court outrageously and repeatedly violates the very constitution she has to follow. Here are a few examples:

1 The article 89 of the Gabonese constitution says the following:

The Constitutional Court consists of nine (9) members who hold the title of Advisor.
The term of office of Councilors shall be seven (7) years, renewable once.


This blog says: the maximum amount of time Mborantsuo should have spent as president of the constitutional court is 14 years, but she has now been in place since 1990-1991 or about 20 years. To accommodate this flagrant violation of the constitution, last year Ali Bongo amended the constitution to remove the provision limiting the terms of the members of the constitutional court. However this change occurred 5 years after Mborantsuo had already been presiding illegally over that court. Therefore, when Mborantsuo announced that Ali Bongo had won the election in 2009, she was the illegal president of the constitutional court. Her mandate had expired since 2005.

2 The article 90 of the Gabonese constitution says the following:

The function of member of the Constitutional Court is incompatible with any other public and private professional activity, except for exemptions under the Organic Law (Law No. 1 / 94 of 18 mars1994. These exceptions are teacher, medical doctor, writer, painter and sculptor). Members of the Constitutional Court are sworn in during a solemn ceremony chaired by the President of the Republic, in front of Parliament, the Court of Cassation, the State Council and the Court of Auditors. They take the following oath, the left hand on the Constitution and the right hand raised right before the national flag: "I swear to conscientiously fulfill the duties of my office in strict compliance with its obligations of neutrality and reserve, and to conduct myself in a manner worthy of a dignified and loyal magistrate."



This blog says: Marie Madeleine Mborantsuo regularly violates not only the constitution, but the oath of office she took, because of the following:

a) As you can see in the documents below (which is in French), she is the manager of the real estate company "ALLUBI". This is in TOTAL CONTRADICTION with the article 90 of the Gabonese constitution asking for members of the constitutional court not to have commercial professional activities. She is supposed to be impartial but she has business dealing with the very government she is supposed to sometime legislate over. This is called in a normal country, an outrageous conflict of interest; but in banana republics like Gabon this is accepted. More scandalous, the decree allowing her to have this real estate deal was taken by Ali Bongo and signed by the Prime Minister, Paul Biyoghe-Mba and the Minister of Economy, Magloire Ngambia. All 3 of these people, plus Mborantsuo herself are conspiring to blatantly violate the constitution they are supposed to obey. All 4 of these people have to know that it is illegal for the president of the constitutional court to run a commercial business and yet, they enable the situation and act as if they don't give a damn about the constitution because they own Gabon.

b) The president of the constitutional court is supposed to observe an obligation of reserve and neutrality. But not in Gabon, where Mborantsuo does not mind attending political rallies in support of Ali Bongo and asking people to welcome her step son (Ali Bongo) with delirium. This is no longer a banana republic but a caricature of a banana republic.

As you can certainly tell, the Constitutional Court of Gabon is led by someone who is comically and cynically just a very corrupt broad. Not exactly the kind of person capable of projecting a good example of transparency and separation of powers.

So goes Gabon






Version française


Dans la plupart des pays, la Cour constitutionnelle sert d'arbitre qui examine et étalonne les lois qui s'exercent ans le pays par rapport à la constitution. En tant que telle, la mission et l'autorité de la cour constitutionnelle découlent de la constitution du pays. Cette cour doit faire en sorte que la loi soit correctement interprétée en relation avec la constitution. Compte tenu de l'importance d'une telle mission, il serait souhaitables que les personnes désignées pour siéger à cette cour soit non seulement de moralité irréprochable; mais, plus important, observeraient la charte et la constitution en vertu desquelles cette cour fonctionne. Ce serait le cas dans presque tous les pays, sauf pour le Gabon dont la présidente de la Cour constitutionnelle, outrancièrement et à répétitions reprises viole la constitution qu'elle est supposée appliquer. Voici quelques exemples:

1 L'article 89 de la Constitution gabonaise dit ceci:

La Cour Constitutionnelle comprend neuf (9) membres qui portent le titre de Conseiller. La durée du mandat des Conseillers est de sept (7) ans renouvelable une fois.



Ce blog dit ceci: le temps maximum que Mborantsuo aurait dû passé en tant que président de la Cour constitutionnelle était de 14 ans, mais elle est restée en place depuis 1990-1991, soit environ 20 ans. Pour répondre à cette violation flagrante de la constitution, l'année dernière, Ali Bongo a modifié cette constitution pour supprimer la disposition limitant le mandat des membres de la Cour constitutionnelle. Toutefois, ce changement a eu lieu 5 ans après que Mborantsuo présidait déjà illégalement cette cour. Par conséquent, lorsque Mborantsuo a annoncé qu'Ali Bongo avait remporté l'élection en 2009, elle était la présidente illégale de la Cour constitutionnelle. Son mandat avait expiré depuis 2005.

2 L'article 90 de la Constitution gabonaise dit ceci:

Les fonctions de membre de la Cour Constitutionnelle sont incompatibles avec toute autre fonction publique et avec toute activité professionnelle privée, sous réserve des exceptions prévues par la loi organique (loi n° 1/94 du 18 mars1994, ces exceptions sont: enseignant, médecin, écrivain, peintre et sculpteur). Les membres de la Cour Constitutionnelle prêtent serment au cours d'une cérémonie solennelle présidée par le Président de la République, devant le Parlement, la Cour de cassation, le Conseil d'Etat et la Cour des comptes réunis ; Ils prêtent le serment suivant, la main gauche posée sur la Constitution et la main droite levée devant le drapeau national: "Je jure de remplir consciencieusement les devoirs de ma charge dans le strict respect de ses obligations de neutralité et de réserve, et de me conduire en digne et loyal magistrat".


Ce blog dit ceci: Marie Madeleine Mborantsuo viole régulièrement non seulement la constitution, mais le serment qu'elle a prêté; à cause de ce qui suit:

a) Comme vous pouvez le voir dans les documents ci-dessus, elle est gérante de la société immobilière "ALLUBI". Ceci est en TOTALE CONTRADICTION avec l'article 90 de la Constitution gabonaise demandant aux membres de la Cour constitutionnelle de ne pas avoir des activités commerciales professionnelles. Elle est censée être impartiale, mais elle a des affaires qui s'intersectent avec le gouvernement a propos duquel elle est censée parfois légiférer. C'est ce qu'on appelle, dans un pays normal, un conflit d'intérêt excessifs; mais dans les républiques bananières comme le Gabon, c'est accepté. Plus scandaleux, le décret lui permettant d'obtenir cette transaction immobilière a été pris par Ali Bongo et signé par le Premier ministre, Paul Biyoghe-Mba et le ministre de l'Economie, Magloire Ngambia. Ces trois personnes, en plus de Mborantsuo ont ouvertement conspiré pour violer la constitution qu'elles sont censées obéir. Tous les quatre doivent savoir qu'il est illégal pour le président de la Cour constitutionnelle de diriger une entreprise commerciale; et pourtant, ils permettent cette situation et agissent comme s'ils se foutaient complètement de la constitution parce que le Gabon leur appartient.

b) Le président de la cour constitutionnelle est censé observer une obligation de réserve et de neutralité. Mais pas au Gabon, où Mborantsuo n'a aucun scrupule quand il faut assister à des rassemblements politiques en soutient à Ali Bongo et demander aux gens d'accueillir son presque fils (Ali Bongo) de manière délirante. Nous ne sommes même plus dans une république bananière, mais dans une caricature de république bananière.

Comme vous pouvez certainement le constater, la Cour constitutionnelle du Gabon est dirigée par quelqu'un qui est comiquement et cyniquement rien d'autre qu'une rombière très corrompues. Ce n'est pas exactement le genre de personne capable de projeter un bon exemple de transparence et de séparation des pouvoirs.

Ainsi va le Gabon

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