THOSE CALLS FOR ONE WAY RESPONSIBILITY. CES APPELS À LA RESPONSABILITÉ À SENS UNIQUE










English version

On 31 August 2016, when a Gabonese defense force helicopter bombed candidate Jean Ping's headquarters; when Ali Bongo's Republican Guard forces stormed Jean Ping's headquarters and assassinated many Gabonese, how many representatives of state morality in Gabon did rise up against that act? How many? Who, when and where?

But it was enough for activists of the diaspora to remove Ali Bongo’s portrait from the walls of the Gabonese embassy in Paris, and hang in its place the one of the person who won the presidential election of 2016, for these minions to remember that the rule of law must be sacrosanct and that the symbols of the republic must be inviolated sanctuaries.

Who in the state apparatus in Gabon has presented any excuses to the families of the young Gabonese who were killed and tortured in Gabon in 2016? These same people find that the resistance of the diaspora is the greatest threat to peace in Gabon.

Even those who have found fords to cross, no longer say a word about the 2016 dead. What was the last time you heard Patrick Eyogho Edzang or Jonathan Ndoutoume-Ngome talk about the dead of 2016 and even less of the fraud of 2016.

Even those who have lodged complaints against Ali Bongo with international bodies such as Moukagni-Iwangou, do not even care anymore about what happens to these complaints.

To the regime’ stooges, this blog says this: when unemployment is constantly rising, does the Minister of Labor resign? Did the parliamentarians who adopted the latest constitutional amendments to ensure that the Bongos would remain in power, leave office apologetically? Are the public authorities who are squandering the money that should be used to rebuild the roads while these roads deteriorate, come back to us to account for how they used public money?

Can this regime and its allies teach us behavioral lessons and how state power should be expressed? Can they speak on behalf of the Gabonese people they have killed?

Responsible, the resistant are that. It is not the resistants who spent 100 million euros to buy the Pozzo di Borgo. It was not the resistants who organized the two African Cup of Nations. It was not the resistants who organized the New York Forum Africa. It was not the resistants who stole the vote from the Gabonese people and killed them in 2016.


Resistance is a necessary force to disinhibit our populations against this regime. That's why they should never give up!






Version française

Le 31 Aout 2016, quand un hélicoptère des forces de défense Gabonaises a bombardé le QG du candidat Jean Ping ; quand les forces de la Garde Républicaine d’Ali Bongo ont pris d’assaut le QG de Jean Ping et assassiné de nombreux Gabonais, combien de représentant de la moralité étatique au Gabon se sont élevés contre cet acte ? Combien ? Qui, quand et où ?

Mais il a suffi que des activistes de la diaspora aillent décrocher le portrait d’Ali Bongo des murs de l’ambassade du Gabon à Paris pour y accrocher celui de la personne qui a remporté l’élection présidentielle de 2016, pour que ces larbins se souviennent du fait que l’Etat de droit devait être sacrosaint et que les symboles de la république doivent être des sanctuaires inviolés.

Qui dans l’appareil étatique au Gabon a présenté la moindre excuse aux familles des jeunes Gabonais qui ont été tués et torturés au Gabon depuis 2016 ? Ces mêmes personnes trouvent que les résistants de la diaspora sont la plus grande menace contre la paix au Gabon.

Mêmes ceux qui ont trouvé des passages à gué pour leur traversée, ne disent plus un mot sur les morts de 2016. Quelle est la dernière fois que vous avez entendu Patrick Eyogho Edzang ou Jonathan Ndoutoume-Ngome parler des morts de 2016 et encore moins de la fraude de 2016.

Mêmes ceux qui ont déposé des plaintes contre Ali Bongo auprès des instances internationales comme Moukagni-Iwangou, ne se préoccupent même plus de ce qu’il adviendrait de ces plaintes.

Aux larbins du régime, ce blog dit ceci : quand le chômage part constamment à la hausse, est-ce que le ministre du travail démissionne ? Est-ce que les parlementaires qui ont adopté les énièmes modifications à la constitution assurant que les Bongo resteraient au pouvoir, ont quitté leurs fonctions en s'excusant ? Est-ce que les autorités publiques qui dilapident l’argent qui devrait servir à refaire les routes pendant que ces routes se dégradent, viennent nous rendre des comptes de comment ils ont dispensé l'argent public ?

Ce régime et ses alliés peuvent-ils nous donner des leçons de comportement et de comment un pouvoir régalien devrait s’exprimer ? Peuvent-ils parler au nom du peuple Gabonais qu’ils ont tué ?

Responsables, les résistants le sont. Ce ne sont pas les résistants qui ont dépensé 100 millions d’euros pour s’acheter le Pozzo di Borgo. Ce ne sont pas les résistants qui ont organisé les deux CAN. Ce ne sont pas les résistants qui ont organisé les New York Forum Africa. Ce ne sont pas les résistants qui ont volé les suffrages des Gabonais et qui les ont tués en 2016.


Les résistants sont une force nécessaire pour désinhiber nos populations face à ce régime. Voilà pourquoi ils ne devraient jamais lâcher !

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