REPRESSION IS UBIQUITOUS, EVEN WITHIN THE PDG! LA REPRESSION EST UBIQUITAIRE, MEME A L’INTERIEUR DU PDG!





English version

The leadership of the ruling party in Gabon, the PDG, has just informed its parliamentarians who voted against the decriminalization of homosexuality in Gabon, that sanctions will be taken against them. This is very serious in a country that claims to aspire to democracy and the rule of law.

the regime in power continue to fragment the country and threaten everyone’s liberty, even among its own ranks. There is freedom nowhere. Dear readers, it’s time for us, all of us, to restore freedom of opinion in our body politics and social environment. The repression has gone too far.

For those who rule Gabon, our sense of reality must be align to theirs. Their political narratives must become ours, and their orders must become our “truths,” even when we all know that they are nothing but lies. This has serious implications for public discourse and social cohesion on the most difficult issues facing our society. After all, what is the future of a people who have no opinions or ideas of their owns?

While the rest of the world is living through an information revolution where no one has a monopoly on ideas and competing interpretations of facts and philosophies proliferate; the Bongo regime has never been more repressive. A journalist writes an article criticizing the regime? They are called in by the intelligence service; a pastor says something that the government disapproves of? Intelligence officers are at their door. This cannot continue!

In progressive societies, journalists, academics and policy makers, make up the expert class serving an important gate-keeping role, wielding tremendous power in shaping public opinion. The Bongo’s regime desperate attempts to slow the unfolding freedom revolution and keep control of people opinions by more and more draconian repression, will fail and end up very badly.

Today in Gabon, we are in the midst of an inquisition!

We will not give up!




Version française

Le directoire du parti au pouvoir au Gabon, le PDG, vient de signifier à ses parlementaires ayant voté contre la dépénalisation de l’homosexualité au Gabon, que des sanctions seront prises à leur égard. C’est très grave dans un pays qui prétend à la démocratie et à l’état de droit.

Le régime au pouvoir continue de fragmenter le pays et de menacer les libertés de tous, même dans ses propres rangs. Il n'y a plus de liberté nulle part. Chers lecteurs, il est temps pour nous tous, de restaurer les libertés d’opinions dans notre univers politique et notre environnement social. La répression va désormais trop loin.

Pour ceux qui gouvernent le Gabon, notre sens des réalités doit être aligné sur le leur. Leurs dogmes politiques doivent devenir les nôtres et leurs diktats doivent devenir nos «vérités», même si nous savons tous que ce ne sont que des mensonges. Cela a de graves implications sur l’ambiance politique publique et la cohésion sociale ; et sur notre capacite à résoudre les problèmes les plus difficiles auxquels notre société est confrontée. Après tout, quel est l'avenir d'un peuple qui n'a pas d'opinions ou d'idées qui lui sont propres ?

Alors que le reste du monde vit une révolution de l'information où personne n'a plus le monopole des idées et alors que les interprétations concurrentes des faits et des philosophies prolifèrent; le régime Bongo n'a jamais été aussi répressif. Un journaliste écrit un article critiquant le régime? Il sera convoqué par les services de renseignement; un pasteur dit quelque chose que le gouvernement désapprouve? Les agents de renseignement seront à sa porte. Cela ne peut pas continuer !


Dans les sociétés progressistes, les journalistes, les universitaires et les décideurs politiques, constituent la classe d'experts jouant un rôle important d’aiguillage, exerçant un pouvoir énorme dans la formation de l'opinion publique. Les tentatives désespérées du régime Bongo de ralentir la révolution vers la liberté, en cours, et garder le contrôle sur les opinions du peuple par une répression de plus en plus draconienne, échoueront et finiront très mal.

Aujourd’hui au Gabon, nous sommes en pleine inquisition !

On ne lâche rien !


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