CHEZ EUX, LES FRANÇAIS PURES LAINES INSISTENT SUR LE FAIT QUE LA PRIORITÉ DANS TOUS LES DOMAINES SOIT FAITE AUX FRANÇAIS « ANCESTRAUX ». CHEZ NOUS, ILS METTENT DES ÉTRANGERS AU POUVOIR. POURQUOI ?

Nous vous disions hier que le point fort des occidentaux face à nous est qu’ils savent ce qu’ils veulent et se donnent les moyens et les justifications pour arriver à leurs résultats. C’est ainsi que nous savions déjà qu’en France, on a souvent entendu, les immigrés, principalement Noirs ou Arabes ; et même lorsque né en France ou même antillais, se plaindre que malgré leurs diplômes, ils arrivent difficilement à trouver un emploi correspondant à leurs qualifications. Mais voici qu’un scandale vient démontrer qu’en France, même quand les Noirs ou les Arabes ont des qualifications supérieures à celles des blancs français de souche et dans un domaine ou les performances sont publiques, le football, les instances étatiques s’arrangent avec des quotas obscurs, pour limiter la présence de trop de noirs ou d’Arabes dans l’élite. Chers lecteurs, ceux là mêmes qui disent qu’un gabonais d’adoption doit présider aux destinées du Gabon et ce en dépit des textes l’interdisant ; les mêmes qui disent que la gabonisation dans le secteur pétrolier comme le veut l’ONEP doit se faire au ralenti ; chez eux appliquent la préférence nationale sans vergogne.

1. Dans les centres de formation, la France met en place des quotas basés sur la couleur de la peau
Chers lecteurs, il est clair que les français veulent d’une équipe nationale qui leur ressemble. Ils veulent des blancs qui jouent pour la France, un point c’est tout. L’INF Clairefontaine, est l’un sinon le plus prestigieux centre de formation de footballeur en France. Voici qu’on nous apprend que dans ce centre et sous la direction des grands du foot français comme Gérard Houiller et Jean-François Domergue, il se concocta des décisions concernant la mise en place des quotas visant à limiter le nombre de blacks et beurs dans ce centre. La fédération française de football est embarrassée par le scandale, mais Pape Diouf, ce sénégalais qui fut président de l’Olympique de Marseille, persiste et signe en déclarant : "La vérité est la suivante. Le football français est à l’image de sa société. Le football français est raciste, il exclut." Nous sur ce blog trouvons la déclaration de Pape Diouf intéressante dans la mesure où elle établi clairement que personne ne devrait être surpris du racisme et de l’exclusion constatés dans le foot, car c’est à l’image de la société française qui exclue systématiquement les blacks et les beurs. Il est vrai que l’exemple ici est le foot et cela peut paraitre banal. Mais seulement ce qui se passe dans le sport n’est que la partie visible du iceberg car posant avec acuité la question de la préférence nationale. Si les français estiment que les blacks et les beurs sont de trop dans leur foot ; les gabonais peuvent ils en toute légitimité estimer que les français soient de trop dans l’exploitation de notre pétrole, de notre uranium et de notre manganèse? Chers lecteurs, voici les vrais problèmes que devraient être posés. Si un Français peut se demander pourquoi y a-t-il autant de noirs dans le sport français et pas seulement le foot ; est-ce qu’un gabonais pourraient exiger la diminution de la main mise française sur notre économie? Qu’est-ce que ça rapporte et à la diaspora antillaise vivant en France et aux Antilles ? S’il n’est pas scandaleux qu’un pays peuplé de 65 millions de Blancs veuille avoir une équipe de foot qui lui ressemble, pourquoi est-il scandaleux que le million de gabonais requièrent un président qui leur ressemble selon les critères établis par notre constitution?

2. La France qui pratique la préférence nationale chez elle, empêche les africains de pleinement participer à la construction de leur propre société en leur collant des présidents aux origines équivoques
Il y a toujours eu comme mur du silence autour de la question de la préférence nationale en France. Un pays où Nicolas Sarkozy a ouvertement adopté la stratégie d'extrême-droite consistant à promettre aux français une identité nationale précise et un discours liant immigration et insécurité ; en Afrique installent des régimes reposants sur peu de légitimité et avec de surcroit des présidents dont les origines ne sont pas toujours claires. Cette France pousse les africains à s’exiler de chez eux, à cause des comportements mafieux installés par la France et qui ont cours dans leur propre pays? Dans un pays comme le Gabon aujourd’hui, la moindre velléité de pensée autonome est vécue comme une menace pour tous ceux qui tirent profit du fonctionnement de ce système mis en place par la France. Tenez vous bien chers lecteurs, ce sont de bons gabonais qui font le "sale boulot", celui qui consiste à exclure d’autres gabonais qui selon eux n’ont pas fait suffisamment signe d’allégeance, pour installer à leur place, à la tête de l’état, des Ali Bongo, des Accrombessi ou encore toute la horde de néo-gabonais qui pilule à la présidence aujourd’hui et qui nous gouverne. Il faut le dire : nul ne songe de bonne grâce à quitter son pays, mais comment accepter de vivre dans son pays sous la coupe d’étrangers ? Mais quelle humiliation ! Voila pourquoi les Français mettent en place la préférence nationale dans tous les domaines chez eux. Ils veulent une France franco-française et nous le prouvent tous les jours. Pendant ce temps, chez nous, les entreprises françaises refusent d’appliquer les cahiers de charges qui leur demandent de se mettre à l’heure de la gabonisation. A titre de preuve, depuis que l’ONEP a obtenu un accord du gouvernement, qu’est ce qui a bien changé dans les entreprises pétrolières? Combien de gabonais ont été promus ?

Chers lecteurs, que les français soient racistes chez eux, on peut encore l’admettre, mais qu’ils le soient chez nous et avec nos richesses, on le comprend mal. Qui peut croire que ces français qui occupent tous des hauts postes au Gabon sont des gens surqualifiés et surdiplômés par rapport aux nationaux? Alors, si les Français estiment qu’ils ont le droit de pratiquer la préférence nationale chez eux, nous avons le droit de faire aussi chez nous, sans avoir d’excuse à présenter ni de leçons à recevoir de qui que ce soit.