NE VOUS EN FAITES PAS, LES FISSURES DE LA MAISON BONGO SONT DÉJÁ BIEN VISIBLES. IL FAUT POUSSER POUR QU'ELLE S'ECROULE.
A quand la deliverance?
Le débat politique libre et démocratique est un instrument indispensable d'analyse et de discussion sur les grands et graves problèmes qui traversent notre cher Gabon. Ali Bongo à Lambaréné, accusait "certains compatriotes" de répandre une mauvaise réputation au Gabon hors de nos frontières. Non Ali Bongo, nous n'inventons rien. Nous présentons au monde entier ce qu'est le Gabon. Vous voulez occulter la réalité pour pérenniser votre pouvoir. Pour nous, il s'agit de lutter contre la polémique inutile et protéger l'accès à l'information véritable, l'accès à la vérité. Notre avenir appelle l'histoire et si nous ne voulons pas être les orphelins du passé, il ne faut plus laisser libre cours à un pouvoir usurpateur de faire ce qu'il veut au Gabon et de confisquer nos droits, nos richesses, bref notre destin pendant des générations. Pour les Bongo, le calcul est différent. Leur pouvoir repose sur le mensonge et l'imposture, donc plus la vérité serait inaccessible au plus grand nombre, plus leurs chances de conserver le pouvoir seraient bonnes. Si nous voulons faire accepter le verdict des urnes a ceux qui pensent que nos suffrages ne sont d'aucune importance, nous devons mettre sur la place publique la façon dont le Gabon est conduit. Ce régime ne peut survivre sous les feux des projecteurs, car l'imposture n'aime pas le soleil, elle préfère se terrer dans la pénombre.
1. La maison familiale de plus en plus chancelante
L'empire Bongo est chancelant, est dépit des extérieurs rassurants qu'Ali Bongo cherche à projeter. L'influence des Bongo et leur main mise et basse sur le Gabon sont de plus en plus contestées au Gabon et à l'extérieur. Le secret de polichinelle est que la succession héréditaire au Gabon, a causé une révolte, dans les cœurs des gabonais (qu'ils l'admettent ou non), qui met à mal la puissance tutélaire et l'autorité de cette famille sur le pays. Le régime Bongo est aujourd'hui très affaibli. Le pouvoir en place est reçu par un vent glacial qui balaie les rues gabonaises. La méthode "kleenex" d'Ali Bongo, qui consiste à faire perdre son emploi à toute personne qui ne le soutiendrait pas, a elle aussi fait des dégâts. Des voix jadis timides, commencent à s'élever au-dessus de celles prévisibles de ceux qui ne se sont jamais compromis. La vérité est qu'Ali Bongo n'a presque rien à offrir aux gabonais. Comme diraient les québécois, son discours est "plate". Les vendeurs de sa politique paraissent insistants mais malgré leurs efforts, la population refuse de croire en ce produit faisandé. Malgré la versification allant de la simple rime a la poésie griotique, de "l'émergence" qu'on sert aux gabonais dans les médias d'états, le doute continue de s'emparer des gabonais et l'incrédulité est désormais une certitude. Rien ni fera. Ni les manchettes dithyrambiques de Gabon-Matin ou L'Union, ni les images en direct de manifestations de soutien “spontanées” de militants que diffusent régulièrement la RTG, ne sauront redorer un blason terni d'imposture.
2. La difficulté de bâtir sur des fondations d'impostures
Tous les gabonais, même ceux qui sont dans le camp du pouvoir, savent qu'Ali Bongo ne serait jamais arrivé au pouvoir au Gabon, si son père n'avait pas été le légataire de cette succession. Dans un pays où le mérite est la règle, Ali Bongo n'aurait jamais été proche des sommets au Gabon, que ce soit dans la musique, dans la politique, bref dans n'importe quel domaine. Le bonhomme est simplement médiocre. Tous les gabonais s'en rendent compte. N'importe qui peut hériter du pouvoir à la mort de son père, engager des consultants qui lui font réciter des slogans. Mais gouverner est un exercice plus compliqué que ça. Le prince est en état de captivité, c'est lui qui doit conserver le pouvoir pour qu'un clan continu de vivre au dessus de ses capacités normales. Le clan Bongo ne gouverne pas le Gabon. Il met plutôt le pays sous sa coupe réglée par un quadrillage de tous les secteurs lucratifs de la nation. Mais le reste des gabonais vit cette "occupation" comme un véritable cauchemar et souhaite en finir avec mainmise. Entre-temps, l'enclave diplomatique, la fenêtre que le régime centralisé Bongo voudrait voir comme séductrice, vient de prendre des sacrés coups ces dernières semaines, avec les articles de presse lors de la visite d'Ali Bongo aux USA et aussi les abus commis par les forces de défense là Minkébé et à Bitam. Quand Ali Bongo veut chasser le naturel, c'est au galop qu'il réapparait. La nomenklatura du clan Bongo ne sait plus que faire pour tenter de contrôler les évènements.
Au Gabon, les langues se délient, gagnées par la confiance que nous pouvons venir à bout de se régime. Le Gabon est trop précieux pour que les Bongo nous laissent tranquille de manière volontaire. Il va donc nous falloir les en contraindre et les en obliger.
Le débat politique libre et démocratique est un instrument indispensable d'analyse et de discussion sur les grands et graves problèmes qui traversent notre cher Gabon. Ali Bongo à Lambaréné, accusait "certains compatriotes" de répandre une mauvaise réputation au Gabon hors de nos frontières. Non Ali Bongo, nous n'inventons rien. Nous présentons au monde entier ce qu'est le Gabon. Vous voulez occulter la réalité pour pérenniser votre pouvoir. Pour nous, il s'agit de lutter contre la polémique inutile et protéger l'accès à l'information véritable, l'accès à la vérité. Notre avenir appelle l'histoire et si nous ne voulons pas être les orphelins du passé, il ne faut plus laisser libre cours à un pouvoir usurpateur de faire ce qu'il veut au Gabon et de confisquer nos droits, nos richesses, bref notre destin pendant des générations. Pour les Bongo, le calcul est différent. Leur pouvoir repose sur le mensonge et l'imposture, donc plus la vérité serait inaccessible au plus grand nombre, plus leurs chances de conserver le pouvoir seraient bonnes. Si nous voulons faire accepter le verdict des urnes a ceux qui pensent que nos suffrages ne sont d'aucune importance, nous devons mettre sur la place publique la façon dont le Gabon est conduit. Ce régime ne peut survivre sous les feux des projecteurs, car l'imposture n'aime pas le soleil, elle préfère se terrer dans la pénombre.
1. La maison familiale de plus en plus chancelante
L'empire Bongo est chancelant, est dépit des extérieurs rassurants qu'Ali Bongo cherche à projeter. L'influence des Bongo et leur main mise et basse sur le Gabon sont de plus en plus contestées au Gabon et à l'extérieur. Le secret de polichinelle est que la succession héréditaire au Gabon, a causé une révolte, dans les cœurs des gabonais (qu'ils l'admettent ou non), qui met à mal la puissance tutélaire et l'autorité de cette famille sur le pays. Le régime Bongo est aujourd'hui très affaibli. Le pouvoir en place est reçu par un vent glacial qui balaie les rues gabonaises. La méthode "kleenex" d'Ali Bongo, qui consiste à faire perdre son emploi à toute personne qui ne le soutiendrait pas, a elle aussi fait des dégâts. Des voix jadis timides, commencent à s'élever au-dessus de celles prévisibles de ceux qui ne se sont jamais compromis. La vérité est qu'Ali Bongo n'a presque rien à offrir aux gabonais. Comme diraient les québécois, son discours est "plate". Les vendeurs de sa politique paraissent insistants mais malgré leurs efforts, la population refuse de croire en ce produit faisandé. Malgré la versification allant de la simple rime a la poésie griotique, de "l'émergence" qu'on sert aux gabonais dans les médias d'états, le doute continue de s'emparer des gabonais et l'incrédulité est désormais une certitude. Rien ni fera. Ni les manchettes dithyrambiques de Gabon-Matin ou L'Union, ni les images en direct de manifestations de soutien “spontanées” de militants que diffusent régulièrement la RTG, ne sauront redorer un blason terni d'imposture.
2. La difficulté de bâtir sur des fondations d'impostures
Tous les gabonais, même ceux qui sont dans le camp du pouvoir, savent qu'Ali Bongo ne serait jamais arrivé au pouvoir au Gabon, si son père n'avait pas été le légataire de cette succession. Dans un pays où le mérite est la règle, Ali Bongo n'aurait jamais été proche des sommets au Gabon, que ce soit dans la musique, dans la politique, bref dans n'importe quel domaine. Le bonhomme est simplement médiocre. Tous les gabonais s'en rendent compte. N'importe qui peut hériter du pouvoir à la mort de son père, engager des consultants qui lui font réciter des slogans. Mais gouverner est un exercice plus compliqué que ça. Le prince est en état de captivité, c'est lui qui doit conserver le pouvoir pour qu'un clan continu de vivre au dessus de ses capacités normales. Le clan Bongo ne gouverne pas le Gabon. Il met plutôt le pays sous sa coupe réglée par un quadrillage de tous les secteurs lucratifs de la nation. Mais le reste des gabonais vit cette "occupation" comme un véritable cauchemar et souhaite en finir avec mainmise. Entre-temps, l'enclave diplomatique, la fenêtre que le régime centralisé Bongo voudrait voir comme séductrice, vient de prendre des sacrés coups ces dernières semaines, avec les articles de presse lors de la visite d'Ali Bongo aux USA et aussi les abus commis par les forces de défense là Minkébé et à Bitam. Quand Ali Bongo veut chasser le naturel, c'est au galop qu'il réapparait. La nomenklatura du clan Bongo ne sait plus que faire pour tenter de contrôler les évènements.
Au Gabon, les langues se délient, gagnées par la confiance que nous pouvons venir à bout de se régime. Le Gabon est trop précieux pour que les Bongo nous laissent tranquille de manière volontaire. Il va donc nous falloir les en contraindre et les en obliger.
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