IN RICHARD ATTIAS’ COUNTRY, THE UNIVERSITY IS AN OCCUPIED TERRITORY. AU PAYS DE RICHARD ATTIAS, L’UNIVERSITE EST UN TERRITOIRE OCCUPÉ
English Version
Since Richard Attias thinks that he knows more than the " Gabonese people ", what is good for Gabon ; since Richard Attias says to love Gabon more than the Gabonese people (especially Gabon’s money, we suspect ) ; no one should blame us for baptizing Gabon, during the New York Forum Africa : "Attias’ country”. We have no doubt that he himself would be personally very moved by this recognition of his love for our land.
On this Monday, in Attias’ country, the security forces of the emperor -president , a close friend and especially Attias’ client, once again proved that the university remained a territory under occupation, in need to be pacified with tear gas and rubber bullets . There have supposed to have been injuries. Attias will certainly explain that in acting in such a way, the regime expresses his love and affection for the Gabonese youth, and that in turn they have a better understanding of the academic programs under the threat of a bullet.
So goes Attias’ country
Version française
Vu que Richard Attias pense savoir plus que les « gabonais », ce qui est bon pour le Gabon ; vu que Richard Attias dise aimer le Gabon plus que les Gabonais (surtout le fric du Gabon, avons-nous le soupçon) ; on ne pourra donc pas nous en vouloir de baptiser le Gabon, pendant le New York Forum Africa : « le pays d’Attias ». Nous n’avons pas de doute que l’intéressé sera très ému par cette marque de reconnaissance de son amour pour notre terre.
En ce Lundi, dans le pays d’Attias, les forces de sécurité de l’empereur-président, ami intime et surtout client d’Attias, ont encore prouvé que l’université restait un territoire sous occupation, qu’il fallait pacifier aux bombes lacrymogènes et tirs de balles en caoutchouc. Il y aurait des blessés. Attias va certainement nous expliquer que le régime exprime là tout son amour et attachement pour la jeunesse Gabonaise qui trouve qu’on comprend mieux les programmes universitaires sous la menace d’une balle.
Ainsi va le pays d’Attias
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