WHILE THE GABONESE PEOPLE ARE LITERALLY BURIED UNDER MISERY, ALI BONGO INVITES THE INTERNATIONAL PRESS, ALL EXPENSES PAID! ALORS QUE LES GABONAIS SONT ENSEVELIS LITTÉRALEMENT SOUS LA MISÈRE, ALI BONGO INVITE LA PRESSE INTERNATIONALE TOUS FRAIS PAYÉES!
English Version
There is no longer the shadow of a doubt, Ali Bongo is crazy! Gabon finds at its head a crazy person of the worst kind; a psychopath! While two Gabonese families have just lost 6 members, buried by a landslide that occurred in an undeveloped suburb of Libreville, as there are so many where are crammed more than 70% of Gabonese in need of almost everything; it is the French periodical "La Lettre du Continent" which tells us that Ali Bongo had invited a great bunch of Western journalists, all expenses paid, to cover the upcoming New York Forum Africa that is organized for him by Richard Attias.
Looking for conciliatory media coverage, knowing that the only journalists who can give him extenuating circumstances are those he pays; Ali Bongo has decided that the priority of the Gabonese treasury resources is to wine and dine Western journalists, inviting them all fees paid to the Attias fair. But "all expenses paid" what does that mean in this context? La Lettre du Continent said that a letter addressed to the offices of Western news agencies, by Richard Attias, reads that the Gabonese authorities will take charge of: visas, air tickets, accommodation and entertainment of these guests. Dear readers, imagine how much it will cost by journalist! Meanwhile many Gabonese families are drowning in misery and dying from it. Ali Bongo priorities are those of a madman!
But the real circus is that at this time, Ali’s spouse, Sylvia Bongo, is on an outing (literally) in what their propaganda calls the Caravan in Deep Gabon (another caravan), to observe the failures of the health system in the hinterland. Snapshots of this tour are relayed by the propaganda media and even some outlet until now decent such as Gabonreview. But after five years in power, Sylvia Bongo has shed many tears over the fate of the poor mothers of Gabon, for what result? For Rolex on her wrist, apartments in London and a private jet to take her away from the poverty in which she cannot live too long.
When a country is ruled by mad revelers, who cares about landslides that bury citizens? Certainly not the crazies or the entertainers and minions of the crazies!
So goes the Bongo’s Gabon!
Version française
Il n’y a plus l’ombre d’aucun doute, Ali Bongo est fou ! Le Gabon se retrouve avec à sa tête un malade de la pire espèce ; un psychopathe ! Alors que deux familles Gabonaises viennent de perdre 6 membres, ensevelis par un éboulement de terrain survenu dans un quartier non viabilisé de la banlieue de Libreville, comme il y en a tant où s’entassent les plus de 70% de Gabonais manquant presque de tout ; c’est le périodique Français « La Lettre du Continent » qui nous apprend qu’Ali Bongo aurait invité une belle brochette de journalistes occidentaux, tous frais payés, pour venir couvrir le New York Forum Africa que lui organise Richard Attias.
Recherchant une couverture médiatique conciliante, sachant que les seuls journalistes qui peuvent lui trouver des circonstances atténuantes sont ceux qu’il paie, Ali Bongo a donc décidé que la priorité des ressources de la trésorerie Gabonaise soit de mettre les petits plats dans les grands pour des journalistes occidentaux, les invitant tous frais payés à la foire d’Attias. Mais « tous frais payés » ça veut dire quoi dans ce contexte ? La Lettre du Continent dit qu’une lettre adressées aux bureaux des agences de presse occidentales, par Richard Attias, précise que les autorités gabonaises prendront à leur charge: les visas, les billets d’avions, l’hébergement et les réjouissances, de ces invités. Chers lecteurs, imaginez combien cela coutera par journaliste ! Pendant ce temps de nombreuses familles gabonaises croulent sous la misère et en meurent. Les priorités d’Ali Bongo sont celles d’un fou !
Mais le véritable cirque c’est qu’en ce moment, la dulcinée d’Ali, Sylvia Bongo, est en villégiature (littéralement) dans ce que la propagande appelle la Caravane Gabon Profond (une autre caravane), pour se rendre compte des défaillances sanitaires de l’arrière-pays. Les clichés de cette tournée sont relayés par la presse de propagande et mêmes quelques organes jusque-là assez potables comme Gabonreview. Mais en 5 ans de pouvoir, Sylvia Bongo en a versé des larmes sur le sort des mères pauvres du Gabon, pour quel résultat ? Pour des Rolex à son poignet, des appartements à Londres et un jet privé pour la tenir éloignée de cette pauvreté au sein de laquelle elle ne saurait trop longtemps vivre.
Quand un pays est dirigé par des jouisseurs fous, qui remarque donc les éboulements qui ensevelissent les citoyens ? En tout cas pas les fous, ni les amuseurs et larbins des fous !
Ainsi va le Gabon des Bongo !
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