GAGAN GUPTA’S MASTERFUL TRICK! LA MAGISTRALE ENTOURLOUPE DE GAGAN GUPTA !
English version In 2009, Olam market value collapsed, and its market share was valued at zero, worthless. A company by the name of Muddy Waters declared that Olam was heading toward bankruptcy. To keep Olam solvent, Singapore’ sovereign fund Tomasek, had to rescue them; but Olam knew they needed to bring in new sources of revenue. To do that, targeted Africa. Olam came to Gabon, linked itself with the Ali Bongo’s regime and made Ali Bongo’ son the second in charge at Olam Gabon. For every project that Olam started in Gabon, the country took huge loan that were funneled to Olam. For one such project, the building of a fertilizer plan in Port-Gentil by Olam, Gabon took out a 750 billion CFA francs loan that went 100% to Olam. The problem? The factory was never built. Who is left to repay the loan? The Gabonese people. Once Olam had established itself in Gabon and that all the money had been received from the Gabonese government, Gagan Gupta wanted to prevent Olam from
Un dictateur ne respecte jamais le verdict des urnes de gaieté de cœur. Personne n'est assez naïf pour le croire. Un dictateur respecte le verdict des urnes parce qu'il se retrouve acculé, dos au mur et, dans l'incapacité de faire autrement. Pour y parvenir, il faut de l'organisation, de la rigueur et de la méthode. On a vu au Sénégal, comment Diouf fut pris de court par l'usage que Wade et les siens firent du téléphone portable. Un épisode dont les autres dictateurs ont d'ailleurs tiré un enseignement puisqu'ils coupent désormais les communications.
ReplyDeleteEn allant aux législatives comme vous le recommandez, avez-vous des garanties de transparence ? Comment voulez-vous imposer le verdict des urnes à Ali Bongo et à son régime, si le dispositif en place au Gabon donne la totalité des instruments de contrôle à Ali Bongo ?
ReplyDeleteSi on doit attendre qu'Ali Bongo nous concède des choses c'est que nous ne sommes pas convaincus d'avoir affaire à un dictateur. Si on doit nous contenter de nous plaindre de l'absence de transparence et de sa mainmise sur les institutions, c'est que nous ne sommes pas en lutte contre une dictature. Encore une fois, les Sénégalais l'ont imposé à Diouf puis à Wade. A nous de l'imposer à Ali Bongo.
ReplyDeleteVous voulez lui imposer la démocratie en allant à son élection sur mesure et à ses conditions. Bravo ! Vous avez manifestement une lecture des choses très différente de la mienne. Bonne chance !
ReplyDeleteDiouf et Wade aussi croyaient organiser des élections sur-mesure. Avec Diouf ça a marché un moment puis ça a cassé un jour...
ReplyDeleteL'essence même de la lutte démocratique est tout mettre en oeuvre pour imposer au dictateur le respect des principes démocratiques
ReplyDelete