VEOLIA’S SUCCESSOR HAS ALREADY BEEN CHOSEN. LE SUCCESSEUR DE VEOLIA EST DÉJÀ CHOISI

English version

The contract linking the French company Veolia to the Gabonese state, signed in 1997, for 20 years, expired since June 30, 2017. But not being ready to take over the SEEG, the Gabonese State had in March 2017, granted an additional five-year reprieve to Veolia. But in fact, Ali Bongo and his Olam advisors, mainly Gagan Gupta, had given themselves some time to set up a corporate takeover structure.

The buyer of SEEG is already known. You will notice that no call for tenders has been issued by the Gabonese State. Our sources are formal, as is now the rule for any sensible and lucrative project in Gabon, it is Olam that will win the prize. They will announce an independent entity, but its control will be done by Olam.

It is not for nothing that Ali Bongo put his son as number 2 of Olam Gabon, after Gagan Gupta. Olam is now the washing machine of Ali Bongo. All activities generating huge revenues: industry, port activity, air travel activity, and soon water and electricity; have a common funnel: Olam. For finance, the BGFI has become the Treasury.

The Gabonese Republic is dead. The kingdom of Gabon is born.

We will not give up!

Traduction française

Le contrat liant la société française Veolia à l’Etat Gabonais, signe en 1997, pour 20 ans, est arrivé à expiration depuis le 30 Juin 2017. Mais n’étant pas prêt à reprendre la SEEG, l’Etat Gabonais avait en Mars 2017, accorde un sursis de 5 ans supplémentaire a Veolia. Mais en fait, Ali Bongo et ses conseillers d’Olam, principalement Gagan Gupta, s’étaient donnés un peu de temps pour mettre en place une structure de reprise de l’entreprise.

Le repreneur de la SEEG est déjà connu. Vous remarquerez qu’aucun appel d’offres n’a été émis par l’Etat Gabonais. Nos sources sont formelles, comme c’est désormais la règle pour tout projet sensible et juteux au Gabon, c’est Olam qui va rafler la mise. Ils vont annoncer une entité indépendante, mais le control de celle-ci sera le fait d’Olam.

Ce n’est pas pour rien qu’Ali Bongo a placé son fils comme numéro 2 d’Olam Gabon, après Gagan Gupta. Olam est désormais la lessiveuse d’Ali Bongo. Toutes les activités produisant d’énormes revenus : l’industrie, l’activité portuaire, l’activité aérienne, et bientôt l’eau et l’électricité ; ont un entonnoir commun : Olam. Pour la finance, la BGFI est devenu le Trésor public.

La république Gabonaise est morte. Le royaume du Gabon est né.