AFRICA AND GABON MUST ABSOLUTELY AVOID A BRAZILIAN SCENARIO! L’AFRIQUE ET LE GABON DOIVENT ABSOLUMENT ÉVITER UN SCENARIO À LA BRÉSILIENNE !
English version
In 27 of March 2020, our compatriot Dr Henry Nsie Obame published an article on his Facebook page, in which he postulated that populations in areas where malaria was endemic were likely protected against the coronavirus because of their anti-malarial antibodies. At the time, Africa had only 3721 case of coronavirus for 83 death; Brazil only had only 3319 cases and 92 death for a country of 210 million people. Africa was doing well in comparison to European countries such as Italy that had 86498 cases and 9134 deaths at the same date.
It was therefore only natural for scientists such as Dr Henry Nsie Obame to declare that Africa and Brazil were doing so well because their populations were being protected by their antibodies. However, this is turning out to have been a mistake.
By Sunday 17 of May 2020, confirmed cases of coronavirus in Brazil have now surpassed those of China, Italy and Spain, that were once epicenters of the pandemic. Brazil outbreak is now the fourth largest in the world, after the USA, Russia and England. Brazil now has 233511 cases for 15662 deaths. In one and a half month, Brazil went from having 92 deaths to having more than 15 thousand deaths. Coronavirus is not a joke. Africa must pay attention.
Brazil’ situation is telling us that the theory of Dr Henry Nsie Obame about a potential protection by anti-malarial antibodies is likely not scientifically reliable. As the infection continue to progress rapidly in some African countries, we must find effective solutions and not just wait for the events to control us.
Brazil has lost two Health Ministers in one month. They resigned because they had disagreements with the President about strategies to combat coronavirus. President Jair Bolsonaro thought that Brazil was protected and therefore took no action against the pandemic. He waited too long to impose strict social isolation and quarantine to combat the spread of the virus, including the closure of schools, shops and restaurants. As a result, the virus spread and now he has more than 15 thousand deaths on his hands.
Dear readers, we must be smart now and take our lives in our hands; it is an issue of life and death! Those who think that this would only happen to others are playing Russian roulette!
Version française
Le 27 mars 2020, notre compatriote, le Dr Henry Nsie Obame, a publié un article sur sa page Facebook, dans lequel il postulait que les populations des régions où le paludisme était endémique étaient probablement protégées contre le coronavirus en raison de leurs anticorps antipaludiques. À l'époque, l'Afrique n'avait que 3721 cas de coronavirus pour 83 décès; Le Brésil n'enregistrait que 3319 cas et 92 décès pour un pays de 210 millions d'habitants. L'Afrique s’en sortait bien par rapport à des pays européens tels que l'Italie qui avaient 86498 cas et 9134 décès à la même date.
Il était donc tout à fait naturel pour des scientifiques comme le Dr Henry Nsie Obame de formuler que l'Afrique et le Brésil se portaient si bien parce que leurs populations étaient protégées par leurs anticorps. Cependant, cela est train de s'avérer avoir été une erreur.
Au dimanche 17 mai 2020, les cas confirmés de coronavirus au Brésil ont désormais dépassé ceux de la Chine, de l'Italie et de l'Espagne, qui étaient encore récemment les épicentres de la pandémie. L'épidémie au Brésil est désormais la quatrième en importance dans le monde, après les États-Unis, la Russie et l'Angleterre. Le Brésil compte dorénavant 233511 cas pour 15662 décès. En un mois et demi, le Brésil est passé de 92 décès à plus de 15000 décès. Le coronavirus n'est pas une blague. L'Afrique doit faire attention.
La situation du Brésil nous dit que la théorie du Dr Henry Nsie Obame à propos d’une protection potentielle par des anticorps antipaludiques n'est probablement pas scientifiquement fiable. Vu que l'infection continue de progresser rapidement dans certains pays africains, nous devons trouver des solutions efficaces et ne pas attendre que les événements s’imposent à nous.
Le Brésil a perdu deux ministres de la Santé en un mois. Ils ont démissionné parce qu'ils étaient en désaccord avec le président sur les stratégies de lutte contre les coronavirus. Le président Jair Bolsonaro pensait que le Brésil était protégé et n'a donc pris aucune mesure contre la pandémie. Il a attendu trop longtemps pour imposer un confinement social strict et une quarantaine pour lutter contre la propagation du virus ; notamment la fermeture des écoles, des magasins et des restaurants. En conséquence, le virus s'est propagé et il a maintenant plus de 15 mille morts sur les mains.
Chers lecteurs, nous devons être intelligents à présent et prendre nos vies en main ; c'est une question de vie ou de mort ! Ceux qui pensent que cela n'arrive qu'aux autres jouent à la roulette russe !
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