SHOULD WE DESPAIR OF THE COPIL? FAUT-IL DESESPERER DU COPIL ?
English version
Dear readers, in trying to reassure the Gabonese people about the reliability of the coronavirus tests used in Gabon, the Copil said the following:
“We are going to set up a procedure, because with such information, we must be able to quickly establish quality control of the tests we use in Gabon. But for the moment what reassures us is that when we test samples, we record both positive and negative tests "
This declaration is serious enough to cause either the resignation or the dismissal of the entire Copil. Indeed, the simple fact of generating positive and negative tests has never been a guarantee of reliability in the evaluation of biological tests. By saying that, the Copil is dwelling in pseudoscience and disqualifies itself by demonstrating its ignorance of the principles of quality control in biological tests!
Elsewhere in Africa, things are done differently. Tanzania's president John Magufuli, who holds a doctorate in chemistry, knew that before using any test a validation of that test must be first established.
To test the reliability of the coronavirus testing kits, Magufuli had samples taken from a goat, a sheep, a bird and a papaya; and had them labeled with human names before being sent to Tanzania's National Laboratory. Surprisingly, all the animals and even the papaya tested positive for coronavirus. These results showed that the test could not have been reliable and needed to be improved.
For the Copil to have used the tests without first establishing their reliability is a grave scientific mistake. They must be held to account!
Version française
Chers lecteurs, en voulant rassurer les Gabonais à propos de la fiabilité des tests de coronavirus utilisés au Gabon, le Copil a déclaré ce qui suit :
« Nous allons mettre en place une procédure, car avec de telles informations, il faut que rapidement, on puisse faire un contrôle qualité des tests que nous utilisons au Gabon. Mais pour l’instant ce qui nous rassure, c’est que lorsque nous organisons des prélèvements, nous enregistrons aussi bien des tests positifs que des tests négatifs »
Cette déclaration est suffisamment grave pour générer soit la démission, soit le limogeage de l’ensemble du Copil. En effet, le simple fait de générer des tests positifs et négatifs, n’a jamais été un gage de fiabilité dans l’évaluation de test biologiques. En disant cela, le Copil fait de la pseudoscience et se disqualifie car démontrant sa méconnaissance des principes de contrôle de qualité dans les tests biologiques !
Ailleurs en Afrique, les choses sont faites différemment. Le président tanzanien John Magufuli, titulaire d'un doctorat en chimie, savait qu'avant d'utiliser un test, une validation de ce test doit d'abord être établie.
Pour tester la fiabilité des kits de test des coronavirus, Magufuli a fait prélever des échantillons sur une chèvre, un mouton, un oiseau et une papaye ; et les a fait étiqueter avec des noms humains avant d'être envoyés au Laboratoire national de Tanzanie. Étonnamment, tous les animaux et même la papaye ont été testés positifs pour le coronavirus. Ces résultats ont démontré que le test ne pouvait pas être fiable et devait être amélioré.
Pour le Copil d'avoir utilisé des tests sans d'abord établir leur fiabilité est une grave erreur scientifique. Ils doivent s’expliquer à ce sujet!
Comments
Post a Comment