WHEN REPRESSION INCREASES, SO MUST DISSENT. IT'S INEVITABLE! QUAND LA RÉPRESSION CROIT, LA DISSIDENCE AUSSI DOIT SUIVRE. C’EST INÉVITABLE!
English version
In 1964, Nelson Mandela, the leader of the African National Congress’s
armed wing, uMkhonto we Sizwe, was sent to prison in South Africa, on terrorism
charges. This was a turning point in how black activists conceived of their
mission to liberate their country.
In 1968, while he was a student at the University of Fort Hare, Steve Biko
led black South African to adopt a radical movement called “black consciousness”.
In 1972, he was expelled from the University of Natal, and in 1973, the apartheid
government declared him an enemy of the State, meaning that he could not speak
in public or publish, and quoting his words became illegal. Biko became a
fugitive and went underground. He was arrested in 1977 during a government
crackdown. He was tortured while held by the security services and died in
custody. The apartheid government said that he committed suicide by hanging,
however an autopsy revealed that he had died of multiple skull fractures.
In the case of Nelson Mandela, Steve Biko and the other freedom
fighters against apartheid South Africa, the official position of the white racist
government was that apartheid was good and the Black activists were terrorists.
In Gabon, some people are trying to manipulate the gullible, by telling
them that the Bongo regime is good and it is people like our compatriot
Glenn-Patrick Moundende who are bad.
Dear readers, like we have seen with South Africa, Glenn-Patrick
Moundende was on the right side of history and the Bongo regime belongs to the
dustbins of history. History will prove this right, despite every attempt by
the Bongo regime to falsify the fact and to use repression. It is inevitable.
Version française
En 1964, Nelson Mandela, le
chef de la branche armée de l’ANC, uMkhonto we Sizwe, fut emprisonné en Afrique
du Sud, pour terrorisme. Ce fut un tournant dans la façon dont les militants
noirs concevaient leur mission de libérer leur pays.
En 1968, alors qu'il était
étudiant à l'Université de Fort Hare, Steve Biko avait conduit les
Sud-Africains noirs à adopter un mouvement radical appelé « conscience
noire ». En 1972, il fut expulsé de l'Université du Natal et, en 1973, le
gouvernement de l'apartheid le déclara ennemi d'État, ce qui signifie qu'il ne
pouvait plus parler en public ou publier, et citer ses paroles devint illégal.
Biko entra dans la clandestinité et devint fugitif. Il sera arrêté en 1977 lors
d'une vaste opération de répression gouvernementale. Il fut torturé alors qu'il
était détenu par les services de sécurité et est mort en détention. Le
gouvernement de l'apartheid a déclaré qu'il s'était suicidé par pendaison, mais
une autopsie révéla qu'il était mort de multiples fractures au crâne.
Dans le cas de Nelson
Mandela, Steve Biko et des autres combattants pour la liberté contre
l'apartheid, en Afrique du Sud, la position officielle du gouvernement raciste
blanc était que l'apartheid était bon et que les militants noirs étaient des
terroristes.
Au Gabon, certains essaient
de manipuler les crédules, en leur disant que le régime Bongo est bon et que ce
sont des gens comme notre compatriote Glenn-Patrick Moundende qui sont mauvais.
Chers lecteurs, comme nous
l'avons vu avec l'Afrique du Sud, Glenn-Patrick Moundende était du bon côté de
l'histoire et le régime Bongo appartient aux poubelles de l'histoire.
L'histoire le prouvera, malgré toutes les tentatives du régime Bongo de falsifier
les faits et d'utiliser la répression. C'est inévitable.
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