FAUSTIN BOUKOUBI WRITES HIS POLITICAL WILL. FAUSTIN BOUKOUBI ÉCRIT SON TESTAMENT POLITIQUE
English version
Faustin Boukoubi, whose the position of Secretary General of the dying PDG is tenuous at best, has just gone ahead in publishing a letter to members of the PDG of his native region. In this letter, Boukoubi is making what can only be interpreted as a political farewell, reminding them of the good old days when they could count on him for career advancements or small and big favors as we know members of the great “mass” party do for each other. But now, as it was Omar Bongo who said to be able to make a dog into a minister and a minister into a dog, the content of this letter by Boukoubi leads us to predict that the time has come for him to become a mutt in the eyes of the Bongos. We will not say more because Boukoubi’s words are the best illustration of his downward spiral and what happens to people whom the Bongos and the PDG no longer need. Boukoubi was spun like an old mop, squeezed like an old lemon, it is time for him to know the foul smell of the political garbage bins, where can already be found, many zealous members of the PDG who yesterday did not imagine that Maixent Accrombessi would give them that now devastating kick. Would Boukoubi come to the opposition? Time will tell!
Version française
Faustin Boukoubi, dont la position de Secrétaire General du PDG mourant est en sursis, vient de prendre les devants en publiant une lettre aux membres PDG de sa région natale. Dans cette lettre, Boukoubi leur fait ce qui ne peut être interprété que comme des adieux politiques, leur rappelant le bon vieux temps quand ils pouvaient compter sur lui pour des avancements de carrière ou des services petits et grands comme on sait se les rendre entre membres du grand parti de « masse ». Mais voilà, c’est Omar Bongo qui avait dit pouvoir faire d’un chien un ministre et d’un ministre un chien ; le contenu de cette lettre de Boukoubi nous laisse présager que le moment est venu pour lui de redevenir clébard aux yeux des Bongo. Nous n’en disons pas plus car les mots de Boukoubi sont les meilleures illustrations de sa dégringolade et de ce qui advient des gens dont les Bongo et le PDG n’ont plus besoin. Boukoubi a été essoré comme une vielle serpillère, pressé comme un vieux citron; le moment est venu pour lui de connaitre les odeurs des fonds de poubelles politiques, là où reposent déjà bien des membres zélés du PDG qui hier ne s’imaginaient pas que Maixent Accrombessi leur donnerait ce coup de pied désormais dévastateur. Verra-t-on Boukoubi dans l’opposition? L’avenir nous le dira!
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