THE INTERNATIONAL ORGANIZATION OF THE FRANCOPHONIE COMES OUT OF ITS COMA. L’ORGANISATION INTERNATIONALE DE LA FRANCOPHONIE SORT SUBITEMENT DE SON COMA






English version

The International Organization of La Francophonie (OIF) was present in Gabon during the rigged presidential election of 2016. This organization was therefore aware of the irregularities that occurred in Gabon and the crimes committed by Ali Bongo against the innocent Gabonese populations. But since then, as the European Union mission made its findings public, the OIF remained silent. They refused to publish their observations, despite constant appeals from NGOs.

But suddenly, when a delegation of the International Criminal Court arrived in Libreville to audition the different parties, the OIF suddenly remembered that they too had a report to publish. In turn, they raise doubts about the validity of the results proclaimed.

This attitude of the OIF confirms to us that this organization systematically backs the criminal dictators of Francophone Africa. The OIF is an organization wanted and thought by France which wanted to make it into its thing to give itself an international political and diplomatic importance.

The OIF pretends to work for the prevention of conflicts in the Francophone world and to work for the consolidation of the rule of law and democracy, but in reality, when it has had to demonstrate its leadership in consolidation of democracy in Gabon, it chose to protect Ali Bongo and his dictatorial regime.

We are not fooled and we know that the OIF has reluctantly published this report. They were driven by NGOs and the arrival of the ICC forced them to do so. The OIF remains for us as an accommodationist organization for dictatorships and their report will not exonerate them in our eyes.

We will not give up!





Version française

L’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) était présente au Gabon lors de l’élection présidentielle truquée de 2016. Cette organisation était donc au courant des irrégularités qui se sont produites au Gabon et des crimes commis par Ali Bongo contre les innocentes populations Gabonaises. Mais depuis ce temps, alors que la mission de l’Union Européenne avait rapidement rendu public ses conclusions, l’OIF elle restait muette. Elle refusait de publier ses observations et ce malgré les incessants appels des ONG.

Mais subitement, alors qu’une délégation de la Cour Pénale Internationale arrivait à Libreville pour auditionner les différentes parties, l’OIF s’est subitement souvenue qu’elle avait, elle aussi, un rapport à publier. A son tour, elle émet des doutes sur la validité des résultats proclamés.

Cette attitude de l’OIF vient nous confirmer que cette organisation ménage systématiquement les criminels dictateurs d’Afrique Francophone. L’OIF est un organisme voulu et pensé par la France qui voulait en faire son machin pour se donner une importance politique et diplomatique internationale.

L’OIF prétend œuvrer à la prévention des conflits dans l’espace francophone, et travailler à la consolidation de l’état de droit et de la démocratie, mais dans la réalité, quand il a fallu qu’elle démontre son leadership dans la consolidation de la démocratie au Gabon, elle a choisi de protéger Ali Bongo et son régime dictatorial.

Nous ne sommes pas dupes et savons que c’est à contre cœur que l’OIF a publié ce rapport. Ils étaient acculés par les ONG et l’arrivée de la CPI leur a forcé la main. L’OIF reste pour nous des accommodationistes de dictatures et leur rapport ne les dédouanera pas à nos yeux.

On ne lâche rien !

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