EDOUARD VALENTIN THE "INNOCENT" IS A PILLAR OF FRANÇAFRIQUE IN GABON. HE IS ONE OF THE TEMPLE’S GUARDIANS. EDOUARD VALENTIN L’ « INNOCENT » EST UN PILIER DE LA FRANCAFRIQUE AU GABON. C’EST UN DES GARDIENS DU TEMPLE

English version

Do you know that at the funeral of his first wife Evelyne, former private secretary of Omar Bongo; in 2013 in France, three former ambassadors of France to Gabon were in attendance? They were Jean-Marc Simon who was in Libreville from 2003 to 2008; Louis Dominici in office from 1986 to 1994; and Philippe Selz from 1998 to 2003. Jacques Chirac, who was ill, could not make the trip, but his right hand man, Professor Bernard Debré, his former Minister of Cooperation, who was then an advisor to Francois Fillon, was in the front row.

It is this same Bernard Debré who, in September 2016, after the electoral coup d'état of Ali Bongo, asked France to respect the decision of Mborantsuo to confirm Ali Bongo, in an editorial which concluded by saying:

"In the name of the friendship we have always felt for Gabon and its people, let us not worry about moral lessons and help them find the path of national concord.”

Here are the people for whom Edouard Valentin works in Gabon.

No, we will not give up!

Version française

Savez-vous qu’aux obsèques de sa première épouse Evelyne, ancienne secrétaire particulière d'Omar Bongo ; en 2013 en France, trois anciens ambassadeurs de France au Gabon étaient dans l’assistance ? Il s’agit de Jean-Marc Simon qui fut en poste à Libreville de 2003 à 2008 ; Louis Dominici en poste de 1986 à 1994 ; et de Philippe Selz en poste de 1998 à 2003. Jacques Chirac, malade, n’avait pas pu faire le déplacement, mais son homme de confiance, le professeur Bernard Debré, son ex-ministre de la coopération et qui fut ensuite conseiller de Francois Fillon, était lui aux premières loges.

C’est ce même Bernard Debré qui, en Septembre 2016, après le coup d’Etat électoral d’Ali Bongo, demandait à la France de respecter la décision de Mborantsuo de confirmer Ali Bongo, dans un éditorial qui concluait en disant ceci :

« Au nom de l'amitié que nous éprouvons depuis toujours pour le Gabon et son peuple, gardons-nous des leçons de morale et aidons-les à trouver le chemin de la concorde nationale. »

Voici les gens pour lesquels Edouard Valentin œuvre au Gabon.

Non, nous ne lâcherons rien !