HERE IS AN IRRESPONSIBLE REGIME THAT CONTINUES TO PROMOTE AN INEFFECTIVE VACCINE! VOICI UN RÉGIME IRRESPONSABLE QUI CONTINUE DE FAIRE LA PROMOTION D’UN VACCIN INEFFICACE !

 

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Traduction française

 

Les critiques sur l'utilisation de vaccins fabriqués en Chine continuent de croître

 

La Chine perd lentement la confiance du monde dans son vaccin tant vanté après que le Premier ministre pakistanais Imran Khan et le président Arif Alvi aient été testés positifs au COVID-19 le mois dernier malgré la prise auparavant du vaccin chinois Sinopharm.

 

Trois firmes pharmaceutiques chinoises, engagées dans la production de vaccins, font face à de sévères critiques pour ne pas avoir divulgué complètement les résultats de leurs essais de phase 3.

 

Les experts en vaccins du monde entier ont déconseillé l’utilisation du vaccin Sinopharm, le médecin basé à Shanghai, Tao Lina, le qualifiant de «vaccin le plus dangereux au monde».

 

En février, le ministère égyptien de la Santé et de la Population a publié une liste d’effets secondaires potentiels du vaccin Sinopharm contre la COVID-19 - douleur, rougeur, raideur et démangeaisons au niveau de la zone de vaccination, augmentation de la température corporelle, etc.

 

L'Institut des produits biologiques de Wuhan, qui produit le vaccin Sinopharm, a été accusé d'avoir fourni 400520 doses inférieures aux normes de vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche pour les nourrissons, en 2018, et aussi d'avoir falsifié des données relatives à la production de 113 000 doses de vaccins antirabiques par le contrôleur pharmaceutique chinois.

 

Le Groupe stratégique consultatif d’experts sur la vaccination de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a déclaré récemment que le vaccin «manquait de données sur les groupes plus âgés et les personnes souffrant de comorbidités».

 

De plus, l'un des volontaires au Pérou est décédé après avoir été injecté avec le vaccin Sinopharm, tandis qu’un autre volontaire a développé des effets secondaires neurologiques graves associés au syndrome de Guillain-Barre qui provoquent des lésions nerveuses et souvent une paralysie, au cours d'un essai clinique. Tous les essais du vaccin ont été interrompus depuis lors.

 

En outre, les autorités sanitaires sri-lankaises hésitent également profondément à utiliser des vaccins fabriqués en Chine pour vacciner leurs citoyens. Bien que le Sri Lanka ait reçu 600 000 doses du vaccin Sinopharm, il a décidé de ne les utiliser uniquement que sur les ressortissants chinois vivant au Sri-Lanka.

 

Selon une enquête menée par l'Université de Hong Kong, environ 61% des gens ne souhaitent pas se faire vacciner au vaccin chinois. Hong-Kong fait partie de la Chine.