STAGING OF PSEUDO DISSENSIONS WITHIN THE PDG! MISES EN SCÈNE DE PSEUDOS DISSENSIONS AU SEIN DU PDG !
English version
Dear readers, in the run-up to the 2023
presidential election, the manipulators of the thing that Ali Bongo has become,
and perhaps always has been, would like thru articles surgically placed in the
press, to make the Gabonese people believe that internal disputes would exist
within the PDG and that everything would not be well in the house built by the
Bongos. All this is a staging.
This press makes us believe that there
would be maximum tension between Ali Bongo and the top brass of his party, and
that he, in the run-up to the presidential election of 2023, would be trying to
take back the PDG, but would be struggling to impose his candidate upon the top
PDG’s brass. It's a fable because the PDG's brass are there to obey and nothing
else. We saw this in 2009 when those who tried to challenge Ali Bongo to be
candidates to succeed Omar Bongo, were simply swept away. They had to leave
this party and present themselves either as independents or by joining other
political parties. Who can think that Dodo Bouguendza or Boukoubi can afford to
upset the Bongos?
We are told that if the PDG’s congress has
officially been postponed because of Covid, it is in fact due to disagreements
between Ali Bongo and Eric Dodo Bounguendza, the General Secretary of the PDG,
the chemistry is not there. They push it by arguing that Dodo Bounguendza would
be supported by former PDG’s brass, and that Noureddin Bongo-Valentin would no
longer want Bounguendza because the son of Ali Bongo would like to entrust the PDG
to someone more malleable to his taste, Charles Mvé Ella, the current Deputy
Minister for Water and Forests.
As was to be expected, the same press
tells us that the fundamental problem that Noureddin Bongo-Valentin would
encounter, would be that Charles Mvé Ella, who is a native of Woleu-Ntem in
northern Gabon, would not be unanimous accepted among the members of the PDG of
southern origins who would demand that this party be led only by someone from the
South, preferably a Nzébi or Punu.
Dear readers, you would have understood
it; the government uses this pseudo internal rivalry within the PDG, to divide
the Gabonese people and sow confusion so that the populations could not
mobilize collectively against the regime. As was to be expected, their best
weapon remains to pull on the ethnic string, of which the Gabonese are
extremely sensitive. They take a Fang from the north and we oppose him to a Nzebi
or a Punu, then put it in a mixer and they get the chaos that will allow the
Bongos to calmly install Noureddin Bongo-Valentin, because he would embody
stability, since the locals cannot get along.
Dear readers, this is step "C"
of the process that began with "Max Anicet Koumba in step "A",
then continued with Paul Biyoghe-Mba in step "B".
This press ends its description of this
crisis within the PDG by telling us that the leaders of this party would be
looking for a consensual figure to replace Dodo Bounguendza; and three personalities
would have the profile that would be best accepted by the base: the Nzebis
Blaise Louembé, and Barnabé Indoumou Mamboungou, and Yves-Fernand Manfoumbi,
the Punu.
Dear readers, we are too perceptive to
believe in such machinations. Let us stay the course, let us stay together and
we will overcome this regime.
Version française
Chers lecteurs, à l’approche
de l’élection présidentielle de 2023, les manipulateurs de la chose qu’est
devenue, et peut être qu’a toujours été, Ali Bongo, voudraient par des articles
chirurgicalement placés dans la presse, faire croire aux Gabonais que des
disputes internes existeraient au sein du PDG et que tout n’irait pour le mieux
dans la maison bâtie par les Bongo. Tout ceci est une mise en scène.
Cette presse nous fait
croire qu’il existerait une tension maximale entre Ali Bongo et les barons de
son parti, et que ce dernier, à l'approche de l'élection présidentielle de
2023, tenterait de reprendre en main le PDG, mais peinerait à imposer son
candidat aux barons de ce PDG. C’est une fable car les barons du PDG sont là
pour obéir et rien d’autre. Nous l’avons vu en 2009 quand ceux qui essayèrent
de défier Ali Bongo pour être candidats a la succession d’Omar Bongo, furent
purement et simplement balaye. Ils durent sortir de ce parti et se présenter soit
comme indépendant, soit en rejoignant d’autres formations politiques. Qui peut
penser que Dodo Bouguendza ou Boukoubi peuvent se permettre de contrarier les
Bongo ?
On nous dit que si
officiellement le congrès du PDG a été reporté pour cause de Covid, c’est
parce qu’entre Ali Bongo et Eric Dodo Bounguendza, le Secrétaire Général du
PDG, le courant ne passerait pas. Ils poussent le bouchon en avançant que Dodo
Bounguendza serait soutenu par des anciens barons du PDG, et que Noureddin
Bongo-Valentin ne voudrait plus de Bounguendza car le fils d’Ali Bongo voudrait
confier le PDG a quelqu’un de plus malléable à son gout, Charles Mvé Ella, l’actuel
ministre délégué aux eaux, forêts.
Comme il fallait s’y
attendre, la même presse nous dit que le probleme fondamental que rencontrerait
Noureddin Bongo-Valentin, serait que Charles Mvé Ella, qui est natif du
Woleu-Ntem dans le nord du Gabon, ne ferait pas l'unanimité parmi les membres
du PDG d’origines sudistes qui exigeraient que ce parti ne soit dirigé que par
un ressortissant du Sud, de preference Nzébi ou encore Punu.
Chers lecteurs, vous l’aurez
compris ; le pouvoir utilise cette pseudo rivalité interne au PDG, pour
diviser les Gabonais et semer la confusion pour que les populations ne puissent
pas se mobiliser collectivement contre le régime. Comme il fallait s’y
attendre, leur meilleure arme demeure de tirer sur la corde ethnique dont les
gabonais sont extrêmement sensibles. On prend un Fang du nord et on l’oppose à
des Nzebi et Punu, on met ça dans un mixeur et on obtient le chaos qui
permettra aux Bongo d’installer calmement Noureddin Bongo-Valentin, car il
incarnera la stabilité, vu que les locaux ne peuvent pas s’entendre.
Chers lecteurs, c’est l’étape
« C » du processus qui avait commencé avec « Max Anicet Koumba
en étape « A », puis a continue avec Paul Biyoghe-Mba en étape « B ».
Cette presse termine sa
description de cette crise au sein du PDG en nous disant que les dirigeants de
ce parti seraient à la recherche d'une figure consensuelle pour remplacer Dodo
Bounguendza ; et que trois
Personnalités possèderaient le
profil qui serait le mieux acceptées par la base : les Nzebi Blaise
Louembé, et Barnabé Indoumou Mamboungou, et Yves-Fernand Manfoumbi, le Punu.
Chers lecteurs, nous sommes
trop perspicaces pour croire en de telles machinations. Gardons le cap, restons
soudés et nous viendrons à bout de ce régime.
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