NO, WHAT YOU ARE SAYING IS NOT ACCURATE! NON, CE QUE VOUS DITES N’EST PAS EXACT !
English version
The organizers of the Inclusive National Dialogue underway in Gabon
have decided to restrict journalists' access to the sessions. They are wrong;
they are mistaken; They're shooting themselves in the foot.
Ms. Murielle Minkoue-Mintsa and her team maintain that it is to
preserve the confidential nature of the discussions that this blackout is
necessary. This is a huge mistake because in such cases, well-managed access
can greatly help the organizers of the dialogue to demonstrate to the public
the seriousness of these meetings. However, the censorship looming on the
horizon seems to indicate that the organizers are cautious and afraid that
their blunders will end up in the public square.
Other countries have held such meetings while granting considerable
access to the press. This was the case of the Truth and Reconciliation
Commission of South Africa, which was broadcast live on South African
television. This helped considerably to lend credibility to the conference and
to unite all South Africans around the idea that the Mandela regime was going
to be different from the apartheid regime. Truth and justice should now be
strengthened.
If Mrs. Murielle Minkoue-Mintsa and her team want to keep the debates
confidential, the solution is very simple, they can have it both ways by using
the method used in the world of sport. Indeed, during major sporting
competitions, such as, for example, during the football World Cup, the national
teams allow the press to have access to the training sessions during the first
15 minutes of these training sessions. These are minutes of warm-ups that allow
journalists to know if there are any injuries, if the state of mind is good,
etc.
After that, the journalists have to leave the premises and the team can
continue to train.
For this blog, the solution is simple; that Murielle Minkoue-Mintsa and
her team allow journalists to attend the first 15-30 minutes of the exchanges,
this will allow them to fully understand the foundations of the dialogue and to
talk about it acutely to their respective audiences. The Gabonese authorities
need to get rid of this tendency to censor everything.
By opening the sessions for 15 minutes, confidentiality can be
maintained, as the actual debates would not begin until after the journalists leave.
It is only the implementation of ideas that would be covered; These are the
preliminaries that would be filmed.
This, however, is simple to understand; It's really not rocket science!
Version française
Madame Murielle Minkoue-Mintsa et son équipe soutiennent
que c’est pour préserver le caractère confidentiel des discussions que ce blackout
est nécessaire. C’est une énorme erreur car dans ce genre de cas, un accès bien
managé peut considérablement aider les organisateurs du dialogue à démontrer au
public tout le sérieux de ces assises. Cependant, la censure qui se profile à l’horizon
semble indiquer que les organisateurs sont frileux et ont peur que leurs
bourdes se retrouvent sur la place publique.
D’autres pays ont organisé des assises de ce genre
tout en accordant un considérable accès à la presse. Ce fut le cas de la
Commission Vérité et Réconciliation d’Afrique du Sud qui fut retransmise en direct
à la télévision Sud-Africaine. Cela aida considérablement à crédibiliser ces
assises et à rassembler tous les Sud-Africains autour de l’idée que le régime
Mandela allait être diffèrent que celui de l’Apartheid. La vérité et la justice
devraient désormais être renforcées.
Si Madame Murielle Minkoue-Mintsa et son équipe
veulent mordicus conserver la confidentialité des débats, la solution est très simple,
ils peuvent couper la poire en deux en utilisant la méthode ayant cours dans le
monde du sport. En effet, lors des grandes compétitions sportives, comme, par
exemple lors de la coupe du monde de football, les sélections autorisent la
presse à avoir accès aux entrainements pendant les premières 15 minutes de ces
entrainements. Ce sont des minutes d’échauffements qui permettent aux journalistes
de savoir s’il y a des blessées, si l’état d’esprit est bon, etc.
Ensuite, les journalistes doivent quitter les lieux
et l’équipe peut continuer à s’entrainer.
Pour ce blog, la solution est toute simple ;
que Murielle Minkoue-Mintsa et son équipe autorisent les journalistes à assister
aux 15-30 premières minutes des échanges, cela leur permettra de bien
comprendre les fondements du dialogue et d’en parler avec acuité à leurs
audiences respectives. Il faut que les autorités Gabonaises se débarrassent de
cette tendance à vouloir tout censurer.
En ouvrant les sessions pour 15 minutes, la confidentialité
peut être maintenue, car les débats à proprement parler, ne commenceraient qu’après
le départ des journalistes. C’est seulement la mise en place des idées qui serait
couverte ; ce sont les préliminaires qui seront filmés.
Ceci est pourtant simple à comprendre ; ce n’est
vraiment pas sorcier !
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