HENRI-CLAUDE OYIMA IS THE REAL MINISTER OF THE GABONESE ECONOMY! HENRI-CLAUDE OYIMA EST LE VÉRITABLE MINISTRE DE L’ÉCONOMIE GABONAISE !

 


 


 

English version

 

Africa Intelligence tells us that Henri-Claude Oyima is the creator of the "Clubs" of Libreville and Brazzaville.

 

Copied on the Paris Club model, which is an informal group of creditors whose role is to find coordinated solutions to the payment difficulties of indebted countries, Oyima would have liked to make the Libreville and Brazzaville Clubs, into financial pressure groups acting on the financial decisions of the two countries.

 

But dear readers, the comparison stops there because the Paris club was created by Western creditor countries and its members meet ten times a year in Paris, under the chairmanship of the Director General of the Treasury (DG Trésor) of the French Ministry of Economy and Finance. Dear readers, it is therefore the French Ministry of Economy and Finance that heads the Paris Club.

 

The Clubs of Libreville and Brazzaville, on the other hand, are emanations of Henri-Claude Oyima; and he uses them to ask states to pay their creditors through his bank, the BGFI. In the case of Gabon, it is therefore Oyima who provides guidance for the Gabonese State, on who should be paid and when and by how much? What power does the Gabonese Minister of the Economy have in the face of Oyima's injunctions, when we know that the latter belongs to the reigning family of the Gabonese monarchy?

 

Nevertheless, the boss of the BGFI would be facing serious problems in Congo. Apparently, recently the five banks that form the Club of Brazzaville: BGFI Bank, the Sino-Congolese Bank for Africa, the Congolaise de Banque, the Postal Bank of Congo (BPC) and Ecobank, have ousted the president of their group, the president of the Chamber of Commerce, Industry, Agriculture and Trades of Brazzaville, Paul Obambi. This gentleman is suspected by these banks of demanding bribes from companies creditor of the Congolese state in exchange for consideration of their case. It is Henri-Claude Oyima himself, the initiator of this "club", who has taken over the presidency of the Brazzaville banking group.

 

The difficulties of the Club of Brazzaville come at a time when the repayments of creditor companies of the Gabonese state, started by the BGFI in 2018 as part of the "Club" of Libreville, are already nine months late.

 

 

 

 

 

 

Version française

 

Africa Intelligence nous apprend qu’Henri-Claude Oyima est le créateur des « Clubs » de Libreville et de Brazzaville.

 

Calqué sur le modèle du Club de Paris qui est un groupe informel de créanciers ayant pour rôle de trouver des solutions coordonnées face aux difficultés de paiement de pays endettés, Oyima aurait voulu faire des Clubs de Libreville et Brazzaville, des groupes de pression financière agissant sur les décisions financières des deux pays.

 

Mais chers lecteurs, la comparaison s’arrête là car le club de Paris fut créé par Les pays créanciers occidentaux et ses membres se réunissent dix fois par an à Paris, sous la présidence du Directeur générale du Trésor (DG Trésor) du ministère de l'Économie et des Finances français. Chers lecteurs, c’est donc le ministère français de l’Economie et des Finances qui dirige le Club de Paris.

 

Les Clubs de Libreville et de Brazzaville, eux, sont des émanations d’Henri-Claude Oyima ; et il s’en sert pour demander aux Etats de payer leurs créanciers via sa banque, la BGFI. Dans le cas du Gabon, c’est donc Oyima qui oriente pour l’Etat Gabonais, qui doit être paye et quand et de combien ? Quel pouvoir a le ministre de l’Economie Gabonais devant les injonctions d’Oyima, quand on sait que ce dernier appartient à la famille régnante de la monarchie gabonaise ?

 

Néanmoins, le patron de la BGFI ferait face à de sérieux problèmes au Congo. Apparemment, récemment les cinq banques qui forment le Club de Brazzaville : BGFI Bank, la Banque sino-congolaise pour l'Afrique, la Congolaise de banque, la Banque postale du Congo (BPC) et Ecobank, auraient évincé le président de leur groupe, le président de la Chambre de commerce, d'industrie, d'agriculture et des métiers de Brazzaville, Paul Obambi. Ce monsieur est soupçonné par ces banques d'exiger des pots de vin aux entreprises créancières de l'Etat congolais en échange d'une considération de leur dossier. C'est Henri-Claude Oyima lui-même, l’initiateur de ce "club", qui a repris la présidence du syndicat bancaire de Brazzaville.

 

Les difficultés du Club de Brazzaville interviennent au moment où les remboursements des entreprises créancières de l'Etat gabonais, commencés par la BGFI en 2018 dans le cadre du "Club" de Libreville, accusent déjà neuf mois de retard.

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