THE ANGLO-SAXONS CALL IT "A KANGAROO COURT"! LES ANGLO-SAXONS APPELLENT CELA « A KANGAROO COURT » !

 

 

English version

 

A kangaroo court is an expression used in anglo-saxon countries to designate an informal, mock, or sham judicial proceeding that deliberately disregards accepted legal standards and principles of justice.

 

In kangaroo courts, the outcome is often predetermined, and the accused is typically denied fundamental due process rights, such as the right to an impartial judge, to present evidence, or to confront accusers.

 

The proceedings against the Bongo-Valentins in Gabon bear all the characteristics of a kangaroo court. These proceedings are showing that the Gabonese court operates in absence of due process, and that essential constitutional and legal safeguards are ignored.

 

It is clear that these proceedings are bias and have predetermined outcomes. The judgment has been decided in advance, and these proceedings are merely a formality designed to validate the intended result.

 

The term “kangaroo court” is a pejorative and is used to criticize any proceeding viewed as fundamentally unfair or unjust. The term refers to the idea of justice "jumping" to a conclusion, or to the "hopping" of judges in haste to render a predetermined outcome.

 

The proceedings against Sylvia and Noureddin Bongo can objectively be described by this blog as a farce and a rubber-stamping exercise. Sylvia and Noureddin Bongo were sentenced to 20 years in prison after a swift two-day trial, which was unusually quick for charges of such a serious nature as embezzlement, money laundering, etc.

 

Both were tried and convicted in absentia after they were released on medical grounds and traveled to London via Angola. More importantly, even their legal councils were not allowed to defend their clients in court. This was a one-way trial. The Bongo-Valentins were accused with no possibility of either defending themselves or be defended by their attorneys.

 

Dear readers, ultimately, while the proceedings occurred within an official Gabonese court, the strong political influence, lack of due process, and predetermined outcomes align with the concept of a kangaroo court as an unjust and unfair judicial proceeding whose objective was to condemn the Bongo-Valentins and make sure they never come back to Gabon.

 

 

 

 

 

Version française

 

Une "kangaroo court" est une expression utilisée dans les pays anglo-saxons pour désigner une procédure judiciaire déstructurée, simulée ou fictive qui ignore délibérément les normes juridiques et les principes de justice reconnus.

 

Dans les « kangaroo courts », le résultat est souvent prédéterminé, et l'accusé se voit généralement refuser des droits fondamentaux à une procédure régulière, tels que le droit à un juge impartial, à présenter des preuves ou à confronter les accusateurs.

 

La procédure engagée contre les Bongo-Valentin au Gabon présente toutes les caractéristiques d'une « kangaroo court ». Ces procédures montrent que le tribunal gabonais fonctionne sans procédure régulière et que les garanties constitutionnelles et juridiques essentielles sont ignorées.

 

Il est clair que ces procédures sont biaisées et que leurs résultats sont prédéterminés. Le jugement a été décidé à l'avance et ces comparutions ne sont qu'une formalité destinée à valider le résultat escompté.

 

L'expression « kangaroo court » est un terme péjoratif utilisé pour critiquer toute procédure jugée fondamentalement injuste. L'expression fait référence à l'idée que la justice « saute » à une conclusion, ou au « saut » des juges qui se précipitent pour rendre un résultat prédéterminé.

 

Les procédures engagées contre Sylvia et Noureddin Bongo peuvent être objectivement qualifiées par ce blog de farce et d'exercice de validation. Sylvia et Noureddin Bongo ont été condamnés à 20 ans de prison après un procès expéditif de deux jours, ce qui était exceptionnellement rapide pour des accusations d'une telle gravité, comme le détournement de fonds, le blanchiment d'argent, etc.

 

Les deux ont été jugés et condamnés par contumace après avoir été libérés pour raisons médicales et s'être rendus à Londres via l'Angola. Plus important encore, leurs avocats n'ont pas été autorisés à défendre leurs clients devant le tribunal. Ce fut un procès à sens unique. Les Bongo-Valentin ont été accusés sans avoir la possibilité de se défendre ou d'être défendus par leurs avocats.

 

Chers lecteurs, en fin de compte, si les délibérations se sont déroulées au sein d'un tribunal gabonais officiel, la forte influence politique, le manque de procédure régulière et les résultats prédéterminés s'alignent sur le concept d'une « kangaroo court » en tant que procédure judiciaire injuste dont l'objectif était de condamner les Bongo-Valentin et de s'assurer qu'ils ne reviennent jamais au Gabon.