SINCE THE CENAP AND THE CONSTITUTIONAL COURT DO NOT RESPECT THE LAW, WE CANNOT RESPECT IT EITHER! PUISQUE LA CENAP ET LA COUR CONSTITUTIONNELLE NE RESPECTE PAS LA LOI, NOUS NE POUVONS LA RESPECTER NON PLUS !

English version

The CENAP, in collusion with its puppeteer, the Constitutional Court, has just validated Ali Bongo’s application for the 2016 presidential election. Worse, dear readers, this application contains the same birth certificate, Akassaga of 2009, which just underwent some modifications. This birth certificate that has already been recognized as fake by Ali Bongo himself on Alain Foka’s microphone on Radio France Internationale. This fake document does not move our guardians of the Constitution and the laws.

Dear readers, it is clear that institutions like the presidency of the republic under Ali Bongo and the Constitutional Court under Marie Madeleine Mborantsuo, do absolutely not care about the law and the Constitution. From now on, since they are outlaws, we must do the same. Let's stop respecting the laws they do not respect themselves. Let us stop recognizing them this right. We cannot obey the law because the regime does not care about that.

Dear readers, this is a generalized civil disobedience campaign which begins and we must carry it out with the utmost firmness.

Version française

La CENAP, de connivence avec sa marionnettiste, la Cour Constitutionnelle, vient de valider le dossier de candidature d’Ali Bongo pour l’élection présidentielle 2016. Pire, chers lecteurs, ce dossier de candidature contient le même acte de naissance Akassaga de 2009, qui a simplement subit quelques modifications. Cet acte de naissance qui a déjà été reconnu comme faux par Ali Bongo lui-même au micro d’Alain Foka sur Radio France Internationale. Ce faux document n’émeut vraisemblablement pas nos gardiens de la Constitution et des lois.

Chers lecteurs, il est évident que les institutions comme la présidence de la république sous Ali Bongo et la Cour Constitutionnelle sous Marie Madeleine Mborantsuo, se foutent éperdument de la loi et de la constitution. A partir de maintenant, puisqu’ils se sont déclarés hors la loi, faisons de même. Arrêtons de respecter les lois qu’ils ne respectent pas eux-mêmes. Arrêtons de leur reconnaitre ce droit. Nous ne pouvons plus obéir aux lois car le régime n’y fait point gare.

Chers lecteurs, c’est une campagne de désobéissance civile généralisée qui commence et nous devons la mener à terme avec toute la fermeté possible.