MARIE MADELEINE MBORANTSUO IS LYING, SHE KNOWS SINCE 2009 THAT THE BIRTH CERTIFICATE USED BY ALI BONGO IS A FAKE! MARIE MADELEINE MBORANTSUO MENT, ELLE SAIT DEPUIS 2009 QUE L’ACTE DE NAISSANCE UTILISÉ PAR ALI BONGO EST FAUX !




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English Version

The President of the Constitutional Court, Marie Madeleine Mborantsuo, was interviewed today by Christophe Boisbouvier on Radio France Internationale (RFI). She so disgustingly and revoltingly, denied everything about her knowledge of the forgery committed by Ali Bongo in 2009; and even claimed to have never been placed in the presence of the false Ali Bongo’s birth certificate, by the candidate Luc Bengono-Nsi, whose request she nevertheless threw out, and request for which this birth certificate was the centerpiece. Finally, to make you vomit, Mrs. Mborantsuo also said to not be aware of the admission made by Ali Bongo on RFI that the document produced in 2009 was a fake. She obviously also refuses to say what she thinks of the fact that a president has ruled the country since 2009, while exhibiting several birth certificates. She does not know anything about that!

All in all, Marie Madeleine Mborantsuo puts all the responsibility for this matter on her designated scapegoat, the CENAP. But dear readers, the noose is tightening as Luke Bengono-Nsi has just released the scathing reply below, following Mborantsuo’s interview on RFI.



Ms. Mborantsuo has just said falsehoods on RFI this morning.

Indeed, the President of the Constitutional Court affirms two incorrect facts:

• First, she says that I brought an action challenging the candidacy of Ali Bongo. Instead of Ali’s ineligibility. Unfortunately, Ms. Mborantsouo forgot the header of her decision No. 51 / cc of 12 October 2009 on the petition by Mr. Luc Bengono-Nsi for a declaration of ineligibility of Mr. Ali Bongo Ondimba. It is here about the finding of ineligibility in violation of Article 10 of the Constitution and not contesting the candidacy. Everyone could see that the President of the Constitutional Court does not dare tell the truth.

• On the other hand, Ms. Mborantsouo suggests that the birth certificate in question was not attached to the appeal, even if that were the case, this birth certificate was one of sensible piece of the candidate's file that was supposed to be in her services or those of the CENAP. However wishing to give them the complement of my request containing this document, Ms. the President, after consultation, ordered the Registrar of the Court not to receive it and it is ultimately during the hearing that she asked me to produce it promptly on the spot. What the Constitutional Court will not tell you is that it prohibited the petitioners to sign the minutes of hearings, to the point that the petitioner is not reflected in the report of the investigating magistrate. Such was my case on 12 October 2009, the late, Tonjokoué, the investigating magistrate had willfully failed to report everything that I had denounced. On three occasions, this magistrate asked me if I needed money. Three times I told him politely that this was not the subject. He thought maybe he would find an opportunity to corrupt me.

Finally, we must emphasize that in the information bulletin of 3 September 2009 of the Gabonese Army which describes the progress of the electoral coup and appears in the annex of the book "Démocratie Dynastique" by Mr. Ndoutoum-Eyi, the name of Mrs. Mbourantsouo appears among the plotters. To this end she could only validate this electoral coup, and therefore did not uphold the law.

I hope that RFI will give me the opportunity to respond. Thank you

Luc Bengono-Nsi





Version française

La Présidente de la Cour Constitutionnelle, Marie madeleine Mborantsuo, était interviewée aujourd’hui par Christophe Boisbouvier sur Radio France Internationale (RFI). Elle a de manière répugnante et révoltante, tout nié en bloc sur sa connaissance du faux et usage de faux commis par Ali Bongo en 2009 ; et a prétendu même ne jamais avoir été placée en présence du faux document d’acte de naissance d’Ali Bongo, par le candidat Luc Bengono-Nsi, dont elle rebouta pourtant la requête dont cet acte de naissance était la pièce centrale. Pour finir de vous faire vomir, Madame Mborantsuo a affirmé aussi qu’elle n’est pas au courant de l’aveu fait par Ali Bongo sur RFI que le document produit en 2009 fut un faux. Elle refuse évidemment de dire ce qu'elle pense du fait qu'un président ait dirigé le pays depuis 2009 en exhibant plusieurs actes de naissance. Elle n’est pas non plus au courant de cela !

En tout et pour tout, Marie madeleine Mborantsuo déverse toute la responsabilité de cette affaire sur son bouc émissaire tout désigné, la CENAP. Mais chers lecteurs, l’étau se resserre car Luc Bengono-Nsi vient de faire publier la cinglante mise au point ci-dessous, suite à l’interview de Mborantsuo sur RFI.



Mme Mbourantsouo vient d'affirmer des contre-vérités sur RFI ce matin.

En effet le Président de la Cour Constitutionnelle confirme deux faits inexactes : 

• D'abord, elle déclare que j'ai introduit un recours en contestation de la candidature d'Ali Bongo. au lieu de l'inéligibilité d'Ali. Malheureusement, Mme Mborantsouo a oublié l’entête de sa décision no 51/cc du 12 octobre 2009 relative à la requête présentée par Monsieur Luc Bengono Nsi tendant à la constatation de l'inéligibilité de Monsieur Ali Bongo Ondimba. Il est ici sujet de la constatation de l’inéligibilité en violation de l'article 10 de la Constitution et non de la contestation de la candidature. Tout le monde pourrait constater que Mme le Président de la Cour Constitutionnelle n'ose pas dire la vérité.

• D'autre part, Mme Mborantsouo laisse entendre que l'acte de naissance attaqué n'était pas joint au recours, même si c'était le cas, cet acte faisait partie des pièces du dossier du candidat sensé être dans ses services ou à la CENAP. Cependant voulant remettre le complément de mon recours contenant cet acte, Mme le Président, après sa consultation, a donné l'ordre au greffier de la Cour de ne pas le réceptionner et c'est finalement au cours de l'audience qu'elle m'invite à le déposer séance tenante. Ce que la Cour Constitutionnelle ne vous dira pas c'est qu'elle interdit aux requérants de signer les procès-verbaux d'audition à tel point que le requérant ne se retrouve pas dans le rapport du magistrat enquêteur. Tel a été mon cas le 12 octobre 2009, le feu Tonjokoué magistrat enquêteur a omis volontairement de rapporter tout ce que j'avais dénoncé. Par trois fois ce magistrat m'a demandé si je n'avais besoin d'argent? Par trois fois, je lui ai répondu poliment que ce n'était pas le sujet. Il pensait peut-être trouver ainsi l'occasion de me corrompre.

Il faut enfin souligner que dans le bulletin de renseignement du 3 septembre 2009 de l'Armée gabonaise qui décrit le déroulement du coup d'Etat électoral et figure en annexe du livre "Démocratie dynastique" de Mr. Ndoutoum-Eyi, le nom de Mme Mbourantsouo apparaît parmi les comploteurs. A cet effet elle ne pouvait que valider ce coup d'Etat électoral, et n'a donc pas dit le droit.

J'espère que RFI me donnera la possibilité de réagir. Merci

Luc Bengono-Nsi

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