ALI BONGO’S PERJURY: PIERRE PÉAN SPEEDS UP. LE PARJURE D’ALI BONGO : PIERRE PÉAN ACCÉLÈRE






English Version

While Ali Bongo continues his headlong flight, thinking that since he is in power he can therefore use public force to impose himself upon the Gabonese people once again in 2016, the evidence of his perjury in 2009 and of the fiction of the circumstances of his birth and of his eligibility for the presidency of Gabon, is indisputable today.

In the latest edition of the French magazine Marianne, the investigative journalist Pierre Péan does not mince words. He brings new angles of evidence that sink Ali Bongo and his family in the depths of deception.

Pierre Péan presents the genuine marriage certificate of the Albert Bongo and Josephine Nkama couple. The marriage certificate contains the authentic signature of Albert Bongo and the stamp of the authorities. But the signature of Albert Bongo appearing on the birth certificate allegedly found in Brazzaville and brandished by Ali Bongo, is nothing like the one on the marriage certificate. Defenders of the perjury will want to explain that either Albert Bongo had several signatures he used interchangeably (why? Mystery!); or that Albert Bongo decided between the birth of Alain Bongo and his marriage, to change his signature (something unlikely).

The other new investigative angle is the phenomenal physical and biological makeup of Josephine Nkama, which allowed her to get pregnant and give birth to three children in the space of two years, between the ages of 13 and 15. Biology tells us that it takes 9 months of gestation before giving birth to humans, and there is no indication that those children by Josephine Nkama were prematurely born. Biology also says that after giving birth, women recover the ability to procreate after about 6 to 8 weeks, that is to say, a month and a half or two after delivery. So normally after giving birth to Alain Bongo, Josephine Nkama could have become pregnant about two months later at the earliest and give birth to his sister nine months later, which would have 11 months. No, not the super breader mother that Josephine Nkama was; she would fall pregnant and give birth to a daughter five months after the birth of Alain Bongo. She was in a hurry!

Finally, Pierre Pean reveals in details, the scientific angle of investigation that puts us abreast of the seeking of treatment against infertility in an Israeli clinic, with a world-renowned doctor, by the couple Omar and Josephine Bongo, with Comrade Louis Gaston Mayila as a go between. This information thus confirms the already known thesis of the infertility of Josephine Nkama and destroys the whole fabric of lies maintained by many accomplices.

Dear readers, the most serious thing is that Pierre Péan has not dropped everything yet, his gearbox enables him to have several more accelerations. For example, Pierre Péan has recordings of conversations in which Josephine Nkama talks about her infertility to her lover at the time, Robert Luong. The release of these records will definitely demolish the imposture.

Dear readers, Ali Bongo's done, he is finished, he is cooked.




Version française

Alors qu’Ali Bongo continue sa fuite en avant, estimant qu’il soit au pouvoir et qu’il puisse par conséquent user de la force publique pour s’imposer encore une fois au Gabonais en 2016, l’évidence de son parjure en 2009 et de la fiction des circonstances de sa venue au monde et de son éligibilité à la présidence du Gabon, est aujourd’hui incontestable.

Dans la dernière édition du magazine français Marianne, le journaliste d’investigation Pierre Péan ne fait pas dans la dentelle. Il apporte de nouveaux angles de preuves qui enfoncent Ali Bongo et sa famille au plus profond de l’imposture.

Pierre Péan présente l’acte de mariage authentique du couple Albert Bongo et Joséphine Nkama. Cet acte de mariage contient la signature authentique d’Albert Bongo et le cachet des autorités. Mais la signature d’Albert Bongo apparaissant sur le certificat de naissance prétendument retrouvé à Brazzaville et brandit par Ali Bongo, ne ressemble en rien à celle apposée sur l’acte de mariage. Les défenseurs du parjure voudront certainement nous expliquer qu’Albert Bongo avait soit plusieurs signatures qu’il utilisait de manière interchangeable (pour quelle raison ? Mystère!); soit qu’Albert Bongo ait décidé entre la naissance d’Alain Bongo et son mariage, de changer de signature (chose peu probable).

L’autre nouvel angle d’investigation est la phénoménale constitution physique et biologique de Joséphine Nkama, qui lui a permis de tomber enceinte et d’accoucher de trois enfants en l’espace de deux ans, entre l’âge de 13 et 15 ans. La biologie nous dit qu’il faille 9 mois de gestation avant l’accouchement, pour les êtres humains, et il n’y a aucune indication que les présumés enfants de Joséphine Nkama aient été des prématurés. La biologie nous dit aussi qu’après l’accouchement, la femme retrouve la capacité de procréer après environ 6 à 8 semaines, c'est-à-dire un mois et demi ou deux après l’accouchement. Donc normalement après avoir accouché d’Alain Bongo, Joséphine Nkama n’aurait pu se retrouver enceinte que 2 mois plus tard au plus tôt et accoucher de sa sœur 9 mois plus tard, ce qui aurait fait 11 mois. Mais non, pas la super mère pondeuse que fut Joséphine Nkama ; elle tombera enceinte et accouchera d’une fille cinq mois seulement après la naissance d’Alain Bongo. Elle était très pressée !

Enfin, Pierre Péan nous révèle avec détails, l’angle scientifique de l’investigation qui nous met au fait de la poursuite de traitement contre la stérilité dans une clinique israélienne, auprès d’un professeur de réputation mondiale, par le couple Omar et Joséphine Bongo, sous les bons offices du camarade Louis Gaston Mayila. Cette information vient donc confirmer la thèse déjà connue de la stérilité de Joséphine Nkama et vient détruire tout le tissu de mensonges entretenu par de nombreux complices.

Chers lecteurs, le plus grave est que Pierre Péan n’a pas encore tout lâché, sa boite de vitesse lui permet encore plusieurs accélérations. Par exemple, Pierre Péan a des enregistrements de conversations dans lesquelles Joséphine Nkama parle de sa stérilité à son amant de l’époque, Robert Luong. La diffusion de ces enregistrements viendra démolir définitivement l’imposture.

Chers lecteurs, Ali Bongo est foutu, il est fini, il est cuit.

Comments

Popular posts from this blog

GAGAN GUPTA’S MASTERFUL TRICK! LA MAGISTRALE ENTOURLOUPE DE GAGAN GUPTA !