FRANCIS NKÉA, MBORANTSUO’S GHOST WRITER! FRANCIS NKÉA, LE NÈGRE DE MBORANTSUO!
English
version
In the
intellectual pursuit, a “ghostwriter” is someone for hire who does all the
intellectual production, is paid for that but receive none of the credit for
the work produced. That credit goes to somebody else who then pretends to be
responsible for that intellectual content.
Dear
readers, the Mediapart blog tells us that for the recent constitutional
revision, the Mborantsuo’s ghoswriter would have been Francis Nkéa-Ndzigue, a
doctor of law from Minvoul, currently Minister for the Promotion of good
governance, the Fight against corruption and Public Policy Assessment. So, we
can see that in Gabon, the bastards of the republic are not all from
Haut-Ogooué!
It is also
thanks to people like Francis Nkéa-Ndzigue that dictatorship and the slide
towards monarchy are possible. From their ghostwriter’ status within the
dictatorship, they derive the grandeur, and the little benefits of the banana
republic; but what the rest of us reap from it is a lousy country which is receding
in everything way.
Francis
Nkéa-Ndzigue is not just any ghostwriter, the bugger, since he has lent his
brain and his pen, for years, to Marie Madeleine Mborantsuo, in return for being
ennobled by ministerial appointments.
In these
times of procession towards the monarchy, each of us out of duty, should
remember the role played not only by figures like Mborantsuo, but also by all
the ghostwriters who do the dirty work, like Francis Nkéa-Ndzigue. Tomorrow,
when the monarchy is effective and established, let’s hope that Francis
Nkéa-Ndzigue would proudly claim to be one of its godfathers.
Dear
readers, let’s sharpen the blades of the guillotine for everyone!
Version française
Dans l’activité intellectuelle, un « nègre » est quelqu'un qui en
engagé pour réaliser toute une production intellectuelle, est payé pour cela
mais ne reçoit aucune reconnaissance pour le travail produit. Ce mérite revient
à quelqu'un d'autre qui prétend alors être responsable de ce contenu
intellectuel.
Chers lecteurs, le blog de Mediapart nous apprend que pour la récente révision
constitutionnelle, le nègre de Mborantsuo aurait été Francis Nkéa-Ndzigue, un
docteur en droit originaire de Minvoul, actuellement ministre de la Promotion
de la bonne gouvernance, de la Lutte contre la corruption et de l'Évaluation
des politiques publiques. Comme quoi au Gabon, les salauds de la république ne
sont pas tous du Haut-Ogooué!
C’est aussi grâce à des gens comme Francis Nkéa-Ndzigue que
la dictature et le glissement vers la monarchie sont possibles. De leur statut
de nègre de la dictature, ils en tirent la grandeur, et les petites joyeusetés
de la république bananière ; mais nous en récoltons un pays minable qui
recule en tout.
Francis Nkéa-Ndzigue n’est pas n'importe quel
nègre, le bougre, puisqu’il prête son cerveau et sa plume, depuis des années, à
Marie Madeleine Mborantsuo, en retour d'un ennoblissement par des nominations ministérielles.
En ces temps de procession vers la monarchie, chacun de nous, par devoir, devrait
se souvenir du rôle joué non seulement des figures comme Mborantsuo, mais aussi
par tous les nègres qui font le sale boulot comme Francis Nkéa-Ndzigue. Demain,
quand la monarchie sera consommée et établie, espérons que Francis Nkéa-Ndzigue
s’en proclamerait fièrement d’en être un des parrains.
Chers lecteurs, aiguisons les lames de la guillotine pour tout le monde !
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