THIS DOCUMENTARY IS A MADE OF NONSENSE! CE DOCUMENTAIRE EST UN TISSU DE BÊTISES!
English
version
Dear
readers, this documentary that is supposed to tell us about the history of
Libreville, is just a clever propaganda tool to portray Omar and Ali Bongo as
the builders of modern Gabon. This is a lie this blog cannot tolerate.
As
an illustration of the deceptive and propagandistic nature of this documentary,
at the 46th minute, the narrator tells us that upon coming to power in 1967,
Albert Bongo was so hard-working that he granted nearly 5,000 audiences per
week. Dear readers, this figure is simply impossible because there are 24 hours
in a day, and 60 minutes per hour, and 60 seconds per minute. A day therefore
has: 60X60X24 = 86400 seconds. A 7-day week would therefore have 86400X7 =
604800 seconds.
Using
all the seconds available in a calendar week, for Albert Bongo to be able to
grant 5,000 meetings per week, these meetings had to be particularly short:
604,800/5000 = 120.96
Dear
readers, if Albert Bongo did not sleep at all and took no toilet or meal break;
in a week he could only grant 5,000 hearings if each one lasted exactly 2
minutes.
When
we see this insult to our intelligence, we understand that this documentary is
oriented.
Version française
Chers lecteurs, ce documentaire censé nous
renseigner sur l’histoire de Libreville, n’est qu’un habile outil de propagande
pour faire passer Omar et Ali Bongo comme étant les bâtisseurs du Gabon
moderne. C’est un mensonge que ce blog ne saurait tolérer.
A titre d’illustration du caractère mensonger
et propagandiste de ce documentaire, a la 46ieme minutes, le narrateur nous dit
que dès son arrivée au pouvoir en 1967, Albert Bongo était tellement
travailleur qu’il accordait près de 5000 audiences par semaine. Chers lecteurs,
ce chiffre est simplement impossible car il y a 24 heures dans une journée, et 60
minutes par heures, et 60 secondes par minute. Une journée a donc : 60X60X24=
86400 secondes. Une semaine de 7 jours aurait donc 86400X7 = 604800 secondes.
En utilisant toutes les secondes disponibles
dans une semaine de calendrier, pour qu’Albert Bongo puisse accorder 5000
audiences par semaines, ces audiences devaient être particulièrement courte :
604800/5000 = 120,96
Chers lecteurs, si Albert Bongo ne dormait
pas du tout et ne prenait aucune pause toilette ou repas ; en une semaine il ne pouvait accorder 5000 audiences que si chacune d’elle durait exactement 2
minutes.
Quand on constate cette insulte à notre
intelligence, on comprend que ce documentaire est orienté.
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