DUBAI, THE NEW LAUNDERER OF AFRICAN DICTATORSHIPS! DUBAI, LA NOUVELLE BLANCHISSEUSE DES DICTATURES AFRICAINES!

 

Isabel Dos Santos

  

English version

 

The press reveals that Dubai has become the main financial hideout of African potentates. The ruling African families are said to have created companies in Dubai that allow them to recycle with impunity the fortunes looted in Africa.

 

To recover part of the fortune of the Dos Santos family stashed in Dubai, Angolan President João Lourenço reportedly met with Emir Mohamed bin Zayed al-Nahyan in Abu Dhabi recently to negotiate judicial cooperation and an exchange of banking information between Angola and the United Arab Emirates.

 

It should be noted that Interpol is currently headed by the Emirati General Ahmed Naser al-Raisi, and that Angola is on the trail of the financial assets of the family of José Eduardo dos Santos; especially that of his daughter, Isabel dos Santos, who lives in Dubai. It is in Dubai that she organizes the management of her businesses with the help of one of her proxies, the Franco-Congolese businessman, Konema Mwenenge, former CEO of the diamond trading companies Nemesis International and Diamond Republic, both of which are now in the sights of Angola and Interpol.

 

There are also companies registered in Dubai in the names of other members of the Dos Santos family; this is the case of Isabel's half-sister, Welwitschia dos Santos, who owns three companies there. The first, Leala Limited, is in her name. The second, Whorem Limited, is registered under the name of her husband, Hugo André Nobre Pêgo. The third, Hermitage Limited, is registered in the names of both. These companies are suspected of having received about 200 million dollars (120 billion CFA francs) unjustifiably from the Angolan state during the presidency of Dos Santos.

 

Among the people who facilitated the financial transactions of the Dos Santos in Dubai were Belgian Prince Henri de Croÿ, and a former British banker, Geraldine Whittaker, who was awarded the Legion of Honour by Nicolas Sarkozy. These people had set up a financial company in Dubai called Helin International, whose role was to launder the money of dictators and oligarchs of all kinds.

 

Among Helin International's clients is curiously the French nuclear group Orano (formerly Areva), whose funds pass through this company before being redistributed to military or dictators on the African continent.

 

 

 

 

Version française

 

La presse révèle que Dubaï serait devenue la principale planque financière des potentats d’Afrique. Les familles régnantes Africaines auraient créé à Dubaï des entreprises leur permettant de recycler en toute impunité les fortunes pillées en Afrique.

 

Pour récupérer une partie de la fortune de la famille Dos Santos planquée à Dubaï, le Président Angolais João Lourenço aurait rencontré l'émir Mohamed bin Zayed al-Nahyan, à Abou Dhabi dernièrement, afin de négocier une coopération judiciaire et un échange d'informations bancaires entre l’Angola et les Emirats arabes unis.

 

Il est à signaler qu’Interpol est présentement dirigée par le Général Emirati Ahmed Naser al-Raisi, et que l'Angola est sur la trace des avoirs financiers de la famille de José Eduardo dos Santos ; particulièrement de la fille, Isabel dos Santos, qui a résidence à Dubaï. C’est à Dubaï que cette dernière organise la gestion de ses affaires avec l’aide de l'un de ses fondés de pouvoir, l'homme d'affaires franco-congolais, Konema Mwenenge, ancien PDG des sociétés de négoce de diamants Nemesis International et Diamond Republic, qui sont désormais toutes les deux dans le collimateur de l'Angola et d'Interpol.

 

Il y a aussi à Dubaï, des entreprises enregistrées aux noms d’autres membres de la famille Dos Santos ; c’est le cas de la demi-sœur d'Isabel, Welwitschia dos Santos, qui y est propriétaire de trois sociétés. La première, Leala Limited, est à son nom. La seconde, Whorem Limited, est enregistrée au nom de son époux, Hugo André Nobre Pêgo. La troisième, Hermitage Limited, est enregistrée aux noms des deux. Ces sociétés sont suspectées d’avoir reçu environ 200 millions de dollars (120 milliards de francs CFA) de manière injustifiée en provenance de l’Etat Angolais du temps de la présidence de Dos Santos.

 

Parmi les gens ayant facilité les transactions financières des Dos Santos à Dubaï, il y a le Prince Belge Henri de Croÿ, et une ancienne banquière Britannique, Geraldine Whittaker, qui fut décorée de la Légion d'honneur par Nicolas Sarkozy. Ces personnes avaient monté une société financière à Dubaï appelée Helin International, dont le rôle était de blanchir l’argent de dictateurs et oligarques de tous poils.

 

Parmi les clients d’Helin International, figure curieusement le groupe nucléaire Français Orano (ex-Areva), dont des fonds transitent par cette société avant d’être redistribués à des militaires ou dictateurs sur le continent Africain.