NO MAINTENANCE LEADS INEVITABLY TO CATASTROPHIES! L’ABSENCE D’ENTRETIEN CONDUIT INÉVITABLEMENT À DES CATASTROPHES

 

 

English version

In Gabon, we build but we often forget to maintain. Unfortunately, there is no culture of care and maintenance. Go to the chic Sablière district north of Libreville; You could admire huge houses probably worth billions CFAs, but whose walls are completely taken over by the leprosy that is mold and disgusting fungi. The owners have built at a cost of billions CFAs, but are unable to provide maintenance that costs relatively little in comparison. Try understanding the logic.

For years, the Transgabonais and its railway had been showing signs of instability and the need for deep refurbishments. There were small alerts; tracks falling apart, a few cars derailing etc., but the authorities preferred to do their usual sprinkling of superficial dust instead of deep and structural maintenance that would solve the problem. Today the disaster is here!

All this could have been avoided if the people who run Gabon had a culture of risk prevention and maintenance.

 

 

Version française

Au Gabon, on construit mais on oublie souvent d’entretenir. Il n’y a malheureusement pas de culture de l’entretien et de la maintenance. Allez au quartier chic de la Sablière au Nord de Libreville ; vous pourrez admirer d’énormes bâtisses valant probablement plusieurs milliards, mais dont les murs sont complètement lépreux de moisissures et de champignons dégueulasses. Les propriétaires ont construit a cout de milliards, mais sont incapables d’assurer une maintenance qui ne coute que relativement très peu en comparaison. Allez comprendre la logique.

Depuis des années, le Transgabonais et sa voie ferrée donnaient des signes d’instabilités et de besoin de profondes remises à neuf. Il y a eu de petites alertes ; des travées qui sautaient, quelques wagon qui déraillaient etc., mais les autorités préféraient faire leur habituel saupoudrage en lieu et place d’une maintenance profonde et structurelle qui règlerait le problème. Aujourd’hui la catastrophe est la !

Tout ceci aurait pu être évité si les gens qui dirigent le Gabon avaient la culture de la prévention des risques et de la maintenance.