ALL THOSE WHO HAVE ALLOWED SYLVIA BONGO TO EXERCISE POWER MUST BE KNOWN AND PUNISHED! TOUS CEUX QUI AURONT PERMIS À SYLVIA BONGO D’EXERCER LE POUVOIR DOIVENT ÊTRE CONNUS ET PUNIS !

 





 

 

 

 

English version

 

Dear readers, we have just had a testimony to chill your blood, from a former Ali Bongo’s minister who told us of an incredible mea culpa.

 

According to this minister who was still in office at the time of the coup, during the recent sessions of the council of ministers, instead of Ali Bongo, it was Sylvia Bongo who took place at the end of the table, sometimes assisted by her son Noureddin. Dear readers, this is serious!

 

According to this former minister, all members of recent governments can testify to this fact, even if they have never said anything. All the Prime Ministers were aware of these actions, as were the Vice-Presidents and the heads of the institutions.

 

Dear readers, if Sylvia Bongo had been able for years, to extend her imposture at the head of the State, for which shad no constitutional attribution, it is because she necessarily benefited from the complicity and cowardice of many key people who constitutionally, had to stop her. All these traitors must be exposed, flushed out, and brought before the courts for dereliction of their constitutional duties.

 

The concept of dereliction of duty refers to failure, through negligence or obstinacy, to perform a legal or moral duty to a reasonable expectation. It is a specific offense of leadership and responsibility. Avoidance of a duty or failure to follow your obligations can weaken the nation and put the national cohesiveness at risk by allowing a disaster to occur.

 

Those who allowed Sylvia Bongo to do what she did are equally guilty as she is. This means that these people had a duty to react to circumstances and yet they took no action, or actually ignored what was going on around them.

 

 

 

 

Version française

 

Chers lecteurs, nous venons d’avoir un témoignage à vous glacer le sang, d’un ancien ministre d’Ali Bongo qui nous a fait un incroyable mea culpa.

 

D’après ce ministre qui était encore en poste au moment du coup d’Etat, lors des récentes sessions du conseil des ministres, en lieu et place d’Ali Bongo, c’était Sylvia Bongo qui prenait place en bout de table, parfois secondée de son fils Noureddin. Chers lecteurs c’est grave !

 

D’après cet ex-ministre, tous les membres des récents gouvernements peuvent témoigner de ce fait, même s’ils n’ont jamais rien dit. Tous les Premiers Ministres étaient au courant de ces agissements, les Vice-Présidents et les personnes à la tête des institutions aussi.

 

Chers lecteurs, si Sylvia Bongo a pu pendant des années, assoir son imposture à la tête de l’Etat, sans aucune attribution constitutionnelle, c’est parce qu’elle a forcément bénéficié de la complicité et de la lâcheté de nombreuses personnes clés qui constitutionnellement, devaient la stopper. Tous ces traitres doivent être démasqués, débusqués, et traduits devant les instances judiciaires pour manquement à leurs devoirs constitutionnels.

 

La notion de manquement au devoir renvoie au fait de l’omission, par négligence ou obstination, d’exécuter une obligation légale ou morale à l’égard d’une attente raisonnable. C’est une offense spécifique de leadership et de responsabilité. Le manquement au devoir, ou le non-respect a des obligations, peut affaiblir la nation et mettre en péril la cohésion nationale en permettant qu’une catastrophe se produise.

 

Ceux qui ont permis à Sylvia Bongo de faire ce qu’elle a fait sont tout aussi coupables qu’elle. Cela signifie que ces personnes avaient le devoir de réagir face aux risques ; et pourtant elles n’ont pris aucune mesure, ou ont en fait ignoré ce qui se passait autour d’elles.

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