WASHINGTON MAINTAINS SANCTIONS AGAINST GABON FOLLOWING COUP ! WASHINGTON MAINTIEN SES SANCTIONS CONTRE LE GABON SUITE AU COUP D’ÉTAT !
English version
What we observe is that the
regional and sub-regional organizations around Gabon are aligning themselves
with the Americans and now all say they are giving themselves time to examine
the facts on the ground and assess in the future the relevance of lifting these
sanctions.
Dear readers, this is a
situation that does not help Brice-Claire Oligui-Nguema, nor the country that
needs new money to meet the many challenges that the populations expect. The
more time passes, the more sanctions take hold and will have a negative impact
on the country's economy in the long term. Gabon's new leaders fear a
stalemate. For the transition, these sanctions must be lifted as soon as
possible.
However, visiting Theodoro
Obiang-Nguema-Mbazogo and Denis Sassous-Nguessa, will not be enough to bend the
great institutions of this world; Brice-Claire Oligui-Nguema must give a clear
timetable on the return of constitutional order in Gabon. It is on this ground
that donors are waiting for him.
Version française
La semaine dernière, les
États-Unis annonçait le maintien de la suspension de leur coopération financière
avec le Gabon, en réponse au coup d'État ayant abrégé le régime Ali Bongo. La
justification américaine est que le gouvernement Yankee se donne le temps
d'évaluer la transition.
Ce que l’on observe, c’est
que les organisations régionales et sous régionales au Gabon, s’alignent sur
les Américains et disent désormais toutes se donner le temps d'examiner les
faits sur le terrain et d’évaluer dans le futur la pertinence de lever ces
sanctions.
Chers lecteurs, c’est une
situation qui n’arrange pas Brice-Claire Oligui-Nguema, ni le pays qui a besoin
d’argent frais pour relever les nombreux défis qu’attendent les populations.
Plus le temps passe, plus les sanctions s’installent et impacteront négativement
à termes l’économie du pays. Les nouveaux dirigeants du Gabon craignent un
enlisement. Pour la transition, il faut que ces sanctions soient levées le plus
tôt possible.
Mais seulement, rendre
visite à Theodoro Obiang-Nguema-Mbazogo et à Denis Sassous-Nguessa, ne suffira
pas à faire fléchir les grandes institutions de ce monde ; Brice-Claire
Oligui-Nguema doit donner un calendrier clair sur le retour de l’ordre constitutionnel
au Gabon. C’est sur ce terrain que les bailleurs de fonds l’attendent.
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