AFTER DOSSOU, ACCROMBESSI AND SOLEMAN, IT'S LEE WHITE'S TURN TO TAKE FLIGHT! APRÈS DOSSOU, ACCROMBESSI ET SOLEMAN, C’EST AU TOUR DE LEE WHITE DE PRENDRE LA POUDRE D’ESCAMPETTE !
English version
Lee White's world having collapsed in Gabon, that is to say, Ali Bongo
having been deposed and his wife incarcerated, Lee White the Ogivin knew that
his days were numbered.
If the French lawyers and the France embassy in Gabon could not prevent
the incarceration of Sylvia Bongo, Lee White as an intelligent man understood
that he had no chance but getting out. So, he had to go back to the village to
recharge his batteries.
The village here will not be his beloved Mekambo, but his native
Britain. In Gabon, apparently, after getting rich, our compatriots from
elsewhere still remember the fact that they are not so Gabonese after all.
If Lee White loved the Lopé, the elephants, our fauna and flora, so
much, he would have quietly waited for the follow up events by going about his
business in Gabon. But no, at the first skirmish, the one who shouted his love
and loyalty to the Ali Bongo regime yesterday, fled Gabon to seek the
protection of his motherland, Great Britain.
When you are accused of complicity in illegal logging and embezzlement,
it is safer to be in London than in Libreville.
It is because of these outcomes that most Gabonese citizens think that
what motivates foreigners living in Gabon, is too enriched themselves at the
expense of the local population and that they are not trying to build true ties
and roots with the country.
Version française
Le monde de Lee White s’étant
écroulé au Gabon, c’est-à-dire qu’Ali Bongo ayant été déchu et son épouse incarcérée,
Lee White l’Ogivin savait que ses jours étaient comptés.
Si les avocats français et l’ambassade
de France au Gabon, n’ont pas pu prévenir l’incarcération de Sylvia Bongo, Lee
White en homme intelligent a compris qu’il n’avait aucune chance de s’en
sortir. Il lui fallait donc rentrer se ressourcer au village.
Le village ici ne sera pas
son Mekambo tant aimé, mais sa Grande Bretagne natale. Au Gabon, apparemment, après
s’être enrichis, nos compatriotes venus d’ailleurs se souviennent toujours du
fait qu’ils ne soient pas si Gabonais que ça.
Si Lee White aimait tant la Lopé,
les éléphants, notre faune et notre flore, il aurait tranquillement attendu la
suite des évènements en vaquant a ses occupations au Gabon. Mais non, à la première
escarmouche, celui qui criait son amour et loyauté au régime Ali Bongo hier, a
fui le Gabon pour retrouver la protection de sa mère patrie, la Grande
Bretagne.
Quand on est accusé de
complicité d’exploitation illégale de bois et de détournement de fonds, il est
plus prudent d’être à Londres qu’à Libreville.
C’est à cause de ces faits
que la plupart des citoyens Gabonais pensent que ce qui motive les étrangers
vivant au Gabon, c’est de s’enrichir au plus vite, au détriment de la
population locale ; et qu’ils ne cherchent pas à établir de vrais liens et
racines avec le pays.
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