WITH BOTOX OR WITHOUT BOTOX? REALITY ALWAYS CATCHES UP WITH US! AVEC BOTOX OU SANS BOTOX ? LA RÉALITÉ NOUS RATTRAPE TOUJOURS !

 

AVEC BOTOX

 

SANS BOTOX

English version

 

The face of Sylvia Bongo, no Sylvie Bongo, no Sylvie Marie Valentin, since she has never been married to Ali Bongo, no to Alain Bongo; well, we can't find our way around anymore... The face of this lady is a reflection of her life: an illusion.

 

She has lived in falsehood; married as a fake, had children in the fake, exercised power in Gabon in the fake. When you're a level headed person, you accept yourself as you are; that is, one accepts one's name, appearance, and place in society.

 

When one refuses to grow old, when one lives on chameleon-like names that one changes according to conjunctural circumstances, when one sleeps with a cast of young mixed-race men who are the friends of their son, and whom one disowns when they become troublesome, to the point of not even remembering their names; it means that they are ready to do anything to conceal and deny reality.

 

History shows us that reality always manages to interrupt the wildest fantasies in an impromptu way. Those who are not convinced should take a good look at what is happening to Sylvia/Sylvie Marie Valentin Alias Bongo; a First Lady, not married to her husband who is already her ex-husband but perhaps also non-husband, since they have never been married. Well, who knows?

 

 

 

 

Version française

 

Le visage de Sylvia Bongo, non de Sylvie Bongo, non the Sylvie Marie Valentin, puisqu’elle n’a jamais été mariée à Ali Bongo, non à Alain Bongo ; enfin on ne s’y retrouve plus… Le visage de cette dame est à l’image de sa vie : une illusion.

 

Elle a vécu dans le faux ; s’est mariée dans le faux, a eu des enfants dans le faux, a exercé le pouvoir au Gabon dans le faux. Quand on est quelqu’un d’équilibré, on s’accepte comme on est ; c’est-à-dire qu’on accepte son nom, son apparence et sa place dans la société.

 

Quand on refuse de vieillir, que l’on vit de noms caméléons que l’on change au gré des circonstances conjoncturelles, que l’on couche avec une belle brochette de jeunes métisses qui sont les amis de son fils, et que l’on renie quand ils deviennent gênants, au point de ne même plus se rappeler de leur nom ; c’est que l’on est prêt à tout pour des dissimulations et négations des réalités.

 

L’histoire nous démontre que la réalité parvient toujours à interrompre de manière impromptue les phantasmes les plus fous. Que ceux qui n’en sont pas convaincus observent bien ce qui est en train d’arriver à Sylvia/Sylvie Marie Valentin Alias Bongo ; une Première dame, non mariée à son époux qui est déjà son ex-époux mais peut-être aussi non-époux, puisque jamais mariés. Enfin qui sait ?