BRICE-CLOTAIRE OLIGUI-NGUEMA’S END OF THE YEAR SPEECH! LE DISCOURS DE FIN D’ANNÉE DE BRICE-CLOTAIRE OLIGUI-NGUEMA!

English version 

Brice-Clotaire Oligui-Nguema gave his first end of the year speech. The least we can say is that it was interesting. 

End-of-year speeches that presidents give, serve several purposes. They often use these speeches as a way to reflect on the achievements and challenges of the past year, highlighting significant events, policies, or accomplishments of their administration. 

These speeches also offer an opportunity for a president to communicate their vision for the future, outlining priorities, goals, and initiatives they plan to pursue in the coming year. 

Moreover, these speeches allow presidents to address the nation directly, connecting with citizens on a more personal level. It's a chance to inspire, reassure, and rally public support for upcoming initiatives or policies.

Additionally, end-of-year speeches can set the tone for the administration's agenda and policies for the next year, signaling what issues might be of particular importance or focus.

Overall, these speeches serve as a platform for presidents to communicate their administration's accomplishments, aspirations, and plans to the public, marking the end of one year and looking forward to the next.

Brice-Clotaire Oligui-Nguema’ speech was ambitious: he plans to build modern roads, a new airport in Ayem; a new national are airline company’s, a new city called Libreville 2; to buy back Assala’s assets; et cetera .

However, this blog is asking for the priority. All of these project are needed, but it would be impossible to execute all of them simultaneously. The transition regime must learn how to prioritize. To just list projects can be done by anybody. What’s more difficult is to know which projects are more critical and to prioritize them accordingly. 

The fondamental question that Oligui-Nguema must answer is: now that he has listed the projects, would he want to be the person also delivering them to fruition? The answer will tell whether he intends to stay in charge for the next 20 years at least.

Time will tell!

Version française

Brice-Clotaire Oligui-Nguema a prononcé son premier discours de fin d’année. Le moins que nous puissions dire, c’est que c’était intéressant.

Les discours de fin d’année prononcés par les présidents servent à plusieurs fins. Ils utilisent souvent ces discours comme un moyen de présenter les réalisations et les defis de l’année écoulée, en mettant en évidence les événements, les politiques ou les réalisations importants de leur administration.

Ces discours offrent également à un président l’occasion de communiquer sa vision de l’avenir, en décrivant les priorités, les objectifs et les initiatives qu’il prévoit de poursuivre au cours de l’année à venir.

De plus, ces discours permettent aux présidents de s’adresser directement à la nation, en connectant avec les citoyens à un niveau plus personnel. C’est l’occasion d’inspirer, de rassurer et de rallier le soutien du public pour les initiatives ou les décisions politiques à venir.

En outre, les discours de fin d’année peuvent souvent donner le ton à propos des politiques de l’administration pour l’année suivante, signalant quelles projets pourraient avoir une importance ou une orientation particulière.

Dans l’ensemble, ces discours servent de plate-forme aux présidents pour communiquer au public les réalisations, les aspirations et les plans de leur administration, marquant la fin d’une année et dans l’attente de la suivante .

Le discours de Brice-Clotaire Oligui-Nguema était ambitieux : il prévoit de construire des routes modernes, un nouvel aéroport à Ayem ; une nouvelle compagnie aérienne nationale, une nouvelle ville appelée Libreville 2 ; le racha les actifs d’Assala ; etc.

Cependant, ce blog demande la priorization. Tous ces projets sont nécessaires, mais il serait impossible de les exécuter tous simultanément. Le régime de transition doit apprendre à établir des priorités. Il ne suffit pas d’énumérer les projets. Cela peut être fait par n’importe qui. Ce qui est plus difficile, c’est de savoir quels projets sont les plus critiques et de les hiérarchiser en conséquence.

La question fondamentale à laquelle Oligui-Nguema doit répondre est la suivante : maintenant qu’il a énuméré les projets, voudrait-il être la personne qui les réalise également ? La réponse  nous dira s’il a l’intention de rester aux commandes pendant les 20 prochaines années, au moins.

Le temps nous le dira !