LE CINGLANT COUP DE FOUET DE L’UPG-AMÉRIQUE DU NORD. SI SEULEMENT LA MAISON MÈRE Á LIBREVILLE POUVAIT SUIVRE !
Dans un communiqué rendu public ce samedi 11 Juin 2011, les responsables de l’UPG-Amérique du Nord donnent leur avis sur la visite d’Ali Bongo aux USA. Nous vous en donnons la lecture ci-dessous
L'humiliation d'Ali Bongo aux USA, une victoire pour l'opposition gabonaise aux USA
La diaspora gabonaise (opposition) des Etats - Unis est plus que satisfaite du déroulement des évenements lors de la visite aux Etats -Unis du grioo en chef et chantre de l'émergence, M. Ali Bongo.
Après plus de deux ans de campagne auprès des autorités américaines et des médiats américains, pendant que nous pensions que nous n'étions pas suffisamment écoutés, le plaisir a été pour nous de constater que notre cause a finallement été entendue.
En effet, comme à l'accoutumé, Monsieur Ali Bongo, qui aime s'exposer malgré le lourd dossier des Bongos, s'est vu démantelé, vilipendé et humilié comme un malpropre par la presse américaine qui a passé à la loupe son passé, son présent, le passé de son défunt père et les membres de sa famille. Cette semaine, le gabonais conscient vivant aux USA a eu honte d'avoir comme président Ali Bongo.
Depuis son coup d'état électoral, Monsieur Ali Bongo aime les honneurs, les voyages, rencontrer les grands de ce monde, les exhibitions et les grands rendez-vous internationaux. Ceci, afin de se faire légitimer comme président du Gabon tout en oubliant qu'une vraie presse ne peut que passer au peigne fin la vie d'un président, et surtout quand il s'agit d'une rencontre avec le Président Obama, le justicier de Washigton qui milite pour l'éradication des dictateurs africains et qui a ignoré qu'Ali etait l'un d'eux. Ali a fait en 2 ans le même nombre de voyages que son père a effectué en 10 ans. Ali, qui a pensé profiter d'un mois du passage du Gabon à la tête des Nations Unies pour se faire bonne presse, a eu un cauchemar en cuisine difficile à croire . Cette fois-ci, le maitre de la corruption gabonaise n'a plus eu affaire avec la presse française soumise à Sarkozy le malade mental, un autre mal pour le Gabon .
Contre toute attente, le dictateur gabonais, bourreau de la démocratie gabonaise et usurpateur du fauteil présidentiel, Monsieur Bongo Jr., n'avait pas d'autre choix que de constater que le voleur n' a que 99 jours. Cette presse, qui ne le laissera plus jamais en paix jusqu'à ce que celui ci subisse le même sort que Ben Ali, Moubarak, Kadafi et autres, ne lui a pas fait de cadeau de Noel. Je suis sure qu'après Kadafi, Saleh, le tour viendra à Ali Bongo Ondimba et à ses proches.
La dénonciation a commencé avec les chaines de télévision C-SPAN, ABC et CNN. l'Administration du Président Obama a eu des sueurs noctures au congrès et à la Maison Blanche ou les congressmen et la presse se sont étonnés de voir un voleur, un corrompu, un dictateur, un intru à la maison blanche. Depuis l'élection du Président Obama, aucun visiteur à la maison blanche n'a aussi été contesté comme Monsieur Ali Bongo Ondimba.
Un coup de chapeau revient aux collaborateurs opposants de la diaspora aux USA en tête desquels Dr. Daniel Mengara, Patrick Ambamany, Landry Washington Amiang et bien d'autres qui se sont organisés par des conférences téléphoniques, les réunions, les marches etc...nous n'oublions pas nos freres et soeurs gabonais de l'exterieur des USA.
Nous croyons que ceci n'est qu'un début, nous continuerons à lutter jusqu'au départ de monsieur Ali Bongo du pouvoir. Il mérite le même sort que Ben Ali Moubarak etc... et ceci par tous les moyens.
Les opposants gabonais aux USA demandent aux proches d'Ali Bongo de se désolidariser de lui, et d'aider les gabonais à le faire partir afin d'éviter de subir le même sort que les familles de Moubarak, Ben Ali, Kadafi qui ont vu leurs être confisqués .
Nous demandons notamment aux compatriotes vivant au Gabon de se mobiliser et de lutter pour le départ de Sieur Ali Bongo.
Nous encourageons aux gabonais de partout le monde de mener des actions visant à faire écrouler le Bongoisme et à tourner la page à ce système dont le Gabon n'en veut plus.
Nous comptons sur vous, chers gabonais.
Andre Bouassa
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