LE DEVOIR COLLECTIF D'ÊTRE PLUS EXIGEANT AVEC CEUX QUI CONFISQUENT LE POUVOIR AU GABON
Le ministre gabonais de la defense et signataire du document mensonger
Chers lecteurs, vous assistez en direct à la débandade en terme de communication, du régime dans l'affaire des torturés de Bitam et accessoirement de ceux de Minkébé. Nous voyons un régime qui systématiquement ment d'abord, puis quand il est pris la main dans le sac, essaie de trouver des lampistes à qui faire facilement porter le fardeau de ses forfaits, le temps que l'affaire se tasse et que les bonne vieille habitudes continuent leur bonhomme de chemin. Nous responsables, Quand les seules voix se faisant entendre à propos des sévices et massacres qui auraient été perpétrés contre les ressortissants des autres pays africains à Minkébé et accessoirement à Bitam par les forces de l'ordre, les manieurs de vuvuzela que sont certains de nos fonctionnaires "qui eux font bien leur travail et ne seront jamais licenciés" de la RTG1, de l'Union et de l'AGP, n'hésitèrent pas, comme des loups, à sortir du bois pour défendre leur beefsteak en arguant que seule la version de Nziengui-Nzoundou de Pacôme Ondzounga serait la seule vérité vraie, trois doigts au ciel, et que toute autre version ne saurait provenir que d'individus "séditieux et mal intentionnés". Oh le lyrisme des émergents! Mais quelques jours plus tard, après que les photos des victimes publiées par des moyens de communication communautaires, patriotiques et bénévoles, c'est le silence total chez les manieurs de vuvuzela. Tous les abuseurs de la désinformation et ceux dont le cordon ombilical est relié directement aux journaux et médias thuriféraires acquis à la "dictature de bienfaisance", ne disent pas mot. Certainement attendent-ils de nouvelles instructions, de nouveaux mensonges qu'il va falloir tester pour voir si cette fois ça marchera. Mais voila que timidement, un nouveau communiqué du ministère de la défense nous dis que trois gendarmes auraient été sanctionnés dans cette affaire. Mais de quoi sont-ils sanctionnés, si les immigrés sont morts de cholera? Le gouvernement gabonais est-il prêt à reconnaitre ouvertement qu'il a agi en véritable étouffoir de la liberté d'informer quand il a essayé de faire passer une version des faits totalement et ridiculement fausse, au mépris du sacro-saint droit à la protection contre les sévices corporels qui échoit à toute personne dans la charte de la déclaration des droits de l'homme. Si le régime avoue implicitement avoir menti, alors pourquoi Nziengui-Nzoundou et Ondzouga, qui ont signé le faux communiqué, restent-ils en fonction? Qui les sanctionnera?
1. Pourquoi la dictature gabonaise ment quand il est bien plus simple et moins humiliant de dire la vérité?
La dictature en place au Gabon a comme pierre angulaire de sa stratégie de communication, le mensonge comme instrument de création de mythes et de légitimité. Dans ce système, tout le monde ment, et plus on s'enfonce profondément dans ce régime, plus on doit mentir pour lui, car toute la genèse du régime et de ses composantes sont cousues de fil blanc. Depuis la fameuse naissance par césarienne à Brazzaville jusqu'à l'élection de 2009, nous allons de bobard en bobard. Ali Bongo ment pratiquement sur tout ce qui le concerne, Mborantsuo ment de plus belle, les ministres de passage au gouvernement doivent mentir pour faire tenir droit un édifice que tout le monde sait instable. Le principe premier de ce régime étant la conservation, coûte que coûte, du pouvoir, informer le public n'est pas vraiment à l'ordre du jour, car s'il était question de dire la vérité aux gabonais, ce régime respecterait les nationaux en leur égrenant, jour après jour comme cela se fait en démocratie, les événements tels qu’ils se produisent, de façon totalement exhaustive et en se limitant strictement sur l’étendue des faits vérifiables et vérifiés. Ce n’est malheureusement pas du tout ce à quoi nous assistons au Gabon des Bongo. Au contraire nous constatons, avec consternation, que souvent, des événements sont totalement et unanimement occultés par le pouvoir et en lieu et place de la vérité, on nous sert des mensonges plus indigestes les uns que les autres, car l'information vraie doit être soigneusement tue parce qu’elle ne peut s’insérer dans le scénario mythique qui veuille que les Bongo soient les seuls capables d'assurer le salut et le sauvetage du Gabon. Chers lecteurs, en d'autres termes, s'ils se mettent à dire la vérité, peut être que le peuple deviendrait insensible aux bêtises comme "ya Ali est venu, chocolats et bonbons".
2. Le scénario est figé depuis 43 ans, il nous appartient de le détruire en exigeant notre LIBERTÉ
La performance du gouvernement Ali Bongo dans l'affaire des torturés de Bitam, nous prouve encore une fois que nous prenons pour des «informations» lorsque nous allumons notre TV ou ouvrons notre journal officiel, ne sont souvent en réalité que des mises en scènes épisodiques et romanesque destinées à endormir le lecteur ou téléspectateur gabonais du fond de son fauteuil, pendant que le pillage du pays par le haut continu tranquillement. Comme dans toute belle histoire de fiction, les bons sont définis depuis le début tout comme les méchants et chacun est prié de garder sa place et de maintenir une cohérence dans son comportement sous peine de casser le fil et saborder cette si jolie fable populaire. Les méchants sont souvent les immigrés étrangers, sauf ceux qui sont autour d'Ali Bongo, ou Ali Bongo lui-même, sa famille, son épouse, ses beaux parents, ses libanais, ses corses etc.; non les méchants immigrés sont les ouest africains essentiellement. Ce sont eux à qui le petit peuple doit s'en prendre. Les méchants internes sont bien connus; ils sont tous ceux qui s'opposent à Ali Bongo. Grace à un matraquage médiatique, on fait tout pour amener le peuple à s'identifier aux gentils (les Bongo et leurs alliés essentiellement). Dans ce mécanisme, les évènements au Gabon ne sont plus qu’une suite de péripéties, plus ou moins entendues, qui mènent toujours à un dénouement invariablement favorable aux bons face aux méchants. En tant que gabonais nationaux désirant vivre dans un pays juste et équitable, nous devons fermement toujours contrarier ce régime, chaque fois qu'il mentira de façon si flagrante que la "légende" construite par eux ressemblerait à un mensonge concocté par un gamin à la va vite. Il est inacceptable qu'un régime qui ment, une fois sa « maladresse » découverte par des sources indépendantes, batte en retraite en accusant 3 pauvres lampistes et en marmonnant de piteuses excuses qui indiquent qu'on cherche des boucs émissaires à qui accrocher ce scandale au cou; au lieu que le régime prennent ses responsabilités et s'explique face au peuple gabonais de l'origine de cette connerie de diarrhée cholérique qu'il a voulu vendre au peuple comme étant la raison de la mort des gens à Bitam.
Ce régime doit savoir que les gabonais commencent à comprendre la supercherie. Le simplisme de ce régime nous fait craindre de plus en plus pour le futur. Gérer un pays est une affaire sérieuse qui doit être laissée aux nationaux qui savent mieux que quiconque la direction voulue par le plus grand nombre. Mais quand le principal objectif d'un régime est d'endormir le bon peuple a l'aide d’histoires belles et faciles a ingurgiter, pour qu'il continu a avaler, tranche par tranche, les épisodes de ce feuilleton qui dure depuis 43 ans et dont nous ne voulons plus, il nous appartient à tous de devenir les gardes fous contre l'imposture et mettre à nu tous les mensonges véhiculés par cette dernière, car non seulement elle nous ment, mais insultent notre intelligence par des mensonges rocambolesques et absolument ridicules.
Chers lecteurs, vous assistez en direct à la débandade en terme de communication, du régime dans l'affaire des torturés de Bitam et accessoirement de ceux de Minkébé. Nous voyons un régime qui systématiquement ment d'abord, puis quand il est pris la main dans le sac, essaie de trouver des lampistes à qui faire facilement porter le fardeau de ses forfaits, le temps que l'affaire se tasse et que les bonne vieille habitudes continuent leur bonhomme de chemin. Nous responsables, Quand les seules voix se faisant entendre à propos des sévices et massacres qui auraient été perpétrés contre les ressortissants des autres pays africains à Minkébé et accessoirement à Bitam par les forces de l'ordre, les manieurs de vuvuzela que sont certains de nos fonctionnaires "qui eux font bien leur travail et ne seront jamais licenciés" de la RTG1, de l'Union et de l'AGP, n'hésitèrent pas, comme des loups, à sortir du bois pour défendre leur beefsteak en arguant que seule la version de Nziengui-Nzoundou de Pacôme Ondzounga serait la seule vérité vraie, trois doigts au ciel, et que toute autre version ne saurait provenir que d'individus "séditieux et mal intentionnés". Oh le lyrisme des émergents! Mais quelques jours plus tard, après que les photos des victimes publiées par des moyens de communication communautaires, patriotiques et bénévoles, c'est le silence total chez les manieurs de vuvuzela. Tous les abuseurs de la désinformation et ceux dont le cordon ombilical est relié directement aux journaux et médias thuriféraires acquis à la "dictature de bienfaisance", ne disent pas mot. Certainement attendent-ils de nouvelles instructions, de nouveaux mensonges qu'il va falloir tester pour voir si cette fois ça marchera. Mais voila que timidement, un nouveau communiqué du ministère de la défense nous dis que trois gendarmes auraient été sanctionnés dans cette affaire. Mais de quoi sont-ils sanctionnés, si les immigrés sont morts de cholera? Le gouvernement gabonais est-il prêt à reconnaitre ouvertement qu'il a agi en véritable étouffoir de la liberté d'informer quand il a essayé de faire passer une version des faits totalement et ridiculement fausse, au mépris du sacro-saint droit à la protection contre les sévices corporels qui échoit à toute personne dans la charte de la déclaration des droits de l'homme. Si le régime avoue implicitement avoir menti, alors pourquoi Nziengui-Nzoundou et Ondzouga, qui ont signé le faux communiqué, restent-ils en fonction? Qui les sanctionnera?
1. Pourquoi la dictature gabonaise ment quand il est bien plus simple et moins humiliant de dire la vérité?
La dictature en place au Gabon a comme pierre angulaire de sa stratégie de communication, le mensonge comme instrument de création de mythes et de légitimité. Dans ce système, tout le monde ment, et plus on s'enfonce profondément dans ce régime, plus on doit mentir pour lui, car toute la genèse du régime et de ses composantes sont cousues de fil blanc. Depuis la fameuse naissance par césarienne à Brazzaville jusqu'à l'élection de 2009, nous allons de bobard en bobard. Ali Bongo ment pratiquement sur tout ce qui le concerne, Mborantsuo ment de plus belle, les ministres de passage au gouvernement doivent mentir pour faire tenir droit un édifice que tout le monde sait instable. Le principe premier de ce régime étant la conservation, coûte que coûte, du pouvoir, informer le public n'est pas vraiment à l'ordre du jour, car s'il était question de dire la vérité aux gabonais, ce régime respecterait les nationaux en leur égrenant, jour après jour comme cela se fait en démocratie, les événements tels qu’ils se produisent, de façon totalement exhaustive et en se limitant strictement sur l’étendue des faits vérifiables et vérifiés. Ce n’est malheureusement pas du tout ce à quoi nous assistons au Gabon des Bongo. Au contraire nous constatons, avec consternation, que souvent, des événements sont totalement et unanimement occultés par le pouvoir et en lieu et place de la vérité, on nous sert des mensonges plus indigestes les uns que les autres, car l'information vraie doit être soigneusement tue parce qu’elle ne peut s’insérer dans le scénario mythique qui veuille que les Bongo soient les seuls capables d'assurer le salut et le sauvetage du Gabon. Chers lecteurs, en d'autres termes, s'ils se mettent à dire la vérité, peut être que le peuple deviendrait insensible aux bêtises comme "ya Ali est venu, chocolats et bonbons".
2. Le scénario est figé depuis 43 ans, il nous appartient de le détruire en exigeant notre LIBERTÉ
La performance du gouvernement Ali Bongo dans l'affaire des torturés de Bitam, nous prouve encore une fois que nous prenons pour des «informations» lorsque nous allumons notre TV ou ouvrons notre journal officiel, ne sont souvent en réalité que des mises en scènes épisodiques et romanesque destinées à endormir le lecteur ou téléspectateur gabonais du fond de son fauteuil, pendant que le pillage du pays par le haut continu tranquillement. Comme dans toute belle histoire de fiction, les bons sont définis depuis le début tout comme les méchants et chacun est prié de garder sa place et de maintenir une cohérence dans son comportement sous peine de casser le fil et saborder cette si jolie fable populaire. Les méchants sont souvent les immigrés étrangers, sauf ceux qui sont autour d'Ali Bongo, ou Ali Bongo lui-même, sa famille, son épouse, ses beaux parents, ses libanais, ses corses etc.; non les méchants immigrés sont les ouest africains essentiellement. Ce sont eux à qui le petit peuple doit s'en prendre. Les méchants internes sont bien connus; ils sont tous ceux qui s'opposent à Ali Bongo. Grace à un matraquage médiatique, on fait tout pour amener le peuple à s'identifier aux gentils (les Bongo et leurs alliés essentiellement). Dans ce mécanisme, les évènements au Gabon ne sont plus qu’une suite de péripéties, plus ou moins entendues, qui mènent toujours à un dénouement invariablement favorable aux bons face aux méchants. En tant que gabonais nationaux désirant vivre dans un pays juste et équitable, nous devons fermement toujours contrarier ce régime, chaque fois qu'il mentira de façon si flagrante que la "légende" construite par eux ressemblerait à un mensonge concocté par un gamin à la va vite. Il est inacceptable qu'un régime qui ment, une fois sa « maladresse » découverte par des sources indépendantes, batte en retraite en accusant 3 pauvres lampistes et en marmonnant de piteuses excuses qui indiquent qu'on cherche des boucs émissaires à qui accrocher ce scandale au cou; au lieu que le régime prennent ses responsabilités et s'explique face au peuple gabonais de l'origine de cette connerie de diarrhée cholérique qu'il a voulu vendre au peuple comme étant la raison de la mort des gens à Bitam.
Ce régime doit savoir que les gabonais commencent à comprendre la supercherie. Le simplisme de ce régime nous fait craindre de plus en plus pour le futur. Gérer un pays est une affaire sérieuse qui doit être laissée aux nationaux qui savent mieux que quiconque la direction voulue par le plus grand nombre. Mais quand le principal objectif d'un régime est d'endormir le bon peuple a l'aide d’histoires belles et faciles a ingurgiter, pour qu'il continu a avaler, tranche par tranche, les épisodes de ce feuilleton qui dure depuis 43 ans et dont nous ne voulons plus, il nous appartient à tous de devenir les gardes fous contre l'imposture et mettre à nu tous les mensonges véhiculés par cette dernière, car non seulement elle nous ment, mais insultent notre intelligence par des mensonges rocambolesques et absolument ridicules.
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