THE LIMITS OF THE REGIME. LES LIMITES DU RÉGIME





English version

The management of a country as sparsely populated and rich as is Gabon, should not be limited to asking the average citizen who has no control of anything at all and has been taking the brunt of the regime in place for 50 years, to simply and continuously tighten their belt and wait until tomorrow would be better than today. This is intolerable!

But while the population lives the ordeal of a continuing economic downturn, it is the griots of this regime who told us a few years ago, that the fallout of the two African Cup of Nations organized less than 4 years apart, would be substantially beneficial to the people. At the end, where are we?

While the regime's griots announce that their economic flagship, BGFI, has made more than 3000 billion CFA francs in 2017, in an environment where Shell in oil, and BNP-Paribas, in the banking sector , left the country, the same regime announced measures of austerities in all directions, with the main target being the average Gabonese.

Since 2009, Ali Bongo and his regime have not kept any promise; not one: the 5,000 housing units a year, to build universities; to have the reduction of unemployment.

The Gabonese resistance that is today intelligent and alert, must remain firm in its mission to throw in the trash of history, this regime that continues to hurt so many in Gabon.

As Thomas Edison once said: “Many of life's failures are people who didn't realize how close they were to success when giving up”

We will therefore not give up!





Version française

La gestion d’un Etat aussi peu peuplé et riche que l’est le Gabon, ne devrait pas se limiter à demander au citoyen lambda qui ne contrôle rien du tout et subit le régime en place depuis 50 ans, de simplement et continuellement se serrer la ceinture et attendre que demain soit meilleur qu’aujourd’hui. Cela est intolérable !

Mais alors que la population vit le calvaire d’une dégringolade économique continue, ce sont les griots de ce régime qui nous disaient il y a quelques années, que les retombées des deux CAN organisées en moins the 4 ans d'intervalle, allaient être substantiellement bénéfiques pour les populations. Au finish, où en sommes-nous ?

Pendant que les griots du régime nous annoncent que leur fleuron économique qu’est la BGFI a fait des recettes de plus de 3000 milliards de francs CFA en 2017, dans un environnement où Shell dans le pétrole, et BNP-Paribas, dans le secteur bancaire, quittaient le pays, le même régime annonce des mesures d’austérités tous azimuts, avec pour cible principale le gabonais moyen.

Depuis 2009, Ali Bongo et son régime n’ont tenu aucune promesse ; pas une seule : des 5000 logements par an, à la construction des universités ; en passant par la réduction du chômage.

La résistance Gabonaise qui est aujourd’hui intelligente et alerte, doit demeurer ferme dans sa mission de jeter dans les poubelles de l’histoire, ce régime qui continue de faire tant de mal au Gabon.

Comme avait dit Thomas Edison : « Dans la vie, beaucoup d'échecs sont vécus par des gens qui ne réalisent pas à quel point ils sont proche du succès quand ils abandonnent. »


On ne lâchera donc rien!

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