WHAT IS TO LEAD A NATION. QU’EST-CE QUE DIRIGER UNE NATION?




English version

When one reads the interview given by Brice Laccruche-Alihanga, one wonders if this fool knows what it means to govern a country.

Governing comes from the Latin "gubernare", which means to steer a ship; hence the expression “to steer one’s ship conscientiously". A government is the body responsible for running a State.

A good government is one that ensures for the country and its people better conditions and a better life. This is done through the sovereign functions of the State: the reduction of charges, the good use of taxes, access to education and health, employment, a good economy, and so on.

But dear readers, Brice Laccruche-Alihanga’s interview is so obsolete and derisory that one can legitimately wonder what this man does in a position such as the Chief of Staff of a Head of State.

Brice Laccruche-Alihanga, in essence, thinks that in Gabon, the system is in itself irreproachable, but it is the men chosen to give it life who have never been up to the task (except himself obviously). We can laugh at that, but unfortunately, this man is the Chief of Staff of an African Head of State.

Since the success or failure of a State is demonstrated by that State's ability to satisfy the public interest, one can objectively believe that a regime that steals the votes of its people, repeatedly, that shoots whoever dares to disagree and that organizes the looting of this State, can never be considered as being able to succeed and to steer very well the national boat.

To govern is to make political decisions that act for the people. In essence, a dictatorship will never be capable of good and sound governance, even if some good results are achieved. This is seen everywhere in the world. Basically, humans need freedom; it's natural. The Bongo’s regime is absolutist; it leaves very little room to the people. It stifles the Gabonese people. It is not good! The Bongos may well change their subordinates, but as long as their regime remains in place, the results will be the same.

Since power, true power, derives from the consent of the governed, efficiency and progress only arise when the rulers owe their place to an all-powerful sovereign people, expressing themselves freely. This is not the case of Gabon, under the Bongos.


We will not give up!






Version française

Quand on lit l’interview de Brice Laccruche-Alihanga, on se demande bien si cet énergumène sait ce que veut dire gouverner un pays.

Gouverner vient du latin « gubernare », qui veut dire mener un navire ; d’où l’expression «bien mener sa barque ». Un gouvernement est l'organe qui a la charge de diriger un Etat.

Un bon gouvernement en est un qui assure au pays et à sa population un mieux-être et un mieux-vivre. Cela est fait via les fonctions régaliennes de l’État : la baisse des charges, la bonne utilisation de l’impôt, l’accès á l’éducation et à la santé, l’emploi, une bonne économie etc.

Mais chers lecteurs, l’interview de Brice Laccruche-Alihanga est d’un contenu tellement désuet et dérisoire qu’on peut légitimement se demander ce que fait ce bonhomme à un poste comme celui de Directeur de Cabinet d’un chef d’Etat.

Brice Laccruche-Alihanga, en filigrane, pense qu’au Gabon, le système est en lui-même irréprochable, mais ce sont les hommes choisis pour l’animer qui n’ont jamais été à la hauteur (sauf lui-même évidement). On peut en rire, mais malheureusement, cet homme est Directeur de Cabinet d’un Chef d’Etat Africain.

Vu que le succès ou l’échec d’un État soient démontrés par la capacité de cet Etat à satisfaire l’intérêt public, on peut objectivement penser qu’un régime qui vole les suffrages de ses populations, à répétition, qui tire sur ceux qui osent manifester et qui organise le pillage de cet Etat, ne pourra jamais être considéré comme étant capable de réussir et de bien mener la barque nationale.

Gouverner, c’est prendre des décisions politiques qui agissent pour le peuple. Par essence, une dictature ne sera jamais capable de bonne et saine gouvernance, même si certains bons résultats sont obtenus. On le voit partout dans le monde. Fondamentalement, l’humain a besoin de liberté ; c’est naturel. Le régime Bongo est absolutiste ; il laisse très peu de place au peuple. Il étouffe les Gabonais. Il n’est pas bon ! Les Bongo auront bien beau changer leurs subalternes, mais tant que le régime restera en place, les résultats seront les mêmes.

Puisque que le pouvoir, le vrai, découle du consentement des gouvernés, l’efficacité et le progrès ne surviennent que lorsque les gouvernants doivent leurs places à un peuple souverain tout-puissant, s’exprimant librement. Ce qui n’est pas le cas du Gabon, sous les Bongo.


On ne lâche rien !

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