ANOTHER STATE LIE. ENCORE UN MENSONGE D’ÉTAT

English version

Ali Bongo has finally sent his Attorney General to come to sell to the Gabonese public a ridiculous story that we can disassemble in a few questions.

1. Ali Bongo’s Attorney General said: on June 6, 2018, the Judicial Police went to the morgue of Gabosep for verification of information that bodies of children were there. The Gabosep officials told them that they had, on request of the Judicial Police, proceeded to the removal of 3 bodies of children on the beach of Tropicana, on May 26, 2018 between 10 am and 5 PM.

This blog reveals the serious anomaly that follows: Ali Bongo’s Attorney General said that on May 26, 2018, it is at the request of the Judicial Police that Gabosep went to collect these bodies. But a few days later, according to the same Attorney General, on June 6, 2018, it is still the same Judicial Police that went to ask the people of Gabosep if they had received bodies of children who had drowned at the Tropicana. We are almost tempted to laugh because this story is so ridiculous. Why would the Judicial Police ask Gabosep if this company had picked up children's bodies from the Tropicana, if it's the same Judicial Police that asked Gabosep on May 26, to go pick up bodies between 10 am and 5 pm ? If the bodies were collected at the request and supervision of the Judicial Police between 10 am and 5 pm on May 26, why this same Judicial Police no longer remembered to have had these bodies picked up by Gabosep, to the point of going to Gabosep on June 6, ask them if bodies were there? It's an abysmal absurdity! The Gabonese judicial police may suffer from Alzheimer's disease.

2. Ali Bongo's Attorney General said that the bodies showed no signs of violence.

In response, this blog offers the video above in which the father of one of the victims claims that the body had obvious signs of severe trauma. Two mothers of victims also reported organ harvesting from their children. Knowing the antecedents of this regime with the truth, this blog prefers to align with the version of the victims’ parents.

We will not give up !

Version française

Ali Bongo a finalement envoyé son procureur pour venir vendre aux Gabonais une histoire sans tête ni queue que nous pouvons démonter en quelques questions.

1. Le procureur d’Ali Bongo a dit : le 6 Juin 2018, la Police Judiciaire s’est rendue à la morgue de Gabosep pour vérification des informations que des corps d’enfants s’y trouvaient. Les responsables de Gabosep leur auraient dit avoir, sur réquisition de la Police Judiciaire, procédé à l’enlèvement de 3 corps d’enfants sur la plage du Tropicana, le 26 Mai 2018 entre 10 heures et 17 heures.

Ce blog décèle la grave anomalie qui suit : le procureur d’Ali Bongo dit que le 26 Mai 2018, c’est sur la demande de la Police Judiciaire que Gabosep est allée ramasser ces corps. Mais quelques jours plus tard, d’après le même procureur, le 6 Juin 2018, c’est encore cette même Police Judiciaire qui est allée demander aux gens de Gabosep s’ils avaient reçu des corps d’enfants noyés au Tropicana. On a presqu’envie de rire tellement ce récit est ridicule. Pourquoi la Police Judiciaire irait demander à Gabosep si cette société avait ramassé des corps d’enfants au Tropicana, si c’est cette même Police Judiciaire qui a demandé à Gabosep le 26 Mai, d’aller ramasser des corps durant une période allant de 10 à 17 heures ? Si les corps ont été ramassés sous la demande et la supervision de la Police Judiciaire entre 10 et 17 heures le 26 Mai, pourquoi cette même Police Judicaire ne se souvenait plus d’avoir fait ramasser ces corps par Gabosep, au point d’aller chez Gabosep le 6 Juin, leur demander si des corps s’y trouvaient ? C’est d’une absurdité abyssale ! La police Judiciaire gabonaise aurait la maladie d’Alzheimer.

2. Le procureur d’Ali Bongo dit que les corps ne présentaient aucune trace de violence.

En réponse, ce blog propose la vidéo ci-dessus dans laquelle le père d’une des victimes affirme que le corps présentait d’évidents signes de traumatisme violents. Deux mères de victimes ont aussi indiqué des prélèvements d’organes sur leurs enfants. Connaissant les antécédents de ce régime face à la vérité, ce blog préfère s’aligner sur la version des parents des victimes.

On ne lâche rien !