MAGANGA MOUSSAVOU OR THE SYEREOTYPE OF THE LACK OF VIRTUE BY GABONESE POLITICIANS. MAGANGA-MOUSSAVOU OU LE STÉRÉOTYPE DU MANQUE DE VERTU DES POLITICIENS GABONAIS






English Version

Political scientists, sociologists and historians agree on one thing; without political virtue in the ruling class, the living together of a country collapses and the most extreme excesses flourish. This is why in all the self-respected countries, the people who run the institutions that are supposed to carry the state, have a duty of absolute exemplarity.

History teaches us that people are capable of making sacrifices, but on one condition: that those who govern them have as their principle the maintenance of a certain virtue and exemplarity demonstrating their seriousness.

But in Gabon, while the rulers ask the people to accept even more unemployment, even lower wages, taxes still too heavy; the corruption of these rulers is even more visible and the abuses of power for purposes of personal interest, too obvious.

Ali Bongo, Issozet-Ngondet and their sycophants rent villas costing 15 million CFA francs a night in Marbella; while Maganga-Moussavou demands of the Gabonese population that they accept the austerity measures that fall on then, just as Maganga-Moussavou orders luxury vehicles for half a billion CFA francs.

History teaches us that the duty of political exemplarity would in times of crisis, mean that the rulers give up their particular interests, to align with the spirit of equality that allows a symbiosis with the general will. Terefore, what is happening in Gabon has gone well beyond being a scandal.


We will not give up !






Version française

Les politologues, sociologues et historiens s’accordent sur une chose ; sans vertu politique dans la classe dirigeante, le vivre ensemble d’un pays s’effondre et les excès les plus extrêmes s’épanouissent. Voici pourquoi dans tous les pays qui se respectent, les personnes coiffant les institutions censées faire vivre l’Etat, ont un devoir d’exemplarité absolu.

L’histoire nous apprend que les peuples sont capables de faire des sacrifices, mais à une condition : que ceux qui les gouvernent aient pour principe le maintien d’une certaine vertu et d’une exemplarité démontrant leur sérieux.

Mais au Gabon, au moment où les gouvernants demandent à la population d’accepter encore plus de chômage, des salaires encore plus bas, des impôts encore trop lourds ; la corruption des gouvernants est encore plus visible et les abus de pouvoir à des fins d’intérêt personnel, trop évidents.

Ali Bongo, Issozet-Ngondet et leurs suites louent des villas à 15 million de francs CFA la nuit à Marbella ; quand Maganga-Moussavou exigent de la population Gabonaise qu’elle accepte les mesures d’austérité qui lui tombent dessus, au moment même où Maganga–Moussavou commande des véhicules de grand standing pour un demi-milliard de francs CFA.

L’histoire nous apprend que le devoir d’exemplarité politique voudrait qu’en temps de crise, les gouvernants renoncent à leurs intérêts particuliers, afin de s’aligner sur l’esprit d’égalité qui permet une symbiose avec la volonté générale. Par conséquence, ce qui se passe au Gabon a dépassé largement le cadre du scandale.


On ne lâche rien !

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