ALBERT ONDO-OSSA COMPLAINTS ABOUT THE REPUBLIC OF DUNCES! ALBERT ONDO-OSSA SE PLAINT DE LA RÉPUBLIQUE DES CANCRES!

 

 

 English version

 

In an interview, Professor Albert Ondo-Ossa complained of the pre-eminence in Gabon, of people recognized as lacking in skills, in high state positions, to the detriment of often highly qualified Gabonese who are sidelined.

 

Dear readers, only people of bad faith will deny that Professor Albert Ondo-Ossa is only describing the deep reality of Gabon.

 

Dear readers, this blog believes that in any country there are no sectors that require more skills than those of health and education. But when the leaders of a country, as is the case in Gabon, are wary of competence and prefer to privilege personal links in appointments to positions of responsibility, it is the whole concept of having the best at the top of the country, which is destroyed. In such an environment, the country's performance can only be lacking and this is the case with contemporary Gabon.

 

In order for Gabonese from all walks of life to feel involved in the future of their country, the state must stop promoting people drawn from the bottom of the skills ladder, according to criteria having as a common denominator of merit the personal and even familial relationships, and begins to value demonstrated and affirmed excellence and competence.

 

 

 

 

 

 

Version française

 

Dans une interview, le professeur Albert Ondo-Ossa s’est plaint de la prééminence au Gabon, des personnes reconnus comme manquant de compétences, aux hautes fonctions de l’Etat, aux détriments de Gabonais souvent hautement qualifiés qui sont mis à l’écart.

 

Chers lecteurs, seuls les gens de mauvaise foi nieront que le professeur Albert Ondo-Ossa ne fasse que décrire là, la réalité profonde du Gabon.

 

Chers lecteurs, ce blog pense que dans tout pays, il n’y ait pas de secteurs requérant plus de compétences que ceux de la santé et de l’éducation. Mais quand les dirigeants d’un pays, comme c’est le cas au Gabon, se méfient de la compétence et préfèrent privilégier les liens personnels dans les nominations aux postes de responsabilité, c’est l’ensemble du concept de la nécessité de porter au plus haut les meilleurs éléments du pays, qui se retrouve détruit. Dans un tel environnement, les performances du pays ne peuvent que s’en ressentir et c’est le cas du Gabon contemporain.

 

Pour que les Gabonais de tous les horizons se sentent impliqués dans le devenir de leur pays, il faut que l’Etat arrête de promouvoir les gens puisés au bas de l’échelle des compétences, selon des critères ayant pour dénominateur commun de mérite les relations personnelles et mêmes familiales, et commence à valoriser plutôt l’excellence et la compétence démontrées et affirmées.